Grenoble

Flag Grenoble

Grenoble (prononcé /gʁə.nɔbl/  ; en francoprovençal : Grenoblo) est une commune du Sud-Est de la France, en région Auvergne-Rhône-Alpes ; elle est le chef-lieu du département de l'Isère et l’ancienne capitale du Dauphiné.

Grenoble couvre une superficie de 18,13i  km2 avec une population de 158 240i habitants (2020), soit densité de 8 728,08i habitants par Km2.
Gentilé : L'habitant(e) de Grenoble s'appelle un(e) Grenoblois(e).

Fuseau horaire principal : +02:00
Régime politique : Commune urbaine

Localisation

Carte du monde

Grenoble : descriptif

Grenoble est la commune-centre de la deuxième agglomération de la région Auvergne-Rhône-Alpes en nombre d'habitants (après celle de Lyon), et la troisième commune de cette région (derrière Lyon et Saint-Étienne). Son agglomération de 450 000 habitants est également la plus grande métropole des Alpes (devant Innsbruck — dont l'agglomération compte 300 000 habitants — et Bolzano), ce qui lui vaut le surnom, en France, de « capitale des Alpes »,.

L’histoire de Grenoble couvre une période de plus de deux mille ans. Durant l'époque gallo-romaine, le bourg gaulois porte le nom de Cularo, puis celui de Gratianopolis. Son importance s'accroît durant le xie siècle, lorsque les comtes d’Albon choisissent la cité comme capitale de leur province, le Dauphiné. Ce statut, consolidé par l'annexion à la France, lui permet de développer son économie. Grenoble devient alors une ville parlementaire et militaire, à proximité immédiate de la frontière avec la Savoie.

En 1788, la population s'est mobilisée pour défendre ses parlementaires lors de la journée des Tuiles, en attaquant les troupes royales. Antoine Barnave et Jean-Joseph Mounier, représentants du tiers état, à l'origine du fameux serment du jeu de Paume, furent d'illustres acteurs grenoblois de la Révolution française.

Le développement industriel de Grenoble commence véritablement au xviiie siècle avec la ganterie, et s’accentue dans la deuxième partie du xixe siècle avec la découverte de la « houille blanche » (l'énergie hydroélectrique). Mais Grenoble connaît sa croissance la plus forte durant les Trente Glorieuses.

L'organisation des Jeux olympiques d’hiver (1968) symbolise cette période de grands bouleversements pour la ville. Son développement continuant, Grenoble s'affirme aujourd’hui comme un grand centre scientifique européen,. Pour ce qui est de la population, Grenoble était, en 2018, la seizième commune de France avec 157 650 habitants, son unité urbaine la seizième de France en 2018, avec 451 096 habitants, et son aire d'attraction la onzième, avec 713 291 habitants. Ses habitants sont dénommés les Grenoblois.

Toponymie

Le toponyme a beaucoup évolué. Dans l'Antiquité la bourgade se nommait Cularo jusqu'en 381, nom d'origine celtique dont la signification est sujette à diverses interprétations. La ville, dotée de remparts, deviendra Gratianopolis sous le règne et en l'honneur de l'empereur Gratien, nom progressivement altéré en Grenoble.

En arpitan dauphinois (aussi appelé « patois » ou « francoprovençal »), le nom de la ville est Grenoblo.

Une légende tenace assure que la ville fut rebaptisée Grelibre pendant la Révolution, mais c'est faux. C'est Louis XVIII qui, durant la Restauration, aurait inventé le surnom railleur Grelibre à la suite de la conspiration de Didier de 1816 ; il aurait ensuite fait courir le bruit que les révolutionnaires dauphinois substituèrent -noble par -libre,. S'il est vrai que plusieurs milliers de communes ont été rebaptisées à cette période, l'ouvrage de référence à ce sujet, Les Noms révolutionnaires des Communes de France, ne mentionne pas Grenoble, alors qu'il cite trois communes du canton de Grenoble (Hères-la-Montagne, Mansval et Vence). D'autre part, la base Cassini de l'EHESS montre une continuité de nom sur la période révolutionnaire.

Histoire

Préhistoire

Plusieurs éléments préhistoriques ont été trouvés à Grenoble ou dans ses environs immédiats, attestant d'un lieu de passage, voire d'une présence humaine, notamment au niveau de la montagne du Rabot à la fin du néolithique, ainsi qu'à l'âge du bronze. Les données archéologiques restent cependant relativement rares en raison de la vitesse de la sédimentation des alluvions de l'Isère, du Drac, et des torrents provenant du massif de la Chartreuse qui retirait progressivement les principales traces de passage.

Selon Alain de Montjoye, archéologue du centre archéologique et historique des Musées de Grenoble et de l'Isère, les premières populations sédentaires, au niveau local, firent leur apparition au néolithique, principalement sur les premières pentes du massif du Vercors puis sur celles de la Chartreuse, lors du chalcolithique, au niveau de la cluse grenobloise.

Dès l'âge du bronze, les chercheurs constatent l'existence de courants d'échanges utilisant le carrefour grenoblois. Ceux-ci seront tout d'abord de nature d'abord modeste avant de s'intensifier au bronze final jusqu'à la période de la Tène. Les recherches archéologiques ont permis d'identifier de nombreuses installations durant cette période, tout autour de Grenoble et dans la vallée du Grésivaudan. Cependant, au niveau du site même du territoire grenoblois, les traces les plus anciennes très faibles, observées à la fin du siècle dernier, ne semblent pas antérieures à la période gauloise.

Antiquité

La première référence à Grenoble remonte à 43 av. J.-C.. Au départ simple bourg gaulois (vicus) du nom de Cularo, la bourgade, située à un endroit stratégique sur la voie romaine entre Vienne et l'Italie par le Montgenèvre, fut fortifiée sous Dioclétien et Maximien (entre 284 et 293), puis accéda au rang de chef-lieu de cité, à la suite de la venue possible, mais non attestée, de l’empereur Gratien en 379. Elle fut alors rebaptisée Gratianopolis. Des troupes y stationnaient en permanence (cohors prima Flavia) et un évêché, avec à sa tête l'évêque Domnin, est attesté au moins depuis 381.

Gratianopolis

Durant le ive siècle, Gratianopolis compte environ 2 000 habitants sur ses neuf hectares et se présente sous la forme d'une ville fortifiée plus rurale que commerçante malgré la présence d'un port sur l'Isère, situé près de la place de Bérulle. Le premier évêque de Gratianopolis est Domnin (Domninus), attesté par sa présence au concile d'Aquilée en septembre 381 et qui va décéder en novembre 386

Énigme du « passage d'Hannibal »

Plusieurs historiens, spécialistes de l'Antiquité, évoquent le passage d'Hannibal dans la cuvette grenobloise, soit en suivant le cours de l'Isère, soit en traversant le massif du Vercors, d'ouest en est.

Professeur émérite d’histoire ancienne à l’Université de Newcastle au Royaume-Uni, John Francis Lazenby, auteur d’un ouvrage spécialisé sur le général carthaginois Hannibal Barca narre dans celui-ci toute l’épopée du célèbre conquérant et celui-ci émet une théorie à propos de la traversée des Alpes, en ce qui concerne la première attaque des Allobroges.

Ce professeur d'Histoire suggère, en effet, qu’Hannibal n’aurait pas voulu traverser l’Isère et aurait donc cheminé sur la rive gauche, mais qu'au-delà de Saint-Nazaire-en-Royans la poursuite de cet itinéraire était impossible à l’époque et qu'il aura donc contraint le général carthaginois à traverser les gorges de la Bourne. Le camp d’Hannibal se serait alors situé à proximité du village actuel de Choranche. Le chemin suivi par Hannibal passerait ensuite sur la route jouxtant l'Isère qui rejoint Grenoble par une route située entre Sassenage et Noyarey.

D'autres historiens, dont l'académicien et historien militaire Paul Azan ou Marc Antoine de Lavis-Trafford, évoquent la possibilité que ce grand général et stratège carthaginois ait pu passer par Montaud pour ensuite longer l'Isère depuis les territoires actuels de Veurey-Voroize, Sassenage, puis le territoire actuel de Grenoble, avant de remonter la vallée du Grésivaudan et de traverser les Alpes. Aucune source archéologique (armes, ossements) n'ayant encore été découverte à Montaud et dans ses environs immédiats, rien ne peut étayer cette hypothèse séduisante, ni l'infirmer, d'ailleurs. La thèse reste donc, jusqu'à présent, recevable.

Une étude plus récente (2009) du préhistorien Aimé Bocquet, fondée sur le peuplement au iiie siècle av. J.-C., ne fait pas passer les troupes d'Hannibal par le nord de la région grenobloise, mais pour ensuite lui faire emprunter le versant occidental de la Chartreuse pour atteindre le col du Petit-Saint-Bernard,.

Un site web bien documenté présente les différentes hypothèses, ainsi que les textes originaux (traduits) de Tite-Live et de Polybe sur la question.

Moyen Âge

Dauphins

Image représentant le blason du Dauphiné.
Blason du Dauphiné.

Au xie siècle, les comtes d’Albon prirent une décision importante pour l’unité de leurs domaines. En effet, ils choisirent Grenoble, ville de médiocre importance en ce xie siècle, pour capitale. Ils auraient pu céder à la tentation de Vienne, l’ancienne métropole romaine comme capitale de leurs États. Ce choix fondamental leur a permis de garantir leur autorité à la fois sur le Bas et le Haut-Dauphiné. Cependant, les territoires respectifs du Dauphiné et de la Savoie se chevauchaient à cette époque (ainsi, le Faucigny appartenait au premier tandis que la seconde possédait Voiron et la Côte-Saint-André). Cet enchevêtrement fut source de nombreux conflits entre les deux peuples. La future province du Dauphiné. Grenoble se retrouva alors capitale d’un État indépendant au sein du Saint-Empire romain germanique.

En 1219, Grenoble connaît sa pire inondation, véritable déluge dû à la rupture d'un barrage naturel formé dans la vallée de la Romanche et provoquant de nombreuses morts.

Les dauphins successifs fondèrent l’université en 1338, et le Conseil delphinal s'installa à Grenoble en 1340. Durant la guerre de Cent Ans, la noblesse dauphinoise participa aux conflits contre l’Angleterre et ses alliés.

En 1349, la ville se retrouva rattachée au royaume de France à la suite du transfert (et non-rachat) du Dauphiné à la couronne de France, et Grenoble devint capitale provinciale. La présence entre 1447 et 1456 du dauphin, le futur Louis XI, renforça ce statut de ville parlementaire avec la création du troisième Parlement de France. La ville devint également le siège de garnisons, à la frontière avec le duché de Savoie. Elle s'affirma comme la principale ville de la province. Lors des guerres d’Italie, la noblesse dauphinoise se distingua particulièrement sous la figure de Bayard, le « chevalier sans peur et sans reproche ».

En 2019, des fouilles archéologiques ont permis de retrouver les restes des remparts du couvent des Dominicains, datant du xiiie siècle, dans l'actuelle rue de la république, en travaux pour son aménagement en voie piétonne. Ce couvent était situé « hors murs », le long de l'ancienne enceinte romaine.


Renaissance

Guerres de religion (1562 - 1598)

Grenoble eut à souffrir des affrontements des guerres de religion et en sortit affaiblie. Ils furent marqués par de nombreux massacres et destructions. Les conflits prirent fin avec l'ultime victoire de Lesdiguières, lorsqu'il s'empara de Grenoble en 1590. Devenu administrateur du Dauphiné, il modifia et agrandit considérablement la capitale dauphinoise et lança notamment la construction de la première génération des fortifications de la Bastille.

Temps Modernes

Grenoblo malhérou

Depuis sa création, la cité de Grenoble a souvent été ravagée par les inondations durant certaines périodes et malgré l'endiguement du Drac, effectué au cours des xviie siècle et xviiie siècle, la ville continue à subir de vraies catastrophes au fil des siècles. Dans les années 1730, elle est frappée par cinq crues qualifiées d'événement exceptionnel. Celle du 14 septembre 1733 frappe particulièrement les esprits en montant à 5,57 mètres au-dessus de l'étiage. L'abbé Bonnet, curé de Vourey et témoin raconte dans ses mémoires « L'eau qui venait à gros bouillons par la porte de Très-Cloître et de Saint-Laurent, eut bientôt rempli toutes les boutiques presque jusqu'au premier étage ».

Un poète grenoblois, François Blanc surnommé Blanc-Lagoutte, immortalise cette catastrophe dans un long poème appelé Grenoblo malhérou et qui permettra de mieux connaître la langue locale (voir le chapitre « langue et traditions locales»).

Expansion économique

Le développement économique de la cité lui permit d’asseoir son importance. La présence de notables et autres parlementaires permit le développement de la ganterie, qui prospéra au cours du xviie siècle et connut son apogée durant le xixe siècle. Les gants grenoblois (dont les Gants Perrin) s’exportaient alors dans le monde entier et cette industrie constitua l'activité dominante dans la région grenobloise pendant des décennies. Ce développement économique participa fortement de l'expansion de la ville vers l'ouest au-delà de ses remparts.

Révolution française

La journée des Tuiles

La journée des Tuiles est une émeute survenue dans le centre de Grenoble le , et considérée comme annonciatrice de la Révolution française, quoique spécifiquement grenobloise et dauphinoise : elle est l'aboutissement de l'opposition du Parlement du Dauphiné à la réforme royale portant sur la création d'assemblées provinciales et municipales qui établissaient enfin l'égalité de tous les citoyens devant les impôts. Le Parlement est en fait inquiet car cet édit porte atteinte au nombre de charges dans chaque Parlement, charges dont profite une grande partie de la population de la ville. Ce jour-là, à six heures, une foule évaluée à 10 000 personnes oblige les magistrats à regagner le palais du Parlement, et les protestataires veulent même envahir le greffe pour brûler le registre sur lequel les édits ont été enregistrés de force. Mais Albert de Bérulle, premier président du parlement du Dauphiné s'y oppose, et après avoir remercié les Grenoblois de leur sympathie à l'égard des magistrats, leur demande de regagner leurs domiciles.

La journée doit son surnom au fait que les soldats du roi étant venus contenir la foule qui se rassemblait autour de la place Grenette, et un vieil homme ayant été blessé par une baïonnette, à la vue du sang, le peuple révolté commence à dépaver les rues, et de nombreux Grenoblois montent alors sur les toits des immeubles afin de lancer une véritable pluie de tuiles et de pierres sur la troupe. Le duc de Clermont-Tonnerre, lieutenant-général des armées du roi dans le Dauphiné, est gravement menacé par la foule. Il sera peu après remplacé dans ses fonctions par Noël Jourda de Vaux.

Sujette à de nombreuses interprétations, l'expression « Faire une conduite de Grenoble » ne serait pas liée à cette journée d'émeute, mais serait antérieure à cette période.

Les États généraux du Dauphiné

À la suite de ces événements, la Réunion des états généraux du Dauphiné, également appelée Assemblée de Vizille, se déroule le  dans la salle du jeu de paume du Château de Vizille sur l'invitation de son propriétaire, l'industriel Claude Perier. Ces États de la Province du Dauphiné, préparatoires à la future convocation des États généraux de 1789, connaissent plusieurs sessions, la dernière étant tenue à Romans-sur-Isère entre le  et le .

Époque contemporaine

Agrandissement de territoire

Après l'agrandissement de son enceinte militaire vers le sud en 1840, un mouvement d'extension vers l'ouest semble se dessiner, les édiles souhaitant étendre le territoire de la ville jusqu'au Drac. Le maire Eugène Gaillard, en poste depuis la fin de l'année 1858, parvient à faire adopter l'annexion des territoires de la rive droite de cet affluent de l'Isère lors du conseil municipal du , englobant ainsi la récente gare ferroviaire et une partie des territoires des villes de Fontaine, Seyssinet-Pariset et Seyssins.

Révolution industrielle du xixe siècle

La révolution industrielle fut cependant un moteur tout aussi important de l’expansion économique de Grenoble. La découverte de la houille blanche par Aristide Bergès assura l’industrialisation rapide de la région, illustrée à partir de 1870 par la création des Ateliers de construction Bouchayer et Viallet, puis au début du xxe siècle par les sociétés Neyrpic et Merlin Gerin. La tenue de l’exposition internationale de la Houille Blanche et du tourisme en 1925 mit en lumière ce développement. En détruisant les remparts de la ville, cet événement permit l'extension de la ville vers le sud.

À la même époque, un comité d'acteurs de la vie économique jette les bases en 1889 d'une association portant le nom de syndicat d'initiative dans l'intérêt de la ville de Grenoble et du Dauphiné. Une intense propagande est ainsi faite pour développer le tourisme dans la ville et ses environs. Illustrant cette nouvelle économie, la première société française de ski est créée en novembre 1895 et officialisée le 1er février 1896 à Grenoble sous le nom de Ski Club des Alpes. Les années 1930, avec l'institution des premiers congés payés, marquent le développement du tourisme d’hiver. La station de l’Alpe d'Huez par exemple est créée en 1936.

Première moitié du xxe siècle

Dés le début des années 1950, des plans de quartiers sont mis à l’étude par la municipalité et le gouvernement pour les quartiers Saint-Laurent, l’Abbaye, les Alpins, sur le Polygone d’artillerie et sur la frange est de la vieille ville avec l'idée de lancer quelques opérations immobilières ou d’équipements publics. Vers 1952, le projet de l’architecte Paul Herbé d’un grand ensemble universitaire et résidentiel sur la Bastille a laissé quelques traces : les bâtiments des instituts de géologie et de géographie alpine sont encore visible au xxie siècle.

Après-guerre : mathématiques, informatique et électronique

La tradition d’innovation grenobloise se maintenait aussi, favorisant un fort développement de la recherche scientifique à partir des années 1950 l'implantation de la Compagnie générale de télégraphie sans fil (CSF) à Saint-Egrève et l’impulsion de Jean Kuntzmann créateur du premier laboratoire de calcul en 1951 ou de Louis Néel, instigateur du centre d'études nucléaires de Grenoble (CENG) qui va employer sept cents personnes dès l'année 1960, après avoir créé en 1957, un groupe « électronique intégrée » l'élaboration et de la maintenance de l'électronique des réacteurs nucléaires, sous la direction de Michel Cordelle, car la plupart des circuits intégrés vient des usines américaines,. Jean Kuntzmann fonde en 1960 l'Institut de mathématiques appliquées de Grenoble.

En 1961, le professeur René Perret et son élève l'ingénieur Guy Jardin débutent une collaboration avec Mors, l'industriel américain de électroménager connu pour ses enregistreurs, après avoir fondé en 1957, de retour des États-Unis, et avec l'Institut polytechnique de Grenoble (IPG), le Laboratoire d'automatisme de Grenoble (LAG) pour l'automatisation et le calcul des commandes de procédés et processus, d'abord appelé laboratoire de Servomécanisme. C'est l'époque où Mors commence à ajouter à son catalogue des produits d'automatisation incluant beaucoup d'électronique. Son département automatisme, situé à Crolles, va même lancer un calculateur industriel, grâce à un établissement fondé en 1962 par quelques ingénieurs issus du LAG.

L'année 1962 voit émerger un engouement mondial pour l'électronique, grâce aux projets de la société américaine Control Data Corporation, menée par Seymour Cray, tandis que la technologie Mos de Thomson-Brandt bouleverse la microélectronique, avec l'usine de transistors Sesco de 400 salariés installeé début 1962 à Aix-en-Provence, qui a 20 % du marché français dès 1968.

Le Centre d'études nucléaires de Grenoble (CENG), demande au cours de cette même année 1962 à son groupe « électronique intégrée » de créer sans plus attendre sa propre technologie, l'amenant à sortir en 1965 son premier circuit intégré composé de dix transistors. Ce laboratoire va rallier d'anciennes équipes de recherche mathématique puis informatique de l'IMAG. En 1965, Grenoble compte aussi un troisième pôle de circuits intégrés : la COSEM, filiale de CSF (Compagnie des signaux sans-fil).

Le mini-ordinateur Mat 01 voit le jour dès 1966 chez l'industriel Mors, qui réalise des études sur un site de l'industrie chimique avec l'aide de la DGSRT. Mais dès 1967, ne pouvant faire face aux coûts de développement, il cède l'usine à Télémécanique qui poursuit la collaboration avec le LAG puis ouvre sa propre usine à Crolles, dans la banlieue de Grenoble, où elle fabrique des calculateurs devenus mini-ordinateurs, la future gamme T1600. Le site emploie 170 personnes en 1967. L'année 1967 voit aussi Serge Kampf, ex-directeur régional chez Bull-GE, fonder à Grenoble la SSII Sogeti (société pour la gestion des entreprises et le traitement de l’information).

Un premier Plan Composants, baptisé « plan électronique professionnelle », est annoncé en avril 1967 par le gouvernement, car la CSF est débordé par le coût de sa croissance. Il prévoit sa fusion avec Thomson-Brandt. Leurs filiales semi-conducteurs (SESCO et COSEM) sont regroupées en 1969 dans la Sescosem, qui entre en 1972 au « Top 20 » mondial des semi-conducteurs et reçoit 20 millions de francs de subventions de 1969 à 1973, flux qui repart, doublé, en 1978. Le site grenoblois de la Télémécanique comptant rapidement 300 salariés, dont plusieurs dizaines d'ingénieurs de l'Institut polytechnique de Grenoble, elle ouvre en 1971 une seconde usine à Échirolles, employant cette fois 800 personnes, assurant à la fois la conception matérielle et logicielle, l'intégration et la maintenance des ordinateurs. C'est sur ce site grenoblois que sont lancés le T 2000 (1968), T 1000 (1969), T 1600 (1972) puis qu'est développé à partir 1973 et durant 21 mois, le Solar, sorti en septembre 1975, qui concurrence les gammes PDP-11 de Digital Equipment Corporation et Data General Nova de Data General (en).

Entre-temps, le centre scientifique de la Compagnie internationale pour l'informatique (CII) à Grenoble est créé en 1970, pour la collaboration entre ses équipes de recherche et celles de l'IMAG sur l'architecture de systèmes. Son personnel est en majeure partie recruté localement, faute de succès des propositions de transfert de personnel CII, créant un appel d'air dans la communauté étudiante et industrielle grenobloise. Ce centre scientifique s'investit dans l'effort de recherche sur la naissance du modèle relationnel de bases de données, en vue des premiers systèmes commerciaux de 1978-1980. Il travaille en particulier sur les systèmes transactionnels répartis. Un projet d'architecture multi-microprocesseur est mené mais pas exploité, faute de support logiciel.

En 1972, le LETI crée une filiale vocation industrielle, pour valoriser ses recherches en semi-conducteurs dans tous les domaines, et axée sur la mise en œuvre de la technologie CMOS. C'est l'Efcis (Études et fabrication de circuits intégrés spéciaux), dont le capital initial provient du Commissariat à l'Énergie atomique, rejoint par Thomson-Brandt en 1976, qui deviendra actionnaire majoritaire en 1982. Cette filiale est la future SGS-Thomson, rebaptisée ST Microelectronics au début des années 2000. L'année 1972 est aussi marquée par la première démonstration de Cyclades (réseau), créé en 1971, avec des transferts de données entre les locaux de la CII en région parisienne et l'IMAG de Grenoble, sur des ordinateurs Mitra 15 et IBM 360.

Des accords de licence sont décrochés par Efcis avec Motorola. La Sescosem, qui a IBM comme principal client, est utilisée comme une « seconde source » par Texas Instruments. L'Institut national de la sous-traitance s'installe en 1973 à Grenoble, pour en faire le berceau de l'informatique légère. Un "système productif territorialisé", dépassant le simple transfert de technologie des centres de recherche vers les industriels apparaît dans l'agglomération, selon Bernard Reverdy, professeur associé à l'université Grenoble-II, qui a étudié le développement des semi-conducteurs à Grenoble avec une équipe de l'IREPD (Institut de recherche, économie, production et développement). En 1973, le consortium européen Unidata est fondé pour réunir CII, Philips, et Siemens. Et implanter à Grenoble son centre de recherche à partir du centre scientifique CII, mais Unidata est stoppé par le gouvernement dès 1975.

La production des Solar est réalisée à 60 % grâce à la sous-traitance, par des ingénieurs et des techniciens formés dans les écoles ou instituts grenoblois. Mais sans marché intérieur ni capacité d'investissement pour s'imposer face aux autres sous-traitants en pleine croissance, Efcis et Sescosem sont mis à rude épreuve sur le marché mondial, quand l'État prend conscience du retard de la France dans ce domaine devenu stratégique et improvise un "plan composants" en 1977, trois ans après le Premier choc pétrolier.

Années 1980 et 1990 : télécoms et technologies médicales

Les années 1980 seront marquées par la priorité donnée par l'État à la filière des télécoms sur celle de l'informatique qui se concrétise vers 1978 lorsqu'est abandonnée la vision du Datagramme, inhérente au projet Cyclades (réseau). Une partie des personnes travaillant sur projet Cyclades (réseau) à Grenoble rejoignent le centre scientifique CII où elles tentent de prolonger leurs travaux sur les protocoles de communication et sur l'architecture de systèmes répartis.

Dès 1976-1977, l'État pousse la Télémécanique à se scinder en plusieurs parties, la division fabriquant le Solar intéressant Thomson, qui accepte en contrepartie de sortir de la CII. Les personnes insatisfaites des orientations prises fondent leurs propres entreprises et contribuent au démarrage de la ZIRST de Meylan.

Les premières furent Option et BGT, suivies par APSIS, APTOR, MC2, XCOM, Périphérique assistance, CYBERSYS, PRODIS, DIGIGRAM, ou encore Qualité conseil. En 1989, sur 163 entreprises de la ZIRST de Meylan, 17 ont été fondées par d'anciens salariés de Mors ou la Télémécanique à Grenoble.

En 1979, le Centre national d'études des télécommunications créé son propre bureau d'études local, le "Centre Norbert Ségard", dans la ZIRST de Meylan, ce qui oblige à créer des structures de concertation, comme le GCIS (Groupement Circuits Intégrés au Silicium) associant au CEA et au CNRS, pour harmoniser les politiques de recherche.

En 1992, deux ingénieurs du LETI créent près de Grenoble la société Soitec pour commercialiser les substrats SOI (silicon-on-insulator) et d'autres substrats pour les semi-conducteurs. L'année suivante, le programme Morphomètre 3D est lancé, consistant à visualiser des organes en trois dimensions pour la médecine.

Aujourd’hui, Grenoble constitue l’un des grands centres scientifiques européens et s'affirme comme l'un des pôles en pointe dans le domaine des nanotechnologies. Mais en mai 2018, la presse confirme que 293 postes vont être supprimés sur le site de General Electric (GE) Hydro à Grenoble (Isère), ce qui est moins élevé qu'initialement annoncé en juillet 2017.

À la suite d'un article publié dans le magazine local Le Postillon durant le printemps 2021 et dénommé L'appel des cabines, le journal évoque la remise en service des cabines téléphoniques publiques. Associé à un collectif (l’Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques (OIRCT)) les membres du journal lancent l'idée d'une cabine téléphonique mobile et la transporte dans plusieurs endroits de Grenoble. Selon un article du journal Le Parisien, il s'agirait d'une « première mondiale »; le 25 mars 2022, cette cabine téléphonique en état de fonctionnement a été inaugurée dans un parc sous les yeux de nombreux habitants mais aussi ceux des membres du collectif.

Progressisme grenoblois

En matière politique et sociale

Tout au long de son histoire, les Grenoblois se distinguèrent par des actions progressistes dans les sphères politiques et sociales. Ce fut par exemple à Grenoble que se firent sentir les prémices de la Révolution française en 1788. La population se mobilisa en effet pour défendre ses parlementaires lors de la Journée des Tuiles en attaquant les troupes royales, ce qui aboutit à la tenue des États de Vizille, qui entraînèrent en 1789 la convocation des États généraux. Antoine Barnave et Jean-Joseph Mounier, à l'origine du fameux serment du jeu de Paume, furent d'illustres acteurs grenoblois durant la Révolution. C'est Jean-Joseph Mounier qui, le , présenta à l'Assemblée Constituante les trois premiers articles de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, qui furent votés sans discussion.

Par ailleurs, la première société de secours mutuels de France fut créée le 1er mai 1803 entre les maîtres gantiers grenoblois pour leurs ouvriers. Elle fut suivie par d'autres organisations semblables (comme celles des cordonniers ou des tisserands, drapiers et tapissiers). C'est également à Grenoble que virent le jour les trois premières sociétés mutualistes féminines en 1822. Toutes ces associations mutualistes se regroupèrent dans une maison de la mutualité située 3 rue Hébert et avaient les mêmes objectifs : protéger l'ouvrier et sa famille en cas de maladie, en échange d'un droit d'affiliation et d'une cotisation mensuelle, par le versement d'une allocation. Certaines versaient également des indemnités de chômage, voire des pensions aux vieillards. Ce système de prévoyance ne concernait cependant qu'une partie de la classe ouvrière, les plus pauvres en étant exclus.

Les Grenoblois s’illustrèrent également durant la Seconde Guerre mondiale dans leurs actes de résistance face à l’occupant. À la suite de l'arrivée allemande en 1943, les affrontements se firent de plus en plus violents (arrestations multiples, Saint-Barthélemy grenobloise) et les actes de résistance de plus en plus audacieux (manifestation du 11 novembre 1943, explosions du polygone d'artillerie et de la caserne de Bonne). Sur les antennes de la BBC, la France libre qualifia Grenoble de Capitale des Maquis, en relation en particulier avec sa proximité du maquis du Vercors. Le 4 mai 1944, la ville fut nommée compagnon de la Libération par le général de Gaulle pour son rôle dans la Résistance française.

Le 10 juin 1961, Grenoble ouvrit le premier planning familial de France, ce qui représenta alors une étape essentielle dans le combat mené par les défenseurs d'une maternité libre et choisie. Le maire Hubert Dubedout fut également à cette époque une des figures du socialisme municipal et Grenoble un véritable laboratoire urbain en France. Les Grenoblois se sont également fortement mobilisés lors des différentes protestations qui eurent lieu en 2002 à la suite de l'arrivée du Front national au second tour des élections présidentielles. Ils ont également défrayé la chronique pendant plusieurs mois entre 2003 et 2004 à la suite du mouvement des écocitoyens opposés à la construction du stade des Alpes dans le parc Paul-Mistral. De nombreux opposants se sont alors installés à la cime des arbres centenaires avant d’être délogés par les forces de l’ordre.

En matière scientifique et technologique

D'autre part, certains Grenoblois s'affirmèrent sur la scène nationale de par leur esprit d'innovation. Quant à Grenoble, elle sut également attirer de nombreux entrepreneurs contribuant à l'innovation locale. Parmi les figures grenobloises, peut être mentionné dès le xviiie siècle Jacques Vaucanson, génial inventeur d'automates et précurseur de nouvelles techniques. Son invention la plus sophistiquée fut le Canard digérateur. Il est également crédité de l’invention du premier tour métallique, le tour à charioter, en 1751. Pour sa part, Xavier Jouvin contribua à l’essor de la ganterie grenobloise au xixe siècle en industrialisant le procédé de fabrication. Cela fut rendu possible par la création en 1834 de la « main de fer », un procédé de coupe à l'emporte-pièce, sur la base de l'invention de 250 pointures différentes (c'est le prêt-à-porter).

La moitié du xixe siècle vit également de nombreuses innovations prendre corps. Louis Vicat, par l’étude du mécanisme de prise des chaux naturelles et la découverte de leurs principes d'hydraulicité en 1817, inventa le ciment artificiel en 1840 après son installation définitive à Grenoble en 1827. Albert Raymond est quant à lui inventeur du bouton-pression en 1865, pour les gants, pour tout ce qui se "clipse". Enfin, la fin de siècle fut marquée par l’arrivée à Grenoble d’Aristide Bergès. En équipant les papeteries de Lancey de la première haute chute de 200 mètres alimentée en permanence par une retenue sur un lac de montagne, il devint en 1869 l’un des pionniers du développement de l'énergie hydroélectrique. Il popularisa à Paris lors de l’Exposition universelle de 1889 l’expression « Houille blanche ». En 1925, Grenoble organisa l'Exposition internationale de la houille blanche afin de consacrer la ville capitale de la houille blanche.

Dans les années 1930, Jean Pomagalski, Grenoblois d’origine polonaise, fut un pionnier dans le développement des remontées mécaniques, avec la construction de son premier téléski à perches en 1936 à l'Alpe d'Huez. Il est par ailleurs à l’origine des téléskis à perches débrayables.

Après-guerre, la recherche grenobloise prit de l’ampleur sous l’impulsion de figures telles que Louis Néel ou encore Jean Kuntzmann. La technopole fut à l’origine de nombreuses innovations depuis lors dont, pêle-mêle, l'invention des capteurs pour airbags, de l’écran plat, des tickets sans contact et, plus récemment, de l’invention du silicium sur isolant ou SOI, élément incontournable entre autres de toutes les consoles de jeu modernes (Xbox 360, Playstation 3, Wii).

Source: Wikipedia ()

Exemple de personnage de bande dessinée pour Grenoble

Grenoble dans la bande dessinée

Découvrez les informations sur Grenoble dans la bande dessinée.

1238 autres localités pour la Auvergne-Rhone-Alpes

Abondance
Abrest
Aiguebelle
Aigueblanche
Aigueperse
Aime
Ainay-le-Chateau
Aiton
Aix-les-Bains
Alba-la-Romaine
Albens
Albepierre-Bredons
Albertville
Albon
Alby-sur-Cheran
Alex
Alissas
Alixan
Allan
Allanche
Allegre
Allevard
Allex
Allieres-et-Risset
Allinges
Allonzier-la-Caille
Amancy
Amberieu-en-Bugey
Amberieux-en-Dombes
Ambert
Ambierle
Ambronay
Amplepuis
Ampuis
Ancone
Andancette
Andrezieux-Boutheon
Anjou
Annecy
Annecy-le-Vieux
Annemasse
Anneyron
Annonay
Anse
Anthy-sur-Leman
Aoste
Aouste-sur-Sye
Apprieu
Araches-la-Frasse
Arbent
Archamps
Arenthon
Arlanc
Armoy
Arnas
Arpajon-sur-Cere
Ars-sur-Formans
Artas
Artemare
Assieu
Attignat
Aubazat
Aubenas
Auberives-sur-Vareze
Aubiere
Aulnat
Aurec-sur-Loire
Aurillac
Autrans
Auzat-la-Combelle
Aveize
Avermes
Avressieux
Aydat
Ayse
Bage-la-Ville
Bage-le-Chatel
Bains
Balan
Balbigny
Barberaz
Barby
Barraux
Bas-en-Basset
Bassens
Beard-Geovreissiat
Beauchastel
Beaucroissant
Beaufort
Beaujeu
Beaulon
Beaumont
Beaumont-les-Valence
Beaumont-Monteux
Beauregard-l'Eveque
Beaurepaire
Beausemblant
Beauvallon
Beauvoir-de-Marc
Beauzac
Begues
Beligneux
Belle-Plagne
Bellegarde-en-Forez
Bellegarde-Poussieu
Bellegarde-sur-Valserine
Bellenaves
Bellerive-sur-Allier
Bellevaux
Belleville
Belley
Bellignat
Belmont-de-la-Loire
Bernex
Bernin
Bessenay
Bey
Beynost
Bilieu
Billom
Biol
Biviers
Blace
Blanzat
Blavozy
Bloye
Boege
Boen-sur-Lignon
Bonne
Bonnefamille
Bonneville
Bons-en-Chablais
Bonson
Boulieu-les-Annonay
Bourbon-l'Archambault
Bourg-Argental
Bourg-de-Peage
Bourg-de-Thizy
Bourg-en-Bresse
Bourg-les-Valence
Bourg-Saint-Andeol
Bourg-Saint-Maurice
Bourgoin
Bourgoin-Jallieu
Bournoncle-Saint-Pierre
Bouvesse-Quirieu
Bozel
Brassac-les-Mines
Bressolles
Brezins
Brides-les-Bains
Brie-et-Angonnes
Briennon
Brignais
Brindas
Brioude
Brison-Saint-Innocent
Brives-Charensac
Bron
Brout-Vernet
Brugheas
Buellas
Buis-les-Baronnies
Bully
Buxieres-les-Mines
Caluire-et-Cuire
Cebazat
Celles-sur-Durolle
Cerilly
Certines
Cessieu
Cessy
Ceyrat
Ceyzeriat
Chabeuil
Chabons
Chadrac
Chalain-d'Uzore
Chalain-le-Comtal
Chalamont
Chaleins
Challes-les-Eaux
Chamagnieu
Chamalieres
Chambery
Chamboeuf
Chambost-Allieres
Chamonix-Mont-Blanc
Chamoux-sur-Gelon
Champ-sur-Drac
Champagnac
Champagnier
Champagny-en-Vanoise
Champdieu
Champeix
Champs-sur-Tarentaine-Marchal
Chanas
Chandolas
Chandon
Chanos-Curson
Chantelle
Chapareillan
Chapdes-Beaufort
Chaponnay
Chaponost
Chappes
Charantonnay
Charavines
Charbonnieres-les-Bains
Charbonnieres-les-Varennes
Charentay
Charlieu
Charly
Charmes-sur-Rhone
Charnay
Charnecles
Charpey
Charvieu-Chavagneux
Chassagny
Chasse-sur-Rhone
Chasselay
Chassieu
Chateau-Gaillard
Chateaugay
Chateauneuf
Chateauneuf-de-Galaure
Chateauneuf-du-Rhone
Chateauneuf-sur-Isere
Chatel
Chatel-Guyon
Chatillon
Chatillon-en-Michaille
Chatillon-la-Palud
Chatillon-sur-Chalaronne
Chatillon-sur-Cluses
Chatonnay
Chatte
Chatuzange-le-Goubet
Chaudes-Aigues
Chauriat
Chavanay
Chavanod
Chavanoz
Chazelles-sur-Lyon
Chazey-sur-Ain
Chens-sur-Leman
Chessy
Chevry
Chilly
Chimilin
Chindrieux
Chirens
Chiroubles
Choisy
Chomerac
Chuzelles
Civens
Civrieux
Civrieux-d'Azergues
Claix
Clerieux
Clermont-Ferrand
Clonas-sur-Vareze
Cluses
Cognat-Lyonne
Cognin
Cogny
Coise
Coise-Saint-Jean-Pied-Gauthier
Coligny
Collonges
Collonges-sous-Saleve
Colombe
Colombier-Saugnieu
Combloux
Combronde
Commelle
Commelle-Vernay
Commentry
Condat
Condrieu
Contamine-sur-Arve
Corbas
Corbelin
Cornier
Corveissiat
Coublevie
Coubon
Coudes
Courchevel
Cournon-d'Auvergne
Courpiere
Cours-la-Ville
Courzieu
Coutouvre
Coux
Cran-Gevrier
Cranves-Sales
Craponne
Craponne-sur-Arzon
Cremieu
Crest
Creuzier-le-Vieux
Creys-Mepieu
Crolles
Crottet
Cruas
Cruet
Cruseilles
Cublize
Cuinzier
Culoz
Cunlhat
Cussac-sur-Loire
Cusset
Cusy
Cuzieu
Dagneux
Dallet
Dardilly
Davayat
Davezieux
Decines-Charpieu
Denice
Desaignes
Desertines
Die
Diemoz
Dieulefit
Dingy-Saint-Clair
Diou
Divonne-les-Bains
Dolomieu
Domancy
Domarin
Domene
Domerat
Domessin
Dommartin
Dompierre-sur-Besbre
Dompierre-sur-Veyle
Donzere
Dortan
Doussard
Douvaine
Doyet
Drumettaz-Clarafond
Dunieres
Durdat-Larequille
Ebreuil
Echenevex
Echirolles
Ecully
Effiat
Egliseneuve-pres-Billom
Ennezat
Entraigues
Entre-deux-Guiers
Enval
Epagny
Epierre
Epinouze
Erome
Espaly-Saint-Marcel
Estivareilles
Estrablin
Etables
Etaux
Etoile-sur-Rhone
Etrembieres
Eurre
Evian-les-Bains
Evires
Eybens
Eyzin-Pinet
Fareins
Farnay
Faverges
Faverges-de-la-Tour
Feillens
Felines
Ferney-Voltaire
Feternes
Feurs
Feyzin
Fillinges
Firminy
Fitilieu
Flaviac
Fleurie
Foissiat
Fontaine
Fontanil-Cornillon
Fontannes
Fraisses
Francheleins
Francheville
Frangy
Frans
Froges
Frontenex
Gaillard
Gannat
Gelles
Genas
Genay
Genilac
Genissieux
Gerzat
Gex
Gieres
Gilly-sur-Isere
Givors
Gleize
Goncelin
Grandris
Grane
Granges-les-Beaumont
Grenay
Flag Grenoble
Grenoble
Gresy-sur-Aix
Grezieu-la-Varenne
Grezieu-le-Marche
Grieges
Grignan
Grignon
Grigny
Groissiat
Groisy
Grospierres
Gruffy
Guereins
Guilherand-Granges
Habere-Lullin
Haute-Rivoire
Hauterive
Hauterives
Hauteville-Lompnes
Herbeys
Heyrieux
Hieres-sur-Amby
Huez
Huriel
Irigny
Issoire
Izeaux
Izernore
Izeron
Jacob-Bellecombette
Janneyrias
Jardin
Jarrie
Jassans-Riottier
Jasseron
Jaujac
Job
Jonage
Jons
Jonzieux
Joyeuse
Joze
Jujurieux
Julienas
Jussac
Juvigny
L'Albenc
L'Arbresle
L'Isle-d'Abeau
La Balme-de-Sillingy
La Balme-les-Grottes
La Bathie
La Batie-Divisin
La Batie-Rolland
La Begude-de-Mazenc
La Biolle
La Boisse
La Bourboule
La Bridoire
La Buisse
La Chambre
La Chapelle-Blanche
La Chapelle-de-la-Tour
La Clusaz
La Cote-Saint-Andre
La Fouillouse
La Garde-Adhemar
La Grand-Croix
La Monnerie-le-Montel
La Motte-d'Aveillans
La Motte-de-Galaure
La Motte-Saint-Martin
La Motte-Servolex
La Mulatiere
La Mure
La Murette
La Pacaudiere
La Ravoire
La Ricamarie
La Roche-de-Glun
La Roche-sur-Foron
La Rochette
La Seauve-sur-Semene
La Talaudiere
La Terrasse
La Tour
La Tour-de-Salvagny
La Tour-du-Pin
La Tour-en-Jarez
La Tronche
La Verpilliere
La Voulte-sur-Rhone
Labegude
Lablachere
Lachapelle-sous-Aubenas
Lagnieu
Laiz
Lalevade-d'Ardeche
Lamastre
Lamure-sur-Azergues
Langeac
Lanobre
Lantriac
Lapalisse
Lapte
Larajasse
Largentiere
Laroquebrou
Laussonne
Lavault-Sainte-Anne
Lavilledieu
Le Bois-d'Oingt
Le Bourg-d'Oisans
Le Bourget-du-Lac
Le Breuil-sur-Couze
Le Cendre
Le Chambon
Le Chambon-Feugerolles
Le Chambon-sur-Lignon
Le Champ-pres-Froges
Le Cheix
Le Cheylard
Le Cheylas
Le Coteau
Le Crest
Le Donjon
Le Grand-Bornand
Le Grand-Lemps
Le Gua
Le Mayet-de-Montagne
Le Monastier-sur-Gazeille
Le Peage-de-Roussillon
Le Perreon
Le Pin
Le Pont-de-Beauvoisin
Le Pouzin
Le Puy-en-Velay
Le Teil
Le Touvet
Le Versoud
Lempdes
Lempdes-sur-Allagnon
Lemps
Lent
Lentigny
Lentilly
Lepin-le-Lac
Les Abrets
Les Allues
Les Avenieres
Les Cheres
Les Contamines-Montjoie
Les Deux Alpes
Les Echelles
Les Eparres
Les Gets
Les Houches
Les Marches
Les Martres-d'Artiere
Les Martres-de-Veyre
Les Neyrolles
Les Ollieres-sur-Eyrieux
Les Roches-de-Condrieu
Les Vans
Letra
Lezigneux
Lezoux
Liergues
Limas
Limonest
Lissieu
Livet-et-Gavet
Livron-sur-Drome
Lorette
Loriol-sur-Drome
Loyettes
Lozanne
Lucenay
Lucinges
Lugrin
Lumbin
Lurcy-Levis
Luriecq
Lusigny
Luzinay
Lyaud
Flag Lyon
Lyon
Mably
Maclas
Macot-la-Plagne
Magland
Malataverne
Malissard
Manthes
Manzat
Manziat
Marboz
Marcilloles
Marennes
Margencel
Marges
Marignier
Marigny-Saint-Marcel
Marin
Maringues
Marlhes
Marnaz
Marsac-en-Livradois
Marsanne
Marsat
Marsonnas
Marthod
Martignat
Massiac
Massieux
Maubec
Mauriac
Maurs
Mauves
Maxilly-sur-Leman
Mazet-Saint-Voy
Megeve
Meillonnas
Menetrol
Mens
Menthon-Saint-Bernard
Mercurol
Mercury
Meribel
Mery
Messery
Messimy
Metz-Tessy
Meximieux
Meylan
Meythet
Meyzieu
Mezel
Mezeriat
Mieussy
Millery
Mions
Mirabel-aux-Baronnies
Mirefleurs
Miribel
Miserieux
Modane
Mogneneins
Moirans
Molinet
Monestier-de-Clermont
Monistrol-sur-Loire
Monnetier-Mornex
Mont-de-Lans
Mont-Dore
Mont-Saxonnex
Montagnat
Montagny
Montagny-les-Lanches
Montaigut
Montaimont
Montalieu-Vercieu
Montanay
Montbonnot-Saint-Martin
Montboucher-sur-Jabron
Montbrison
Monteleger
Montelier
Montelimar
Montfaucon-en-Velay
Montferrat
Montlucon
Montluel
Montmarault
Montmelian
Montmerle-sur-Saone
Montmorin
Montoison
Montreal-la-Cluse
Montrevel-en-Bresse
Montriond
Montrond-les-Bains
Montrottier
Montsegur-sur-Lauzon
Montvicq
Morance
Morestel
Mornant
Morzine
Moulins
Mours-Saint-Eusebe
Moutiers
Mouxy
Moye
Mozac
Murat
Nantua
Naucelles
Neuilly-le-Real
Neulise
Neussargues-Moissac
Neuville-les-Dames
Neuville-sur-Ain
Neuvy
Neydens
Nievroz
Nivolas-Vermelle
Nohanent
Noiretable
Notre-Dame-de-Mesage
Novalaise
Noyarey
Nurieux-Volognat
Nyons
Oingt
Onnion
Orbeil
Orcet
Orcines
Orleat
Orlienas
Ornex
Ouches
Oullins
Oyonnax
Oytier-Saint-Oblas
Panissieres
Panossas
Parentignat
Paslieres
Passy
Paulhaguet
Peaugres
Peillonnex
Pelussin
Pennes-le-Sec
Penol
Perignat-les-Sarlieve
Perigneux
Peronnas
Perouges
Perreux
Perrignier
Peschadoires
Peyrins
Pierre-Benite
Pierre-Chatel
Pierrefort
Pierrelatte
Pionsat
Pizay
Plauzat
Pleaux
Poisat
Poisy
Polienas
Polignac
Polliat
Pollionnay
Polminhac
Pommiers
Poncin
Poncins
Pont-d'Ain
Pont-de-Cheruy
Pont-de-l'Isere
Pont-de-Vaux
Pont-de-Veyle
Pont-du-Chateau
Pont-en-Royans
Pont-Eveque
Pont-Salomon
Pontcharra
Pontcharra-sur-Turdine
Porcieu-Amblagnieu
Portes-les-Valence
Pouilly-les-Nonains
Poule-les-Echarmeaux
Praz-sur-Arly
Precieux
Premilhat
Presilly
Priay
Pringy
Privas
Publier
Pusignan
Puy-Guillaume
Quincie-en-Beaujolais
Quincieux
Quintenas
Randan
Reaumont
Reauville
Regny
Reignier-Esery
Renage
Renaison
Replonges
Retournac
Revel
Reventin-Vaugris
Reyrieux
Reyssouze
Rillieux-la-Pape
Riom
Riom-es-Montagnes
Riorges
Riotord
Rive-de-Gier
Riverie
Rives
Roanne
Roche
Roche-la-Moliere
Rochegude
Roiffieux
Romagnat
Romans-sur-Isere
Rosieres
Roussillon
Royat
Roybon
Rumilly
Ruoms
Ruy
Sablons
Saignes
Sail-sous-Couzan
Saillans
Sain-Bel
Saint-Agreve
Saint-Alban-de-Roche
Saint-Alban-Leysse
Saint-Amant-Tallende
Saint-Andre-d'Apchon
Saint-Andre-de-Corcy
Saint-Andre-le-Gaz
Saint-Angel
Saint-Antoine-l'Abbaye
Saint-Appolinard
Saint-Avre
Saint-Baldoph
Saint-Barthelemy-de-Sechilienne
Saint-Barthelemy-de-Vals
Saint-Beauzire
Saint-Beron
Saint-Blaise-du-Buis
Saint-Bon-Tarentaise
Saint-Bonnet-de-Mure
Saint-Bonnet-le-Chateau
Saint-Bonnet-pres-Riom
Saint-Bueil
Saint-Cergues
Saint-Cernin
Saint-Chamond
Saint-Chef
Saint-Clair-de-la-Tour
Saint-Clair-du-Rhone
Saint-Clement-les-Places
Saint-Cyprien
Saint-Cyr
Saint-Cyr-au-Mont-d'Or
Saint-Cyr-sur-le-Rhone
Saint-Cyr-sur-Menthon
Saint-Denis-de-Cabanne
Saint-Denis-en-Bugey
Saint-Denis-les-Bourg
Saint-Didier-de-Formans
Saint-Didier-de-la-Tour
Saint-Didier-en-Velay
Saint-Didier-sur-Chalaronne
Saint-Donat-sur-l'Herbasse
Saint-Egreve
Saint-Eloy-les-Mines
Saint-Etienne
Saint-Etienne-de-Cuines
Saint-Etienne-de-Fontbellon
Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs
Saint-Etienne-des-Oullieres
Saint-Etienne-du-Bois
Saint-Etienne-le-Molard
Saint-Etienne-sur-Chalaronne
Saint-Felicien
Saint-Felix
Saint-Flour
Saint-Fons
Saint-Forgeux
Saint-Francois
Saint-Galmier
Saint-Genes-Champanelle
Saint-Genest-Malifaux
Saint-Genis-Pouilly
Saint-Genix-sur-Guiers
Saint-Geoire-en-Valdaine
Saint-Georges-d'Esperanche
Saint-Georges-de-Commiers
Saint-Georges-de-Mons
Saint-Georges-de-Reneins
Saint-Georges-Haute-Ville
Saint-Georges-les-Bains
Saint-Georges-sur-Allier
Saint-Gerand-le-Puy
Saint-Germain-des-Fosses
Saint-Germain-Laprade
Saint-Germain-Lembron
Saint-Gervais-d'Auvergne
Saint-Gervais-les-Bains
Saint-Hilaire
Saint-Hilaire-de-la-Cote
Saint-Ismier
Saint-Jean-Bonnefonds
Saint-Jean-de-Bournay
Saint-Jean-de-Gonville
Saint-Jean-de-Maurienne
Saint-Jean-de-Moirans
Saint-Jean-de-Muzols
Saint-Jean-de-Niost
Saint-Jean-de-Sixt
Saint-Jean-de-Soudain
Saint-Jean-en-Royans
Saint-Jean-le-Vieux
Saint-Jeoire
Saint-Jeoire-Prieure
Saint-Jodard
Saint-Jorioz
Saint-Joseph
Saint-Julien-Chapteuil
Saint-Julien-de-Coppel
Saint-Julien-en-Genevois
Saint-Julien-en-Saint-Alban
Saint-Julien-Mont-Denis
Saint-Just-Chaleyssin
Saint-Just-d'Ardeche
Saint-Just-en-Chevalet
Saint-Just-Malmont
Saint-Just-Saint-Rambert
Saint-Lager
Saint-Laurent-d'Agny
Saint-Laurent-de-Chamousset
Saint-Laurent-de-Mure
Saint-Laurent-du-Pont
Saint-Laurent-en-Royans
Saint-Laurent-sur-Saone
Saint-Mamet-la-Salvetat
Saint-Marcel-d'Ardeche
Saint-Marcel-les-Valence
Saint-Marcellin
Saint-Marcellin-en-Forez
Saint-Martin-Bellevue
Saint-Martin-d'Heres
Saint-Martin-de-Belleville
Saint-Martin-du-Frene
Saint-Martin-du-Mont
Saint-Martin-en-Haut
Saint-Martin-la-Plaine
Saint-Martin-le-Vinoux
Saint-Maurice-de-Beynost
Saint-Maurice-de-Gourdans
Saint-Maurice-de-Lignon
Saint-Maurice-en-Gourgois
Saint-Medard-en-Forez
Saint-Michel-de-Maurienne
Saint-Nazaire-en-Royans
Saint-Nazaire-les-Eymes
Saint-Nicolas-de-Macherin
Saint-Nizier-sous-Charlieu
Saint-Ours
Saint-Paul-de-Varax
Saint-Paul-des-Landes
Saint-Paul-en-Chablais
Saint-Paul-en-Cornillon
Saint-Paul-en-Jarez
Saint-Paul-les-Romans
Saint-Paul-Trois-Chateaux
Saint-Paulien
Saint-Peray
Saint-Pierre-d'Albigny
Saint-Pierre-de-Boeuf
Saint-Pierre-de-Chandieu
Saint-Pierre-en-Faucigny
Saint-Pourcain-sur-Sioule
Saint-Priest
Saint-Priest-en-Jarez
Saint-Privat
Saint-Quentin-Fallavier
Saint-Quentin-sur-Isere
Saint-Remy-en-Rollat
Saint-Remy-sur-Durolle
Saint-Restitut
Saint-Romain-d'Ay
Saint-Romain-de-Jalionas
Saint-Romain-de-Popey
Saint-Romain-en-Gal
Saint-Romain-en-Gier
Saint-Romain-le-Puy
Saint-Romans
Saint-Saturnin
Saint-Sauves-d'Auvergne
Saint-Sauveur
Saint-Sauveur-en-Rue
Saint-Savin
Saint-Sernin
Saint-Simeon-de-Bressieux
Saint-Simon
Saint-Sulpice-des-Rivoires
Saint-Symphorien-sur-Coise
Saint-Theoffrey
Saint-Trivier-de-Courtes
Saint-Trivier-sur-Moignans
Saint-Vallier
Saint-Victor
Saint-Victor-de-Cessieu
Saint-Vincent
Saint-Vincent-de-Mercuze
Saint-Vulbas
Saint-Yorre
Sainte-Consorce
Sainte-Euphemie
Sainte-Florine
Sainte-Foy-l'Argentiere
Sainte-Helene-sur-Isere
Sainte-Sigolene
Salagnon
Salaise-sur-Sanne
Sales
Salins-les-Thermes
Sallanches
Samoens
Sansac-de-Marmiesse
Sarras
Sassenage
Sathonay-Camp
Satillieu
Satolas-et-Bonce
Saugues
Saulce-sur-Rhone
Sault-Brenaz
Sauvagnat-Sainte-Marthe
Sauverny
Sauxillanges
Sauzet
Savas-Mepin
Savasse
Savigneux
Savigny
Sayat
Sciez
Scionzier
Seez
Segny
Septeme
Serezin-du-Rhone
Sergy
Sermerieu
Serpaize
Serrieres
Serrieres-de-Briord
Servas
Seuillet
Seynod
Seyssel
Seyssinet-Pariset
Seyssins
Seyssuel
Siaugues-Sainte-Marie
Siccieu-Saint-Julien-et-Carisieu
Sillans
Sillingy
Simandres
Sinard
Sixt-Fer-a-Cheval
Solaize
Solignac-sur-Loire
Sonnaz
Sorbiers
Soucieu-en-Jarrest
Sourcieux-les-Mines
Souvigny
Sury-le-Comtal
Suze-la-Rousse
Talloires
Taluyers
Taninges
Tarare
Tassin-la-Demi-Lune
Taulignan
Teche
Tenay
Tence
Tencin
Ternay
Theize
Theys
Thiers
Thil
Thizy
Thoiry
Thoissey
Thollon-les-Memises
Thones
Thonon-les-Bains
Thuellin
Thueyts
Thurins
Thyez
Tignes
Tignieu-Jameyzieu
Tossiat
Toulaud
Toulon-sur-Allier
Tournon-sur-Rhone
Toussieu
Toussieux
Tramoyes
Treffort-Cuisiat
Trept
Tresserve
Trevoux
Tulette
Tullins
Ugine
Unieux
Usson-en-Forez
Flag Val Thorens
Val Thorens
Val-d'Isere
Valaurie
Valence
Valencin
Valleiry
Vallieres
Valloire
Vallon-en-Sully
Vallon-Pont-d'Arc
Vals-les-Bains
Vals-pres-le-Puy
Varacieux
Varennes-sur-Allier
Varennes-sur-Morge
Vaugneray
Vaulnaveys-le-Haut
Vaulx-en-Velin
Vaulx-Milieu
Vaux-en-Bugey
Veauche
Veigy-Foncenex
Vendat
Venissieux
Venthon
Verchaix
Vergongheon
Vernaison
Vernosc-les-Annonay
Vernoux-en-Vivarais
Vertaizon
Vesseaux
Vetraz-Monthoux
Veurey-Voroize
Veyras
Veyre-Monton
Veyrier-du-Lac
Vic-le-Comte
Vic-sur-Cere
Flag Vichy
Vichy
Vieille-Brioude
Vienne
Vif
Villard-Bonnot
Villard-de-Lans
Villargondran
Villars
Villars-les-Dombes
Villaz
Ville-la-Grand
Villebois
Villebret
Villefontaine
Villefranche-sur-Saone
Villemoirieu
Villemontais
Villeneuve
Villeneuve-de-Berg
Villerest
Villereversure
Villette-d'Anthon
Villette-de-Vienne
Villeurbanne
Villevocance
Villie-Morgon
Vimines
Vinay
Vinsobres
Violay
Viriat
Virieu
Virieu-le-Grand
Viriville
Viry
Viuz-en-Sallaz
Viuz-la-Chiesaz
Viviers
Viviers-du-Lac
Vizille
Voglans
Vogue
Voiron
Volvic
Vonnas
Voreppe
Vorey
Vougy
Vourey
Vourles
Ydes
Yenne
Youx
Yssingeaux
Ytrac
Yvoire
Yzeure

Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 08/02/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-ara/32598.html

L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.