Chronologie de La trilogie de la violence de 1900 à 2000

Il y a actuellement 49i évènements affichés dans cette partie de la chronologie, 149i pour cette série (2 187i dans la chronologie complète).

#1Naissance de Marc Sérol
Flag France
#2

Marc Sérol, un psychiatre français, farouche soutien de Pétin et du régime de Vichy, effectue des recherches sur le contrôle mental des individus. Il crée la théorie du syndrome E; un gène de la violence, inné, à partir duquel il serait possible de manipuler le cerveau humain. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p80Dans les années
Flag FranceFlag Etats-Unis d'Amérique
#3

La CIA organise la venue de Sérol aux USA, en lui offrant une nouvelle identité: Marc Sandon. Pendant des années, il va participer aux programmes secrets de la CIA concernant les manipulations mentales; les projets Artichoke, puis Mkultra.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p81
Flag Paris
#4

Jacques Lacombe, 18 ans, filme les représentations de magie aux Trois Sous, une salle de spectacle parisienne. Il rencontre Judith, maquilleuse et costumière. 

Jacques et Judith ont une relation pendant un an. 

Différences avec la BD, choix des dates Dans la BD (p67), Judith explique qu’elle a rencontré Jacques en 1957, alors qu’ils avaient 20 ans.
Je dois choisir une date, donc je prends celle du livre...
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p67De à
Flag Montreal
#5

Alice Tonquin nait chez les sœurs de la Miséricorde à Montréal. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Colombie
#6

Jacques Lacombe part en Colombie tourner un film "Les Yeux de la forêt", un film de cannibales dans lequel il est suspecté d’avoir tué réellement une colombienne pour les besoins de "réalisme".

C’est quand Judith tourne pour lui des années plus tard et qu’elle est droguée au LSD qu’elle se rend compte que Jacques a réellement tué l’actrice colombienne.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
#7

Jacques Lacombe apparait publiquement pour la dernière fois lors d’une soirée, où il est pris en photo. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag MontrealFlag Etats-Unis d'Amérique
#8

Ecarté des projets de la CIA alors qu’il voulait conduire des expériences sur les enfants, Sandon part vivre à Montréal, profitant de la crise des orphelins de Duplessis pour réaliser ses expériences sur des orphelins, dans un établissement religieux auquel appartient sœur Marie-du-Calvaire.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p81Dans les années
Flag FranceFlag Washington D.C.
#9

Jacques Lacombe quitte la France pour s’installer à Washington, où il travaille en tant qu’opérateur projectionniste dans un petit cinéma de quartier pendant 2 ans. Son assistant est persuadé qu’il a un projet sérieux là-bas. Quelqu’un avait visionné ses films, et voulait travailler avec lui.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) De à
#10Naissance de Kamel Chibane
Flag Baie-Saint-PaulFlag Montreal
#11

Alice est transférée des sœurs de la Miséricorde vers les petites franciscaines de Marie, à l’âge de 3 ans. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Baie-Saint-PaulFlag Montreal
#12

Alice est transférée des petites franciscaines de Marie vers l’hôpital de la Charité de Montréal. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
#13

Naissance de Philip Rotenberg. 

Choix de date Dans "Le syndrome E", Thilliez écrit page 409 que Rotenberg a 25 ans en 1977.
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag MontrealFlag Washington D.C.
#14

Jacques Lacombe part vivre à Montréal où il poursuit ses activités de projectionniste.

Choix de date Dans le livre "Le syndrome E", à la page 332 Thilliez écrit que ce déplacement se fait en 1953, alors qu’il utilise la date 1954 page 399 du même livre.
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) Aux environs de
Flag MontrealFlag France
#15

Judith embarque pour le Canada à la demande de Jacques Lacombe. 

Différences entre le livre et la BD Dans le livre, Judith embarque pour Montréal; dans la BD le film sera tourné en Provence.
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p66-69Automne
Flag MontrealFlag Provence-Alpes-Cote-d'Azur
#16

Jacques Lacombe réalise un film avec Peterson pour lequel il drogue (probablement avec du LSD, testé avec le programme Artichoke) l’actrice Judith afin de la mutiler et de lacérer son ventre devant la caméra. Les seringues de LSD est fourni par un médecin ou un homme de science qui collabore avec Jacques. 

Différences entre le livre et la BD, âge d’Alice et lieu de tournage Dans la BD, le tournage est réalisé en Provence au lieu du Québec, et Alice est impliquée dans la scène du pré avant de charcuter Judith. Selon le livre, Alice est née en  octobre ’48, ce qui fait qu’elle serait âgée de 5 ans seulement  dans la BD lors du tournage en Provence, alors que Judith dit qu’elle a plus ou moins 9 ans. 
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p66-69Automne
Flag Montreal
#17

Lacombe et Peterson filment les expériences menées sur le syndrome E 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Montreal
#18

James Peterson, sous le nom de Peter Jameson, s’est marié avec Hélène Riffaux. Ils adoptent une des orphelines du Mont-Providence (Alice) sous une nouvelle identité; Coline Quinat.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) Après
Flag Montreal
#19

Jacques Lacombe meurt à Montréal dans l’incendie de sa maison. 

Date de sa mort - différence entre le livre et la BD Dans la BD, Judith déclare que Jacques est mort dans les années ’70 (Le syndrome E, p.68).
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Amazonas
#20

A 23 ans, Chimaux découvre la tribu des Ururu dans l’une des zones les plus reculées et inexplorées de l’Amazonie.

Différences entre le livre et la BD Dans la BD (p69-70), il s’agit du peuple Akutu, et qui est découvert dans les années ’70 seulement.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p70
Flag AmazonasFlag Vémars
#21

Entre 1964 et 1965, Chimaux le monde pour faire part de sa découverte des Ururu. Il publie un livre intitulé Comment j’ai découvert les Ururu, le peuple féroce…. Il y parle de son incroyable expédition, de toutes les fois où il a failli mourir, de l’horreur de sa première rencontre avec ceux qu’il qualifie comme « le dernier groupe vivant issu de l’âge de pierre ». Il se rend dans les universités, les instituts de recherche avec ses photos, ses ossements. De nombreux scientifiques sont intéressés par ses découvertes.

Que ce soit dans son livre ou ses voyages, jamais, jamais Napoléon ne dévoile l’endroit où vivent les Ururu en Amazonie, si bien que personne n’est capable de lui « voler » son peuple. Lui seul, ainsi que son équipe d’expédition, des marginaux, des chercheurs d’or qu’il protège jalousement, sont capables de retrouver leurs traces…

Plus d’infos sur les Ururu

Il fait clairement passer ce peuple pour une relique vivante de la culture préhistorique, un peuple d’une violence inouïe. Il raconte « J’ai en face de moi un tableau incroyable de ce à quoi pouvait ressembler la vie pendant une bonne partie de la préhistoire. »

Dans son ouvrage, Napoléon Chimaux n’est pas tendre avec les Ururu. Il les décrit comme un peuple sanguinaire, une horde de tueurs qui ne cesse de livrer des guerres tribales. La plupart des individus sont jeunes, puissants, agressifs. Ils pratiquent des rites d’une grande barbarie, avec, à la clé, une mort affreuse. Chimaux décrit avec beaucoup d’emphase leur violence extrême, la manière très archaïque et directe dont ils tuent, et ce dès le plus jeune âge.

Il dresse un parallèle étroit entre la structure des Ururu et celles de nombreux primates. Comme pour les troupes de babouins, les villages se scindent en deux dès qu’ils dépassent une certaine taille. Selon Chimaux, les « Féroces » ressemblent à ces singes : des primates amazoniens dont la parfaite amoralité fait du meurtre et des rites sanguinaires des idéaux tribaux.


En réalité, Chimiaux  découvre que la violence des Ururu n’existe pas, parce qu’elle n’a pas le temps de s’exprimer : les adultes mâles se sacrifient aux premiers symptômes de déséquilibres, de visions inversées. il invente de toute part leur violence qu’il porte d’université en université afin que cette tribu effraie autant qu’elle fascine, afin que personne ne vienne interférer.

Différences entre le livre et la BD Dans la BD (p70), il s’agit du peuple Akutu, et le livre est publié dans les années ’80 seulement.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p69-73, 88Aux environs de ou 1965
Flag AmazonasFlag Ile-de-France
#22

Chimaux est revenu du Brésil, il a écrit son livre, et il parcourt les instituts d’anthropologie, avec ses ossements d’Ururu. Il fait appel au laboratoire de Noland pour analyser quelques échantillons de sang de la tribu Ururu qu’il a découvert, afin de juger, au départ, de leur état de santé. Il n’y a là aucune mauvaise intention, cela se fait systématiquement à chaque découverte d’un nouveau peuple.

Il choisit le laboratoire de Noland car il apprécie son travail sur les gènes et partage ses idées d’eugénisme, et est comme lui contre ce qu’il considère une gérontocratie.

Différences entre le livre et la BD Dans la BD (p98), la femme de Nolan dit à Sharko que son mari et Chimaux se connaissent depuis leurs études de médecine dans la même école.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p71
Flag Amazonas
#23

Ne sachant pas que la tribu est porteuse d’un rétrovirus qui existe depuis la période préhistorique, Chimaux et Noland ont des théories différentes; Chimaux, pur darwiniste, est d’avis que c’est la culture Ururu qui modifie l’ADN, alors que Noland est persuadé que c’est l’ADN des Ururu qui a modifié leur culture. Noland a alors l’idée de confronter leurs deux théories, et élabore un plan.

Dans la tribu amazonienne des Ururu, Chimaux revient avec le virus de la rougeole dans son sac. Porteur d’une telle arme de destruction, l’anthropologue s’impose comme l’être capable d’anéantir sans même rien toucher. Un dieu, un sorcier, un diable… Dès lors, les Ururu le vénèrent tout autant qu’ils le craignent.

Noland filme les corps décimés sur une cassette vidéo portant le nom Phénix n° 1.

Phénix 1 Le choix du nom est dû au fait que la mère doit mourir pour mettre au monde le fils, comme l’oiseau qui renait de ses cendres. plus tard, Terney donnera ce nom au rétrovirus Gataca.

Ensuite, Chimaux disparaît brusquement de la civilisation. D’après les gens de son village natal (Vémars), il ne revient dans sa maison que de temps à autre, juste quelques jours. Il vit dans le plus gros village des Ururu, où apparemment, il règne en maître sur l’ensemble du peuple.

L’endroit où vivent les Ururu devient plus ou moins connu quarante ans plus tard (dans les alentours du haut rio Negro), mais ceux qui se hasardent alors dans ces régions pour tenter d’étudier les Ururu se font chasser à la manière forte, avec un message pour le moins direct de Napoléon Chimaux : « Ne revenez plus jamais ici. »

Différences entre le livre et la BD Dans la BD (p67) le film est tourné le 12 juin 1987.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p71-72, 91, 98

Gataca, 1ère insémination réussie

Flag France
#24

Chimaux fournit le produit séminal d’un Indien Ururu intolérant au lactose, colossal, violent, contenant l’ADN du rétrovirus de la violence, une horreur destinée à se propager de génération en génération.
Geneviève Noland est inséminée avec cet échantillon, probablement à son insu, dans la plan machiavélique de son mari.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p99Entre et 1968
#25

Le Dr Ewen Sanders décède d’une crise cardiaque. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag France
#26

Noland tente d’inséminer plusieurs dizaines de femmes, mais les taux d’échecs sont énormes. Ce sont encore balbutiements de la technique, et peut-être que les spermatozoïdes supportent mal la cryogénisation et le transport depuis le Brésil vers la France.

Pensant alors à un problème immunologique, quelque chose en rapport avec le système immunitaire, les échanges mères-fœtus durant la grossesse, Noland se tourne vers Terney qui connait sur le bout des doigts l’ADN et les mécanismes de la procréation. Terney découvre le rétrovirus dont les Ururu sont porteurs dans leur ADN.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p99
Flag MontrealFlag Washington
#27

La CIA commence à faire disparaitre les preuves de l’existence du projet Mkultra.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Etats-Unis d'Amérique
#28

Le New York Times dénonce les expériences de contrôle mental menées par la CIA sur des citoyens américains, dont la plupart à leur insu., dans le cadre du projet Top-Secret Mkultra pour la société SIHE

Le nom du Dr D. Ewen Sanders y figure; dans les dossiers on trouve aussi le nom de Szpitman dans des recherches historiques faites par le père de Luc.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Flag Washington
#29

David Lavoix et son père débarquent dans le cabinet de défense des libertés civiles de Joseph Rauth avec un exemplaire du New York Times qui parle du projet Mkultra. Ils souhaitent attaquer la CIA en justice. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
#30Décès de Marc Sérol
#31Décès de Marc Sandon
#32Naissance de Walid Soltani
Flag Vincennes
#33

Terney commence à avoir des rendez-vous secrets. Il prétend à sa femme être à son club de bridge, mais elle découvre le mensonge et pense à une maîtresse; elle se met alors à le surveiller. Elle découvre qu’il ne voit pas une femme, mais deux hommes. Des individus qu’il rencontre plusieurs fois par mois dans les tribunes de l’hippodrome de Vincennes, ville où ils vivent. Ils lui remettent des cassettes video.

Terney devient de plus en plus paranoïaque et interdit à quiconque d’entrer dans son bureau, même en sa présence.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) Aux environs de
Flag Vincennes
#34

Les réunions sont nombreuses entre Terney, Chimaux et Noland. Terney se renferme sur lui-même, devient secret et mystérieux. Ensuite, on constate la remise de plusieurs cassettes vidéo par les deux hommes à Terney.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) De à
Flag Halifax
#35

Lydia Hocquart décède d’un arrêt cardiaque dans l’hôpital psychiatrique Saint-Julien de Saint-Ferdinant à Halifax.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])

Gataca, 2ème insémination réussie

Flag Reims
#36

Amanda Potier tombe enceinte. Son gynécologue est le docteur Grayet. En réalité elle est inséminée à son insu par Noland avec la complicité de Chimaux qui fournit le produit séminal d’un Indien Ururu.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p99
Flag Vincennes
#37

Un jour ou Terney est absent pour la journée, sa femme appelle un serrurier, pour qu’il ouvre discrètement le bureau. Au fond de la pièce, il y a une grosse armoire de métal, verrouillée elle aussi, que Terney avait achetée quelques mois plus tôt. Le serrurier gâche le travail et arrive à ouvrir le premier tiroir mais en la massacrant. Il contient ne cassette vidéo avec une étiquette mentionnant Phénix n° 1. Gaëlle en fait une copie. C’est la vidéo tournée dans la tribu des Ururu découverte par Chimaux.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p57

Divorce de Terney

Flag Vincennes
#38

Quand Terney rentre, il constate que non seulement sa femme a pénétré dans son bureau, mais qu’en plus elle a fouillé dans son armoire. Elle lui demande des explications sur le film ignoble et sur les hommes mystérieux, qu’il rencontre secrètement depuis plusieurs mois. Ce jour-là, tout explose entre eux.

Terney disparait plusieurs jours, avec tous ses secrets, ses papiers, ses cassettes, sans aucune explication, sans en dire davantage à sa femme. Quand il revient, il annonce qu’il part pour Reims et qu’il demande le divorce.

Officiellement, le motif sera le déménagement et le fait que, Gaëlle Lecoupet, avocate au barreau de Paris, ne peut le suivre en province sans compromettre ses chances de carrière.

Différences entre la BD et le livre Dans la BD, ce sont l’idéologie eugéniste de Terney(p55), ainsi que son rapprochement avec Amanda sa patiente et l’acquisition des toiles de placenta (p56), que sa femme ne peut supporter qui est la cause de divorce.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p55
Flag Reims
#39

Stéphane Terney prend la tête du département de gynécologie obstétrique de l’hôpital de la Colombe à Reims, où il exerce jusqu’en 1990.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p52
Flag Reims
#40

Stéphane Terney se rapproche d’Amanda, car il a appris par Noland que ce dernier l’a inséminée dans le cadre de ses recherches sur les Ururu. Il lui achète quelques-unes de ses œuvres lors d’un vernissage, pour la soutenir, l’encourager. Elle semble l’aimer beaucoup. Il lui commande alors des peintures. Des dessins en rapport avec l’ADN et la naissance, qu’il voulait pour décorer sa maison, des œuvres étranges représentant son propre placenta hypervascularisé.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p54-56
Flag Reims
#41

Grégory Carnot nait sous X. La mère de Grégory Carnot meurt sur la table d’accouchement, d’une hémorragie cataclysmique.

Le nom de l’enfant est en réalité choisi par Terney, Grégory Arthur TAnael CArnot, ou G A TA CA, signature des bases du rétrovirus.

Différences entre la BD et le livre Dans la BD, cet évènement se déroule le 4 janvier 1997.
La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p52, 54, 99

Décès de Jeanne Lambert

Flag Sydney
#42

Jeanne donne naissance à son second enfant, Félix, mais elle meurt d’une pré-éclampsie qui entraine une hémorragie interne irréparable.

La trilogie de la violence, T2 (Gataca) p75, 99
Flag Le Caire
#43

Un tirage du journal الأهالي (al-Ahālī) d’avril détaille les évanouissements en masse d’environ cinq mille jeunes filles, précédés d’un violent mal de tête. Certaines des jeunes filles ont développé des comportements agressifs. 

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
#44Décès de Selma Ferdi
#45Décès de Mounia Bentaleb
#46Décès de Meryem Boudoukha
Flag Le Caire
#47

Le SIGN, le réseau mondial pour la sécurité des injections, tient sa réunion annuelle au Caire. 

Dates En réalité, le SIGN a été lancé en 1999 par l’OMS, soit cinq ans après la date évoquée dans le livre.
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) Du au
Flag AlgerFlag Le CaireFlag Casablanca
#48

3 jeunes filles sont violemment tuées, et leurs crânes sont sciés afin de prélever leur cerveau (par Coline Quinat). Elles sont aussi énucléées, mutilées, et leur corps est lacéré. 

Différences entre le livre et la BD Dans le livre, ces faits se passent au Caire; dans la BD, c’est à Alger; et dans la série télé c’est à Casablanca.
Dans le livre, le commissaire est Nouredine, alors que dans la BD c’est Kechna.
La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E]) p48-50
Sharko et Henebelle, T6 (Le syndrome [E]) p97, 387
Du au
Flag Bornem
#49

Une quarantaine d’élèves sont hospitalisés après avoir bu du Coca Cola. Quelques uns se sont plaints, en disant que l’odeur était mauvaise, le goût pas bon. A 13h45, deux jeunes tombent malades, et se plaignent d’envies de vomir, de douleurs dans les pieds, de palpitations, de tremblements. Rapidement, cinq de leurs camarades présentent les mêmes symptômes. Ils sont aussitôt envoyés à la clinique Saint-Joseph, située à 500 mètres.

A 15 heures, 22 nouveaux élèves se trouvent à la clinique, rejoints un peu plus tard par 17 autres. «Ils présentaient des symptômes d’intoxication: maux de tête, vomissements, nausées, maux de ventre», affirme la pédiatre qui les a examinés. Quinze des 39 enfants dorment à la clinique.

La trilogie de la violence, T1 (Le Syndrome [E])
Date historique

Document créé le 06/06/2020, dernière modification le 06/07/2023
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/bd/la-trilogie-de-la-violence/timeline-evt-1900-2000.html

L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.