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Vietnam (Socialist Republic) - Việt Nam

Flag Vietnam (Socialist Republic)

Le Viêt Nam, Viet Nam, Vietnam ou Viêtnam, en forme longue la république socialiste du Viêt Nam (en vietnamien Việt Nam, Cộng hoà Xã hội Chủ nghĩa Việt Nam et 共和社會主義越南 en chữ nôm), est un pays d’Asie du Sud-Est situé à l’est de la péninsule indochinoise. Il partage ses frontières avec la Chine au nord, le Laos au nord-ouest et le Cambodge au sud-ouest. Sa capitale est Hanoï. La langue officielle est le vietnamien et la monnaie le dong. C’est un État communiste à parti unique, dirigé par le Parti communiste vietnamien depuis 1975.

Vietnam (Socialist Republic) couvre une superficie de 331,210i  km2 avec une population de 96,208,984i habitants (01/05/2020), soit densité de 290.48i habitants par Km2.
Gentilé : L'habitant(e) Vietnam (Socialist Republic) s'appelle un(e) Vietnamien(ne).

Vietnam (Socialist Republic) fait partie de Earth Flag Earth.
Capitale : Hà Nội
Régime politique : République. État communiste à parti unique
Monnaie : đồng (₫) (VND)
Langue officielle : Vietnamese
Fuseau horaire  +07:00

Localisation

Carte du monde

Vietnam (Socialist Republic) : descriptif

Étymologie

Avant de s’appeler « Viêt Nam », le pays a connu au moins une dizaine d’appellations nationales ponctuées de nombreux changements.

Dans la langue vietnamienne, langue monosyllabique, « Viêt Nam » s’écrit en deux mots : Việt et Nam. Le mot Việt est un nom propre qui désigne le groupe ethnique des Viets, qui vivait autrefois dans une région s’étendant du Sud du Yangzi Jiang en Chine à la partie Nord du Viêt Nam actuel. Quant au mot Nam, il signifie le sud. Le nom « Viêt Nam » peut donc être traduit littéralement par « pays des Viets du Sud ».

Géographie

Le Viêt Nam est un pays d’Asie du Sud-Est, entouré par le Laos à l’ouest-nord-ouest, le Cambodge au sud-ouest et la Chine au nord-nord-ouest. Il est bordé par la mer de Chine, le golfe du Tonkin et le golfe de Thaïlande. Il a une superficie de 331 212 km2 dont 4 200 km2 d’eaux territoriales. Sa frontière maritime est longue de 3 260 km. Il a la forme d’un « S » étiré, dont les extrémités seraient distantes de 1 650 km. Il existe des désaccords territoriaux entre le Viêt Nam, la Chine et certains pays bordant la Mer de Chine méridionale (dénomination que le pays ne reconnaît pas, au profit de « Mer de l’Est »), par exemple au sujet des îles Paracels (Quần đảo Hoàng Sa) et des îles Spratleys (Quần đảo Trường Sa). Ces désaccords entraînent régulièrement des épisodes de tensions voire des affrontements navals entre le Viêt Nam et la Chine.

Le Viêt Nam est constitué de trois grandes régions, appelées Bô :

  • au Nord, le Tonkin, ou Bắc Bộ, avec comme villes principales Hanoï et Haïphong ;
  • au centre, l’Annam, ou Trung Bộ, traversée par la chaîne Annamitique, avec comme villes principales Hué et Da Nang (anciennement Tourane) ;
  • au sud, la Cochinchine, ou Nam Bộ, avec comme ville principale Hô-Chi-Minh-Ville (Saigon).

Environnement

Au cours de la guerre du Viêt Nam, plus de 80 millions de litres d’herbicides — principalement de l’agent orange — sont déversés sur le pays par les forces américaines pour priver les communistes des forêts où ils se réfugiaient. Aujourd’hui encore, une partie des sols restent contaminée et la pêche est interdite dans plusieurs régions du fait de la nature cancérigène des produits.

En 2016, la découverte sur la côte de Hué de milliers de poissons morts, en raison des rejets de l’aciérie Formosa, entraine une vague de manifestations dans tout le pays. Le gouvernement, qui avait accordé des clauses très avantageuses à l’entreprise taïwanaise, s’engage à punir avec sévérité les coupables de ce désastre environnemental.

Le Viêt Nam interdit les herbicides contenant du glyphosate en avril 2019. Après la décision de la Chine de cesser d’être la « poubelle du monde » en important les déchets plastiques des pays occidentaux, les importations de déchets plastiques au Viêt Nam ont doublé en 2018.

Topographie

Les montagnes et les hauts plateaux occupent les deux tiers du territoire vietnamien. De la région de Thanh Hóa, à la frontière chinoise, au col de Lao Bao (région de Quang Tri), sa frontière Ouest est constituée par la cordillère de Truong-Son du Nord, issue du plateau tibétain. C’est dans la région du Nord-Ouest que l’on trouve les principaux sommets tels que le Phan Xi Păng, point culminant du pays avec 3 143 mètres d’altitude, et le Phu Si Lùng avec 3 076 mètres. La cordillère du Sud s’étend du col de Hải Vân, au sud de la région de Đà Nẵng, jusqu’à celle de Đà Lạt.

Histoire

Pour les historiens vietnamiens, le Viêt Nam fut fondé en 2877 av. J.-C. La capitale de l’époque se situait à l’emplacement de l’actuelle Canton (Quảng Châu) en Chine méridionale. L’histoire du pays, dont les origines sont semi-légendaires, se confond en grande partie avec celle du peuple Việt, aussi appelé Kinh, qui, de son berceau primitif du Van Lang, aurait ensuite essaimé vers le delta du fleuve Rouge (Đồng bằng sông Hồng). Les Viêt ne prennent que très progressivement possession de l’espace géographique qui est aujourd’hui celui du Viêt Nam. En 258 av. J.-C., le Van Lang est intégré au royaume élargi d’Âu Lạc, qui passe à son tour sous la coupe de l’Empire de Chine. En 221 av. J.-C., un général chinois, Zhao Tuo (趙佗) se proclame roi d’un nouvel État indépendant, le Nam Việt (comprenant des territoires du Sud de la Chine et du Nord de l’actuel Viêt Nam), qui existe jusqu’en 111 av. J.-C., date à laquelle il est reconquis par la Chine sous le règne de l’empereur Wudi de la dynastie Han (漢武帝).

Le futur Viêt Nam demeure une possession chinoise pendant environ un millénaire, malgré des révoltes parmi lesquelles celles menées par les deux sœurs Trung (Hai Bà Trưng) et Triệu Thị Trinh sont les plus célèbres, et des périodes d’indépendance plus ou moins longues. Sous la dynastie chinoise des Tang, le pays est un protectorat désigné sous le nom d’Annam, le « Sud pacifié », nom qui servira longtemps à le désigner en Occident. Ce n’est qu’en 932 que l’effondrement du pouvoir central permet au Đại Việt, le « Grand Viêt », de devenir un royaume indépendant, qui continue cependant de payer tribut à la Chine. Au cours d’un processus séculaire appelé Nam Tiên, la « Marche vers le Sud », les Viêt conquièrent le territoire qui va devenir celui du Viêt Nam, aux dépens du Royaume de Champā et de l’Empire khmer. Plusieurs dynasties se succèdent à la tête du pays qui, au xviiie siècle, atteint peu ou prou la configuration de l’actuel Viêt Nam. Entre le milieu du xvie siècle et la fin du xviiie siècle, le pays est politiquement divisé en deux, la famille des ministres Trịnh (Chúa Trịnh) contrôlant le Nord et la famille Nguyễn (Nhà Nguyễn/) le Sud, tandis que les empereurs de la dynastie Lê (Nhà Lê) ne conservent qu’un pouvoir symbolique. Les Tây Sơn (Nhà Tây Sơn/) disputent ensuite le pouvoir aux deux familles, mais ce sont les Nguyễn, avec l’aide de la France, qui remportent la victoire. Au début du xixe siècle, Gia Long (嘉隆) de la famille Nguyễn devient l’empereur du pays, qui prend le nom de Việt Nam et continue de reconnaître la Chine comme puissance suzeraine.

Au milieu du siècle, la fermeture du pays au commerce étranger et au christianisme finit par entraîner un conflit avec la France : le Second Empire intervient en 1858 et s’empare du Sud du pays, qu’il annexe pour en faire la colonie de Cochinchine. En 1883, la guerre franco-chinoise provoque une nouvelle expédition française, la France souhaitant à la fois sécuriser sa colonie et s’emparer des richesses du Tonkin au nord du pays. Des traités de protectorat aboutissent à la création de deux nouvelles entités, le Protectorat d’Annam (centre) et le Protectorat du Tonkin (nord). Le pays est désormais divisé en trois, les empereurs Nguyễn ne conservant qu’une autorité symbolique sur l’Annam et le Tonkin, tandis que la Cochinchine fait partie intégrante du territoire de la France. En 1887, les trois entités sont intégrées à l’Indochine française.

Malgré de nombreux soulèvements nationalistes, les Français maintiennent leur contrôle sur le territoire vietnamien ; dans les années 1930, le Parti communiste indochinois, dirigé par Nguyen Aï Quoc, futur Hô Chi Minh, organise à son tour des insurrections, durement réprimées. Les nationalistes vietnamiens modérés et l’empereur Bảo Đại tentent d’obtenir par la négociation une autonomie accrue, mais n’ont pas plus de succès. En 1945, le Japon, qui occupait l’Indochine française depuis 1940, démantèle l’appareil colonial français pour prendre le contrôle du territoire. La reddition japonaise, quelques mois plus tard, permet au Việt Minh, front nationaliste dirigé par le Parti communiste de Hô Chi Minh, de prendre le pouvoir lors de la révolution d’Août. Les Français ne parviennent que progressivement à reprendre le contrôle de l’Indochine ; Hô Chi Minh, dont le pouvoir est encore très fragile, tente la voie de la négociation, mais les pourparlers achoppent et, fin 1946, le conflit larvé débouche sur la guerre d’Indochine. Les Français réorganisent le pays, unifiant les trois territoires au sein de l’État du Viêt Nam (Quốc gia Việt Nam) dirigé par Bảo Đại ; le soutien de la Chine permet cependant au Việt Minh de prendre militairement l’avantage. Après leur défaite lors de la bataille de Diên Biên Phu (Chiến dịch Điện Biên Phủ), les Français renoncent à poursuivre un conflit ingagnable sans le soutien des Américains, encore affaiblis par la guerre de Corée et, lors des accords de Genève de 1954, reconnaissent l’indépendance de la partie nord du pays.

Le Viêt Nam demeure cependant provisoirement divisé en deux, les communistes ayant le contrôle du Nord et le gouvernement de Bảo Đại celui du Sud. Ngô Đình Diệm, premier ministre du Sud, refuse le référendum prévu par les accords pour réunifier le pays et prend le pouvoir, évinçant Bảo Đại et proclamant la république. Deux États ennemis, la république démocratique du Viêt Nam au Nord (Việt Nam Dân chủ Cộng hòa) et la république du Viêt Nam au Sud (Việt Nam Cộng hòa) se font désormais face, le Viêt Nam devenant l’un des fronts les plus chauds de la guerre froide. Les États-Unis, désireux d’endiguer la progression du communisme en Asie, se substituent aux Français comme protecteurs du Sud Viêt Nam et aident Diệm à combattre l’insurrection communiste. Si la politique du président sud-vietnamien en matière économique et sociale s’avère positive, avec la construction de nouvelles écoles publiques ainsi qu’une rapide croissance économique du Sud Viêt Nam, l’autoritarisme croissant de celui-ci le rend de plus en plus impopulaire, en particulier à cause de sa politique religieuse et du sentiment ressenti par une partie des bouddhistes de favoritisme envers la minorité catholique et de persécution à la suite des immolations de bonze et de leur médiatisation. En 1963, avec l’assentiment des Américains, il est renversé lors d’un putsch.

Cependant, cette politique religieuse décrite comme hostile aux bouddhistes semble n’être qu’un prétexte pour les États-Unis afin de remplacer Diệm par une junte militaire plus favorable aux intérêts américains. En effet, le président sud-vietnamien était opposé à un envoi de troupes américaines au sol et envisageait de rompre l’alliance de son pays avec les États-Unis. La responsabilité américaine dans ce coup d’État militaire fait débat, certains historiens y voyant une implication directe de la Central Intelligence Agency, voire de John Fitzgerald Kennedy lui-même. Sur le plan religieux, une enquête des Nations unies en 1963 conclut à la liberté du culte bouddhiste, tandis que selon l’historien Mark Moyar, Diệm avait mené des politiques publiques favorables aux communautés bouddhistes du Sud-Vietnam, en leur donnant la permission de mener des activités religieuses qui étaient interdites par l’ex-puissance coloniale française, et en finançant la construction d’écoles bouddhistes, l’organisation de cérémonies et la construction de nouvelles pagodes. Parmi les dix-huit membres du cabinet Diệm, il y avait cinq catholiques, cinq confucéens et huit bouddhistes, dont un vice-président et un ministre des affaires étrangères. Seuls trois des dix-neuf meilleurs responsables militaires étaient des catholiques. Par ailleurs certains auteurs franco-vietnamiens soutiennent la thèse de l’infiltration de guérilleros communistes au sein du mouvement contestataire bouddhiste, qui a ensuite permis une large instrumentalisation de ces troubles par les propagandes américaines et nord-vietnamiennes dans le but de déstabiliser et diaboliser le gouvernement sud-vietnamien. Ainsi, des perquisitions policières ont permis aux autorités sud-vietnamiennes de mettre au jour la présence d’armes de guerre dans un certain nombre de pagodes, aboutissant à la fermeture de 12 d’entre elles.

Le Sud Viêt Nam demeure cependant très instable, et de plus en plus menacé par la guérilla du Front national de libération du Sud Viêt Nam (aussi appelé péjorativement Việt cộng par la république du Viêt Nam et ses alliés américains), soutenue par le Nord. Les Américains soutiennent à bout de bras l’effort de guerre sud-vietnamien et, en 1964, la résolution du golfe du Tonkin donne au président des États-Unis carte blanche pour intervenir au Viêt Nam. L’intervention américaine, ravageant les infrastructures et l’environnement du Viêt Nam, échoue non seulement à mettre un terme à l’insurrection, mais étend le conflit armé au Laos et au Cambodge. La guerre, à la fin des années 1960, est de plus en plus impopulaire en Occident et les États-Unis cherchent une porte de sortie. De longues négociations aboutissent, en 1973, aux accords de paix de Paris et au retrait américain. Deux ans plus tard, le Nord Viêt Nam réalise son offensive finale contre le Sud ; le Viêt Nam, désormais entièrement sous contrôle communiste, est réunifié en 1976.

Aligné sur l’URSS, le Viêt Nam sort ravagé de la guerre et doit, avec la réunification, affronter de multiples difficultés économiques. L’aide du Viêt Nam au Cambodge, fin 1978, pour renverser les Khmers rouges, le bref conflit contre la Chine puis le coûteux conflit cambodgien s’ajoutent aux difficultés et à l’isolement diplomatique du pays. À partir de la seconde moitié des années 1980, et après la mort du dirigeant communiste conservateur Lê Duẩn, le Viêt Nam entame sa propre perestroïka, le Đổi mới, et libéralise son économie, s’affirmant progressivement comme un pays émergent dynamique. Le système politique demeure cependant autoritaire, le Parti communiste vietnamien gouvernant en tant que parti unique.

Sources: Wikipedia

Exemple de 9 personnages de bande dessinée pour Vietnam (Socialist Republic)

Vietnam (Socialist Republic) dans la bande dessinée

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Exemple de 10 photos Vietnam (Socialist Republic)

Thumb Ha Long Bay 2018_04_19_093230Thumb Tả Van, Sa Pa, Lào Cai - 2018_04_23_122149Thumb Binh Thuan, Vietnam - 2018_04_29_144218Thumb Ce soir, on mange du serpent? - 2018_04_26_120217Thumb Vietnam - les joies du scooterThumb Sur la rivière Ngo Dong (Ninh Binh, Vietnam)Thumb En famille sur la rivière Ngo DongThumb Salut de Ngo DongThumb Barque sur la rivière Ngo Dong (Vietnam)Thumb Dragonfly - 2018_04_22_152730

Vietnam (Socialist Republic) est composé de 253 localités1 sur 63 entités

Répartition des entités géographiques : municipalité spéciale, province

Vietnam (Socialist Republic)

municipalité spéciale

province

Flag An Giang
province An Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ba Ria - Vung Tau
Bà Rịa–Vũng Tàu
province Ba Ria - Vung Tau, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Bac Giang
Bắc Giang
province Bac Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Bac Kan
Bắc Kạn
province Bac Kan, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Bac Lieu
Bạc Liêu
province Bac Lieu, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Bac Ninh
Bắc Ninh
province Bac Ninh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ben Tre
Bến Tre
province Ben Tre, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Binh Dinh
Bình Định
province Binh Dinh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Binh Duong
Bình Dương
province Binh Duong, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Binh Phuoc
Bình Phước
province Binh Phuoc, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Binh Thuan
Bình Thuận
province Binh Thuan, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ca Mau
Cà Mau
province Ca Mau, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Cao Bang
Cao Bằng
province Cao Bang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Dak Lak
Đắk Lắk
province Dak Lak, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Dak Nong
Đắk Nông
province Dak Nong, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Dien Bien
Điện Biên
province Dien Bien, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Dong Nai
Đồng Na
province Dong Nai, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Dong Thap
Đồng Tháp
province Dong Thap, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Gia Lai
province Gia Lai, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ha Giang
Hà Giang
province Ha Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ha Nam
Hà Nam
province Ha Nam, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ha Tinh
Hà Tĩnh
province Ha Tinh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Hai Duong
Hải Dương
province Hai Duong, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Hau Giang
Hậu Giang
province Hau Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Hoa Binh
Hòa Bình
province Hoa Binh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Hung Yen
Hưng Yên
province Hung Yen, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Khanh Hoa
Khánh Hòa
province Khanh Hoa, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Kien Giang
Kiên Giang
province Kien Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Kon Tum
province Kon Tum, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Lai Chau
Lai Châu
province Lai Chau, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Lam Dong
Lâm Đồng
province Lam Dong, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Lang Son
Lạng Sơn
province Lang Son, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Lao Cai
Lào Cai
province Lao Cai, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Long An
province Long An, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Nam Dinh
Nam Định
province Nam Dinh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Nghe An
Nghệ An
province Nghe An, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ninh Binh
Ninh Bình
province Ninh Binh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Ninh Thuan
Ninh Thuận
province Ninh Thuan, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Phu Tho
Phú Thọ
province Phu Tho, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Phu Yen
Phú Yên
province Phu Yen, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Quang Binh
Quảng Bình
province Quang Binh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Quang Nam
Quảng Nam
province Quang Nam, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Quang Ngai
Quảng Ngãi
province Quang Ngai, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Quang Ninh
Quảng Ninh
province Quang Ninh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Quang Tri
Quảng Trị
province Quang Tri, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Soc Trang
Sóc Trăng
province Soc Trang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Son La
Sơn La
province Son La, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Tay Ninh
Tây Ninh
province Tay Ninh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Thai Binh
Thái Bình
province Thai Binh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Thai Nguyen
Thái Nguyên
province Thai Nguyen, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Thanh Hoa
Thanh Hóa
province Thanh Hoa, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Thua Thien-Hue
Thừa Thiên Huế
province Thua Thien-Hue, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Tien Giang
Tiền Giang
province Tien Giang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Tra Vinh
Trà Vinh
province Tra Vinh, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Tuyen Quang
Tuyên Quang
province Tuyen Quang, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Vinh Long
Vĩnh Long
province Vinh Long, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Vinh Phuc
Vĩnh Phúc
province Vinh Phuc, Vietnam (Socialist Republic)
Flag Yen Bai
Yên Bái
province Yen Bai, Vietnam (Socialist Republic)

Ligne du temps (3 évènements)

Il y a actuellement 3 évènements affichés.

Flag Vietnam (Socialist Republic)
#1

Le destroyer américain USS Maddox (DD-731), au cours d’une mission de reconnaissance dans le golfe du Tonkin commencée le 31 juillet, déclare avoir été attaqué dans les eaux internationales par trois torpilleurs nord-vietnamiens de la classe P-4. Le Maddox, seulement atteint par une balle de mitrailleuse, se replie dans les eaux sud-vietnamiennes, où il est rejoint par le destroyer C. Turner Joy. Le ministère de la Défense ne répond pas.

Remarque

Il est établi aujourd’hui que les incidents du golfe du Tonkin ont été instrumentalisés pour permettre une escalade de l’intervention des États-Unis dans le conflit indochinois. Les Papiers du Pentagone ont révélé que le texte de la résolution a été rédigé par l’administration Johnson plusieurs mois avant que lesdits « incidents » aient lieu.

Date historique
Before Watchmen, T7 (Le Comédien)
Flag Vietnam (Socialist Republic)
#2

Le , les deux destroyers américains entament une patrouille en direction de la côte nord-vietnamienne. Lors de la patrouille, le C. Turner Joy reçoit des signaux sonar et radio qui sont interprétés comme une autre attaque de torpilleurs nord-vietnamiens. Pendant près de deux heures, les navires américains ont fait feu sur des cibles détectées au radar. Il est très improbable qu’il y ait eu des forces nord-vietnamiennes dans ce secteur pendant le combat. Le capitaine John J. Herrick (en) a même admis que ce n’était rien de plus qu’un opérateur sonar « excessivement zélé » qui « entendait battre sa propre hélice ». Toutefois à ce moment, une grande partie de l’équipage croyait vraiment être sous le feu ennemi. En 1995, le général Võ Nguyên Giáp, à l’époque commandant en chef des forces nord-vietnamiennes, a confirmé l’attaque du  mais a nié toute participation dans « l’incident » du .

Le document le plus important sur la réalité des attaques nord-vietnamiennes est un article de 2001 dans lequel un historien de la National Security Agency, Robert J. Hanyok (en), soutient que des officiers de renseignement de l’agence ont délibérément faussé les rapports communiqués aux politiques et au public, pour faire croire que les navires nord-vietnamiens ont attaqué les destroyers américains le 

Date historique

Guerre du Vietnam

Flag United States of AmericaFlag Vietnam (Socialist Republic)
#3

Le Nord-Vietnam se rend officiellement aux États-Unis.

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