Forest-Montiers

Localisation

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Forest-Montiers : descriptif

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Forest-Montiers

Forest-Montiers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France. La vie du village, jusqu'à peu de temps avant la Révolution française, est liée à la présence des religieux

Puissance foncière, politique, autant que spirituelle, l'abbaye de Forest-Montiers marque le passé

La vocation agricole du territoire est accompagnée d'une évolution vers le tourisme, liée à la proximité de la baie de Somme, des plages de la Côte d'Opale et de la forêt de Crécy

La sortie 24 de l'autoroute A16 renforce l'attractivité de cette collectivité qui bénéficie d'une situation privilégiée entre le nord de l'Europe et le bassin parisien. Depuis juillet 2020, la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime. La commune fait partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine,. Les habitants s'appellent les Forest-Montois.

Géographie

Localisation

Forest-Montiers est un village picard situé proche du Marquenterre dans le Ponthieu.

Limitrophe de Crécy-en-Ponthieu, Rue et Nouvion, la commune se trouve à 17 km au nord-ouest d'Abbeville et à 56 km au nord-ouest d'Amiens à vol d'oiseau.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes.

Les communes limitrophes sont Bernay-en-Ponthieu, Crécy-en-Ponthieu, Favières, Nouvion, Ponthoile et Rue.

Géologie, relief et hydrographie

Données anciennes

Forest-Montiers, à l'époque de l'invasion romaine, faisait partie du littoral maritime. Le bas des coteaux, au sud, porte les traces de l'ancien rivage. La lisière inférieure est composée d'un sable marin très fin qui est mêlé à de la terre végétale. M. Buteux (arpenteur) indique sur cette ligne du sable roussâtre, mêlé de silex roulés « indices évidents du rivage de la mer ». L'abbé Foulque, fils de Hugues, comte du Ponthieu, y fit élever une tour pour en défendre l'abord contre les Normands.

En 1869, un Androseaum Officinale (Androsème officinale) est observé au bord d'un chemin. La partie la plus basse du village correspond au marais de Neuville d'où on extrayait encore la tourbe avant la Première Guerre mondiale. Ce marais possède une flore qui a amené à une visite des membres de la Société botanique de France le , qui observèrent notamment : Liparis de Loesel (orchidée rare et en déclin), trèfle d'eau, pédiculaires roses à deux lèvres, utriculaires à feuilles immergées, alismas, butomes en ombelles… et beaucoup de joncs différents.

Au début du XXe siècle, la population de 571 habitants cultivait les trois quarts du territoire en céréales, plantes fourragères et prairies artificielles. On comptait alors plus de 200 hectares de marais : peu de pêche mais la chasse était très productive.

Le grand marais était destiné au pâturage communal, géré par les vachers communaux. Le petit marais, coupé de la route de Ponthoile par des barrières, était occupé par la volaille, quelques cochons en promenade parmi lesquels les enfants venaient jouer… Il existait une importante brasserie à vapeur et l'on pratiquait la bonification de l'alcool. On extrayait du sable à bâtir d'une petite carrière…

Données contemporaines

La Neuville (parfois appelée Neuvillette ou Neuvilloise), cours d'eau « à éclipses », draine les eaux du village sur environ 2 km, vers le fond du marais de Neuville et la baie de Somme. La fréquence de son activité d'écoulement semble liée aux précipitations et aux sources qui l'alimentent dont la plus en amont se situe en forêt de Crécy, sur le territoire communal. Il semblerait que les prélèvements aux fins d'irrigation dans la nappe phréatique — ou la baisse de la pluviométrie — aient réduit son niveau de présence.

Depuis le , le marais de Forest-Montiers est classé en site Natura 2000.

Depuis 2010, la forêt de Crécy, dont 224 ha sont situés sur le territoire communal, est classée en zone naturelle d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF).

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par et divers autres petits cours d'eau.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA).

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 17 km à vol d'oiseau, est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Forestis cella (844.) ; Forestensis cellula (855.) ; Forestense monasterium (1060.) ; Forestensis locus (1088.) ; Foreste monasterium (1088.) ; Foresmuster (1160.) ; Forest monasterium (1184.) ; Forestmoustier (1301.) ; Forestæ Monasterium in Pontivo (1309-1312.) ; Foresmoustier (1324.) ; Foresti-monasterium (1492.) ; Foresmontier (1492.) ; Forestmontiers (1507.) ; Foremoutiez (1579.) ; Foremoutier (1608.) ; Forest-Monstier (1646.) ; Farmonstier (1648.) ; Forest (1657.) ; Foret-Montiers (1667.) ; Forêt-Montier (1698.)

  • La toponymie révèle une évolution influencée par la forêt et la transcription en latin des noms donnés par les moines. C'est ainsi que la localité prit le nom, entre autres, de Forestensis Monasterii (1154). On trouve également Forestis Cella (de 831 à 1088), Foreste Monasterum (1088), Foremontrez, Farmoutiers, Forestmoutiers, Foresti Monasterium et Foresmuster, noms fluctuants du monastère créé par Riquier de Centule. En 1845, le village prend définitivement le nom actuel de Forest-Montiers.

Forest du latin foresta, dérivé de fors, « hors », la forêt a d'abord désigné, au Moyen Âge, la partie du domaine qui se trouvait hors de l'espace cultivé. Ensuite, il désigna une vaste étendue couverte d'arbres.

Le « suffixe » montiers évoque un monastère. Il est également présent dans Frémontiers et Marestmontiers, communes de la Somme.

  • Pour Neuville, Honoré III, pape, est cité avec Novavila en 1224, selon dom Cotron. Neufviller-lès-Bernay, apparait en 1646 dans Histoire ecclésiastique d'Abbeville, on peut aussi trouver Neuville-lès-Bernay, Neuville-sous-Forestmontiers, Neufville dans certaines archives de l'AD 80. En 1915, le hameau est encore appelé Neuville-lès-Forestmontiers.

La même source mentionne la présence d'un poste de garde-côtes.

  • Dans certaines archives en ligne des archives départementales de la Somme, plusieurs autres noms apparaissent :
    • pour le lieu-dit la Motelette on peut aussi trouver Motelette-lès-Forest ou Mothelette.

La commune est nommée Frémontieu en picard.


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Histoire

Antiquité

On connaît plusieurs tombelles (buttes funéraires gauloises, parmi les monuments celtiques les plus remarquables) en forêt de Crécy.

Les appellations de Romaine (hameau de Ponthoile) et Romiotte (ancienne ferme des frères Caudron, pionniers de l'aviation, route de Forest-Montiers à Ponthoile) évoquent une occupation romaine.

Moyen Âge

Riquier, habitant de Centule (aujourd'hui Saint-Riquier), est converti à la religion par deux moines irlandais, dit la chronique. Devenu prêtre puis évêque, il se retire en forêt de Crécy pour vivre dans la solitude et la prière. Près de l'ermitage, on construit, en 640, un monastère qui devient plus tard une abbaye.

L'abbaye, dédiée à Notre-Dame, abrite des moines de l'ordre des bénédictins. Puissance foncière et politique, elle possède la plupart des terres du village.

Une rue, dite de Saint-Riquier, aboutit, aujourd'hui encore, en face de l'abbaye.

Trente chanoines étaient présents en 831. Ils possédaient trois riches églises placées sous l'invocation de Marie, saint Pierre et saint Riquier.

La localité a beaucoup à souffrir des guerres qui désolent si souvent le Ponthieu.

En 1033, le comte Baudoin II de Boulogne ravage le village lorsqu'il vient attaquer Rue.

Guy de Ponthieu, petit-fils d'Hugues Capet, mort le , est abbé à Forest-Montiers.

1158: Un accord est passé entre les abbayes de Valloires et de Forest-Montiers, Jean de Fresseneville en est témoin.

1240 : Raoul, seigneur de Nouvion donne des terres aux moines de Forest-Montiers.

1254 : Jeanne de Ponthieu, veuve de Ferdinand III, roi de Castille, fait un don à l'abbaye.

1256 : les moines de Forest-Montiers, propriétaires de la vicomté de Tourmont en Marquenterre, l'échangent avec le comte du Ponthieu contre une partie de la forêt de Crécy appelée « les Écanges », dans le secteur de Machiel.

Jean d'Arrech (Arrest) vend en 1271, la moitié des terrages d'Arrest aux religieux de Forest-Montiers.

Durant la Guerre de Cent Ans, en 1371-1373, les Anglais prennent Forest-Montiers.

En 1413, la région est dévastée au cours d'un conflit entre les Maisons de Bourgogne et d'Orléans. Les villageois doivent se réfugier à Rue, ville de garnison fortifiée à la hâte.

Après la bataille de Crécy, le , les Anglais se répandent dans les environs, ils ravagent Forest-Montiers, Ponthoile, Le Crotoy.

En 1436, les Anglais de Thomas Kiriel et le sire de Fouquembergues logent à l'abbatiale. Un lieu-dit la Justice semble rappeler la justice seigneuriale.

En 1437, Richard Richaume, capitaine de Rue, bat la garnison anglaise du Crotoy, dans les bois, près de Forest-Montiers.

Roger Agache a relevé un établissement médiéval à côté de la ferme de la Mottelette, dans le marais. Les structures sont disposées parallèlement.

Époque moderne

Une épidémie de peste dévaste la région en 1524. De nombreux habitants trouvent la mort. La maladie disparaît à l'approche de l'hiver mais réapparaît plusieurs fois les années suivantes.

En 1545, François Ier se dispose à reprendre Boulogne-sur-Mer aux Anglais unis aux Impériaux. Son troisième fils, Charles de France, duc d'Orléans, établit son quartier général à Forest-Montiers. Le jeune prince, âgé de 23 ans, y donne des tournois et prend les plaisirs de la chasse dans la forêt voisine. Son appartement ne lui plaisait pas, il va dans une maison où huit personnes venaient de mourir de cette maladie. Il a été mis en garde contre le péril, et il déclare « jamais fils de France n'est mort de la peste. », il se couche sur leurs lits en riant, allant jusqu'à organiser des batailles d'oreillers avec ses compagnons. Il ne tarde pas à éprouver de la fièvre, s'alite et reçoit la confession en l'abbaye bénédictine de Forest-Montiers. Le , malgré une amélioration de son état, il fait une rechute et réclame le viatique. On doit empêcher physiquement à 3 reprises le dauphin de se rendre au chevet de son frère par crainte de la contagion. Toutefois, Charles a droit à la visite de son vieux père, François Ier, auquel il confie ces derniers mots : « Ah ! mon seigneur, je me meurs, mais puisque je vois votre majesté, je meurs content » juste avant d'expirer. Le roi s'évanouit alors de douleur puis, reprenant ses esprits, ordonne l'évacuation des lieux contaminés (il devait se marier le avec Anne d'Autriche). Sa dépouille restera deux ans à l'abbaye avant d'être exhumée pour reposer à la basilique de Saint-Denis.

1592 : l'abbaye de Forest-Montiers est prise : elle avait servi de refuge à une bande de pillards pendant la Ligue.

Les moines défrichent les bois dont le monastère est entouré mais en 1646, l'édifice tombe en ruines selon M. Louandre.

Il y a des salines dans le voisinage et Forest-Montiers possède un Grenier à sel appelé les Mothelettes, ferme et hameau sur la route de Rue. Le grenier à sel de Forest-Montiers dit Grenier d'impôts dépend d'Amiens, il gère les taxes de nombreuses localités. Il est supprimé par un édit du , au profit de Nampont et Abbeville.

Le , les Espagnols pillent et brûlent tout le village. L'abbaye n'y échappe pas. Elle est rétablie deux ans après.

De cette époque daterait une vénération à saint Laurent, le , à cause des incendies arrivés par le malheur des guerres.

Au XVIIIe siècle, l'abbaye est gouvernée par un abbé commendataire, Paul de Beaufort. Le revenu des terres, prés, bois, moulin et les dîmes de Crécy, Estrées, Froyelles, Machiel, Machy, Neuilly-l'Hôpital, Vismes, Arrest, est de 9 700 livres.

Le , l'abbaye est supprimée au bénéfice de la collégiale d'Abbeville. Les biens sont vendus en 1773 à Antoine François de la Pâture, chevalier. Les objets, le mobilier, les vases sacrés, sont partagés entre plusieurs églises. Le dernier abbé est Mouchet de Villedieu, vicaire de Nevers et maître de l'oratoire du comte d'Artois, le donateur des marais de Forest-Montiers, Ponthoile, Favières.

La Révolution française supprime l'abbaye. Elle est vendue comme bien national en 1793. La moitié est achetée par un seul propriétaire, l'autre morcelée.

Entre 1790 et 1794, Neuville-Bernay est rattachée à Forest-Montiers.

En fructidor de l'an XII, les gendarmes laissent évader cinq déserteurs. Malgré de fortes présomptions, ils sont acquittés.

Époque contemporaine

XIXXIXe siècle

En 1805, dans le cadre du projet d'attaque de l'Angleterre par la Grande armée de Napoléon Ier, le tracé de la route nationale 1 est remanié. Les travaux font changer l'aspect du village.

En 1814, à la fin de l'épopée napoléonienne, les Hanovriens occupent le secteur.

La Deuxième République instaure en 1849 le suffrage universel masculin : comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter — Le droit de vote des femmes n'a été reconnu en France qu'en 1945 — Voici la répartition (en nombre) de quelques-uns des patronymes des 197 électeurs(saisie non exhaustive) :

Colasse Coulon Delandre Heste Macré Lévêque Lenglet Moncomble Savreux Vasseur
5 1 6 4 4 4 7 1 6 10

Une aquarelle d'Oswald Macqueron, datée de 1852, représente la ferme de l'abbaye.

En 1854, la brigade de gendarmerie, composée de cinq gendarmes à cheval et leurs familles, quitte Forest-Montiers, lieu-dit les Casernes, pour aller s'installer à Nouvion.

Le , un loup et trois louveteaux sont tués par les gardes. Il semble que ces loups soient les derniers tués en forêt.

Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, le village fournit 38 défenseurs actifs ou mobiles. Trois d'entre eux meurent au champ d'honneur.

En , un soldat ennemi (Prussien), en résidence à Forest-Montiers, se livre à des dégâts avec son sabre, en forêt.

XXXXe siècle
La Première Guerre mondiale

La commune paie un lourd tribut lors de la Première Guerre mondiale : 23 de ses enfants figurent sur le monument aux morts, dans le cimetière. En 1916, des soldats français (121e d'artillerie, 60e d'artillerie et 2e bataillon de chasseurs à pied), la cavalerie anglaise cantonnent à Forest-Montiers et s'approvisionnent ou s'entraînent en forêt.

Une voie de chemin de fer en chantier, au lieu-dit la Voie témoigne du projet de doublement de la ligne Paris - Calais, pour sécuriser les approvisionnements du front. Elle ne sera pas terminée. Placés sous le commandement de l'armée anglaise, les ouvriers chinois, cantonnés à Noyelles-sur-mer entre 1917 et 1920, seront employés aux travaux.

En 1928, lors des premières tentatives de traverser l'Atlantique en avion, les aviateurs polonais Izikowsky et Kubala, une dizaine d'heures après avoir quitté quitté Le Bourget ont dû atterrir, après dix heures de vol à Forest-Montiers par suite d'une fuite au radiateur du moteur de leur appareil.

Lors de l'exposition universelle de 1937, à Paris, la photo d'une chaumière de Forest-Montiers est exposée. Ce serait l'une des plus anciennes de la Somme. Cette habitation de la famille Defrend a été détruite par le feu dans les années 1950.

La Seconde Guerre mondiale

Pendant l'occupation allemande liée à la Seconde Guerre mondiale, habitants et chevaux sont réquisitionnés pour mettre en place une ligne de défense censée contrer un éventuel débarquement allié dans le secteur.

L'occupant ayant réquisitionné l'école, les élèves locaux sont dirigés vers le château Gaillard pour poursuivre leur scolarité.


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Héraldique

Blason
Parti : au 1er d'argent à un hêtre arraché au naturel, au 2d de gueules à un moine bénédictin tenant un livre ouvert d'or ; à une plaine ondée d'azur brochant sur le tout.
Détails
Adopté le .

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