Geen cache-versie.

Caching uitgeschakeld. Standaardinstelling voor deze pagina:ingeschakeld (code LNG204)
Als het scherm te langzaam is, kunt u de gebruikersmodus uitschakelen om de cacheversie te bekijken.

Bruxelles

Flag Bruxelles Flag Bruxelles

Bruxelles (/bʁy.sɛl/) ou la ville de Bruxelles, (en néerlandais : Stad Brussel ; en allemand : Stadt Brüssel) est une commune de Belgique de 183 287 habitants, capitale de la Belgique, siège de la Communauté française et de la Communauté flamande, ainsi que siège de plusieurs institutions de l'Union européenne, ainsi que le siège de l'OTAN (sur sa section de Haren). La commune porte le titre honorifique de ville. Elle est située au centre de la région de Bruxelles-Capitale et est entourée par d'autres communes qui constituent avec elle cette région de 19 communes peuplée de 1 211 026 habitants au  et dotée de l'autorité supra-communale d'un gouvernement et d'un parlement. À l'extérieur s'étend la périphérie bruxelloise débordant dans la Région flamande dans laquelle la région bruxelloise est enclavée pour former l'agglomération bruxelloise.

Bruxelles couvre une superficie de 33,09i  km2 avec une population de 188.737i habitants (01/01/2022), soit densité de 5.703,75i habitants par Km2.
Gentilé : L'habitant(e) de Bruxelles s'appelle un(e) Bruxellois(e).

Fuseau horaire principal : +02:00

Localisation

Carte du monde

Bruxelles : descriptif

La commune de Bruxelles proprement dite est constituée de plusieurs territoires : d'abord le Pentagone qui délimite le centre historique, ensuite les anciennes communes de Laeken, Haren et Neder-Over-Heembeek, et enfin les parties de communes voisines annexées qui sont le quartier Nord-Est avec l'extension moderniste du quartier nord et ses immeubles tours, le « quartier européen » (partie informelle du quartier Léopold) et le quartier de l'avenue Louise ainsi que le bois de la Cambre et une partie de la forêt de Soignes.

Toponymie

Prononciation

Son nom se prononce [bʁy.sɛl] (le « x » se prononce [s] (« ss »), comme dans soixante). En effet, si le x graphique notait bien à l'origine le groupe /ks/ (voir formes anciennes ci-dessous) et ce, jusqu'au xiie siècle, par la suite le c [k] s'est amuï et assimilé au s suivant, d'où le double ss dans la forme néerlandaise, alors que dans la forme française plus conservatrice, le x graphique s'est maintenu. La prononciation [ks] du français ne date que du xviiie siècle, sans que cette modification n'affecte l’usage bruxellois traditionnel. Il existe d’autres exemples dans lesquels x note [s], tels que soixante ou Auxerre (prononcé Ausserre [o.ˈsɛʁ]) en Bourgogne-Franche-Comté, bien que les causes en soient complètement différentes. En France la prononciation "Bru/ks/elles" et/ou "bru/ks/ellois(e)" s'entend souvent, ce qui est plutôt rare en Belgique.

Attestations anciennes

On trouve 79 attestations du nom de la localité sous diverses formes jusqu'en 1219, dont : Bruocsella en 966 (copie du xve siècle, Maastricht) ; Bruocesll[a] au xie siècle, Brucselle (génitif) en 1047 ; Brvsela en 1062 ; Brosele en 1088 ; Brucsellam (accusatif) en 1095, Brucsella en 1117 / 1129 / 1130 ; Bruxellę (génitif) en 1125 ; Brussella vers 1125, en 1146 / 1179 / 1183 / 1194 / 1195 / 1198 / 1216; Brucselle (gén.) en 1134 / 1138 / 1156 ; Brucsella en 1175 et 1208 ; Brusellia en 1213 ; Bruxelle en 1219.

Histoire

Fondation

Bruxelles, dont l'histoire mouvementée participe à celle de l'Europe occidentale, a fêté son millénaire officiel en 1979. On relève cependant des vestiges et toponymes relatifs à la civilisation des mégalithes, dolmens et pierres levées (Plattesteen, place du Tomberg). Des vestiges de villas romaines sont mis au jour dans des communes bruxelloises jouxtant le centre de la ville (Anderlecht, Jette et Saint-Josse-ten-Noode), ainsi qu'une voie romaine. D'autres vestiges romains sont découverts à proximité du centre ville durant l'été 2015, sur le site dit de Tour et Taxis, le long d'un ancien lit de la rivière Senne, sous la forme de quais révélant une activité portuaire (céramiques, tuiles).

La première mention de la ville apparaît au viie siècle : une chronique révèle qu'en 695, Vindicien d'Arras, évêque de Cambrai, est mort de fièvre à Brosella. Par déduction, il devait y avoir là un établissement humain suffisamment développé et sécurisé pour y accueillir un dignitaire ecclésiastique. Cette thèse n'est pas contradictoire avec celle de l'existence d'un lieu d'échanges, comme pouvait l'être un pont sur la Senne, et aussi avec l'existence de l'île Saint-Géry sur laquelle pouvait se trouver un lieu protégé, comme un enclos fortifié. En 979, Charles de Basse-Lotharingie vint installer le siège de son duché dans cette île de la Senne. Cela a servi de référence pour la date de naissance de Bruxelles, même si la construction du castrum et la présence de Charles de France à Bruxelles est mise en doute par de nombreux historiens universitaires.

Moyen Âge

Bruxelles a grandi sur trois sites : dans le haut Moyen Âge le port de la Senne – succédant à une installation romaine de type portuaire sur le site de ce qui deviendra Tour et Taxis – et les deux collines voisines. D'une part, un quartier commerçant et artisanal s’étendit autour d’une église consacrée à Saint-Géry, sur une île de la Senne, et d'autre part, la colline dite du Mont froid hébergea le château-fort des comtes de Louvain, futurs ducs de Brabant.

Au xiie siècle, des moulins s'installent sur le cours aménagé de la Senne. D’anciens marécages sont asséchés, sous la future Grand-Place, alors réservée au marché. Au début du xiiie siècle, la ville se dote d'un rempart d’environ 4 kilomètres de long. Il relie l'île Saint-Géry, le port, la place du marché, le chapitre de Sainte-Gudule et le château du Coudenberg sur le Mont froid. En 1229, le duc de Brabant octroie la première charte garantissant à cette ville de 5 000 à 10 000 habitants une certaine autonomie. Dans la seconde moitié du xive siècle, la richesse de l’industrie du drap nécessite un nouveau rempart, long d’environ 8 kilomètres.

Le siècle suivant voit les Ducs de Bourgogne hériter, ou obtenir par cession, le pouvoir sur diverses régions en sus de leurs possessions françaises. Ils règnent ainsi sur l'ensemble des Pays-Bas du nord et du sud, dont les Flandres et le Brabant. Bruxelles devient la capitale où l'autorité ducale s'exerce depuis le palais du Coudenberg. La ville est embellie et complétée par la construction de l’hôtel de ville (1401-1455). Philippe le Bon, héritier du Brabant en sus des autres régions, autorise l'élargissement de la Senne, pour faciliter le commerce vers Anvers. Cependant, en 1488 Bruxelles connaît une cruelle guerre civile et puis, à l'été de 1489, une épidémie de peste.

Époque moderne

Marguerite de Bourgogne, qui tient son nom d'être la tante de Charles Quint héritier des ducs, est titrée Marguerite d'Autriche, princesse de Bourgogne née à Bruxelles. En 1507, elle est nommée gouvernante des Pays-Bas et s'installe à Malines, où elle élève son neveu, le futur empereur Charles Quint. Sous le règne de celui-ci, la population de Bruxelles passera à environ 45 000 habitants. Le développement commercial qui en résultera aboutira au creusement d'un canal jusqu'à Willebroeck permettant une liaison, dès 1561, avec le port d’Anvers.

À l'aube des guerres de Religion, Bruxelles est secouée par le conflit qui oppose la noblesse des Pays-Bas (Hollande et Belgique) et les États généraux, d'une part, au roi d'Espagne Philippe II, fils de Charles-Quint, de l'autre. Il est reproché à Philippe II de ne pas respecter les libertés des divers états qui avaient été octroyées, au fil des siècles, par les ducs de Brabant et leurs successeurs de Bourgogne. S'y ajoute le conflit né de l'expansion du protestantisme auquel s'oppose Philippe II. L'exécution capitale à Bruxelles des chefs de l'opposition, les comtes d'Egmont et de Hornes, ainsi que de nombreux opposants, déclenche un soulèvement qui s'étend à tous les Pays-Bas jusqu'au nord de la Hollande. C'est la guerre de Quatre-Vingts Ans au cours de laquelle Bruxelles devient même une ville dominée par les protestants et subit un siège d'un an. La victoire des Espagnols sur la ville insurgée inaugure la Contre-Réforme catholique qui multiplie les édifices religieux de style baroque. Au xviie siècle, la ville est capitale de l'industrie de la dentelle.

En 1695, durant la guerre de Neuf Ans, l'armée de Louis XIV assiège Bruxelles et bombarde sa partie centrale. L'hôtel de ville gothique échappe à la destruction, mais le centre-ville doit être entièrement reconstruit. Par le Traité d'Utrecht de 1713, le roi d'Espagne, de la branche espagnole des Habsbourg et descendant de Charles-Quint, transfère la Belgique à la branche autrichienne des Habsbourg en vertu des règles féodales toujours en cours à cette époque. Mais l'empereur d'Autriche doit, dans toutes les provinces, prêter serment de respecter les libertés locales nées grâce aux luttes populaires et dont la défense avait entraîné la longue guerre contre le pouvoir espagnol. Cependant, l'empereur d'Autriche Joseph II va tenter des réformes qui vont, de plus en plus, mécontenter la population et un soulèvement finit par éclater à Bruxelles. Celui-ci se propage et les troupes autrichiennes sont battues en divers endroits dont à Turnhout. C'est la Révolution brabançonne de 1789-1790.

Entre-temps, la ville est une nouvelle fois assiégée par Louis XV entre janvier et  pendant la guerre de Succession d'Autriche.

Jusqu'en 1790, la ville était restée le siège du Conseil d'État, ou gouvernement de la Belgique (provinces des Pays-Bas du Sud) et des États-Généraux qui remplissaient le rôle de Parlement. Ces deux pouvoirs étaient entrés en conflit à plusieurs reprises avec les pouvoirs ducaux et royaux émanant des féodalités qui se partageaient l'Europe et régnaient sur les anciens Pays-Bas. Une fois de plus dressés contre les empiétements du pouvoir supérieur, les États-Généraux se réunissent à Bruxelles, le , et proclament l'indépendance des États belgiques unis après la défaite de l'armée autrichienne à la Bataille de Turnhout. Mais un retour offensif autrichien met fin à la nouvelle indépendance. Le banquier Édouard de Walckiers, qui avait financé l'armée révolutionnaire, fonde la « Ligue du bien public », inspirée des clubs parisiens, première étape vers le futur soulèvement de 1830. Peu après, la Révolution française chasse les Autrichiens et annexe la Belgique en 1794 après une première tentative infructueuse en 1792. Bruxelles en sort fort diminuée. Privée de son aire politique et économique du quartier de Brabant en 1795, elle devient un simple chef-lieu du département français de la Dyle. Après la chute de Napoléon lors de la bataille de Waterloo le , le Premier Empire et démembré et un nouvel État est créé par le congrès de Vienne la même année : le royaume uni des Pays-Bas. Bruxelles et La Haye se partagent le rôle de capitale pendant une quinzaine d'années, jusqu'à la Révolution belge de 1830.

Capitale de la Belgique

En 1830, des dissensions d'ordre économique, linguistique et politique entre Belges et Néerlandais traînaient depuis des années, entraînant des rancœurs parmi les Belges. Le roi des Pays-Bas, Guillaume Ier a placé une majorité de fonctionnaires, officiers et ministres néerlandais à la direction du pays. De plus, en 1828, il impose le néerlandais comme langue officielle du Royaume-Uni des Pays-Bas. L'hostilité des Belges dégénère alors en un soulèvement populaire qui éclate à Bruxelles le  lors de la représentation de l'opéra La Muette de Portici et s'étend dans le reste du pays. La guerre belgo-néerlandaise éclate et l'intervention de l'armée néerlandaise se heurte à la résistance d'une nouvelle armée de volontaires et de déserteurs de l'armée des Pays-Bas. Des barricades surgissent à Bruxelles au cours des « journées de septembre » durant lesquelles se déroulent des combats sanglants qui provoquent une retraite néerlandaise. Pendant ce temps, s'installent un gouvernement et un parlement qui édicte une constitution, alors même que l'ennemi est encore retranché à Anvers et bombarde la ville. En 1831, une tentative de retour offensif de l'armée néerlandaise se heurte à la nouvelle armée belge à la bataille de Louvain qui tourne d'abord à l'avantage des Néerlandais. Elle tourne court lorsque leurs lignes de communication sont menacées par l'arrivée de volontaires belges du Limbourg et aussi sous la menace d'une armée française entrée en Belgique à l'intervention des puissances européennes: Angleterre, France et Prusse. Le roi des Pays-Bas devra accepter la reddition d'Anvers dans laquelle son armée s'est retranchée pour éviter un affrontement direct avec les Français. Ensuite, une période d'hostilités larvées va durer jusqu'au traité des XXIV articles en 1839, aux termes duquel la Belgique devra céder la moitié de sa province du Luxembourg, devenant la propriété des 'Orangistes' et qui devint le Grand-Duché de Luxembourg. La Belgique indépendante garantie par les grandes puissances (France, Angleterre, Prusse) est alors définitivement installée. Sa capitale est Bruxelles.

Grâce à l'indépendance acquise le , commence la révolution industrielle et financière belge. Dès le , le premier chemin de fer pour voyageurs construit hors de l'Angleterre reliait la gare de Bruxelles avec Malines.

Sous le régime politique de monarchie constitutionnelle, la population belge augmente considérablement. En cinquante ans, celle de Bruxelles passe au xixe siècle d'environ 98 279 à plus de 162 498 personnes pour la commune, avec la multiplication de maisons et d'immeubles de style éclectique d'abord, puis, en fin de siècle, Art nouveau puis Art déco au xxe siècle. L'édifice imposant de la Bourse de Bruxelles, achevé en 1873, l'immense Palais de justice de Bruxelles, achevé en 1881, des églises comme l'église royale Sainte-Marie s’inscrivent dans le programme d’embellissement de la ville, avec le voûtement de la Senne et la création des boulevards du centre bordés d'immeubles à appartements de style hausmannien. Parallèlement au développement de l'économie boursière dans le monde occidental, Bruxelles acquiert un statut de place financière grâce aux dizaines de sociétés mises sur orbite par la Société générale de Belgique, qui a joué un rôle clé dans la forte croissance économique des années 1830, juste après la Révolution belge.

xxe siècle

Au xxe siècle, le secteur tertiaire prend le relais par de grands chantiers urbains : jonction ferroviaire entre les gares du Nord et du Midi, voies rapides automobiles aux multiples tunnels, nouvelles installations portuaires accessibles aux bateaux de mer de moyen tonnage (des bateaux de mer de petit tonnage étaient déjà accueillis depuis le xvie siècle). Des quartiers de bureaux en style moderniste apparaissent sous l'impulsion de la croissance économique et les premiers immeubles tours se dressent.

En 1921, la commune s'agrandit grâce à l'annexion des anciennes communes de Laeken, Neder-Over-Heembeek et Haren.

En 1958, l’Exposition universelle dote la ville d'un monument original devenu emblématique de Bruxelles, l'Atomium, et elle accueille les institutions européennes qui feront sa renommée dans le monde entier. C'est la cause d'une nouvelle explosion urbanistique dans la partie est de la ville lors de la construction du quartier européen avec le siège de la Commission européenne, le Berlaymont, suivi d'un des sites du Parlement européen. Il en résulte des expropriations qui provoquent des déplacements d'habitants. En même temps, dans le quartier de la gare du nord proche du centre-ville apparaît un quartier d'affaires avec les sept tours du World Trade Center de Bruxelles et plusieurs tours de bureaux autour d'un nouveau boulevard au nom d'Albert II qui relie le nouveau quartier au centre-ville. Par sa proximité avec le centre historique, ce quartier est dans une situation unique pour un quartier de tours vouées aux affaires et à l'administration, alors que les quartiers similaires d'autres villes sont érigés en périphérie (comme le quartier de la Défense, près de Paris), là où des terrains sous-urbanisés sont disponibles. À Bruxelles, par contre, l'ensemble a nécessité de raser des hectares de quartier populaire en pleine ville. Une vingtaine d'autres tours poussent dans divers quartiers. Pour quatre d'entre elles, le long des boulevards de petite ceinture qui entourent le centre-ville, et pour trois autres à l'avenue Louise, on a veillé à une communication avec des stations de métro ou de trams en site protégé.

Source: Wikipedia ()

Exemple de personnage de bande dessinée pour Bruxelles

Bruxelles dans la bande dessinée

Découvrez les informations sur Bruxelles dans la bande dessinée.

Exemple de 3 photos de Bruxelles

Thumb Confinement Covid-19Thumb Eglise Saint-Jacques-sur-Coudenberg à BruxellesThumb Galeries Royales St Hubert à Bruxelles

1 autre localité pour Brussels Hoofdstedelijk Gewest

Ligne du temps (1 évènement)

Il y a actuellement 1 évènement affiché.

Exposition universelle de 1958

Flag Bruxelles
#1

L’Exposition universelle de 1958 ou Expo 58, officiellement Exposition universelle et internationale de Bruxelles, s’est tenue du 17 avril au  sur le plateau du Heysel et attira près de 42 millions de visiteurs.

L’Expo 58 laisse un profond souvenir en Belgique. Elle est aussi le prétexte d’importants bouleversements et travaux dans la ville de Bruxelles dont les boulevards sont transformés en autoroutes urbaines. L’Atomium, construit pour l’occasion, est devenu l’une des images de marque incontournables de Bruxelles.

Détails

Contexte

Première Exposition universelle de l’après Seconde Guerre mondiale, l’événement est profondément lié à son époque. En 1958, les traces du conflit en Europe de l’Ouest commencent à s’estomper. La guerre froide fait temporairement place à la Coexistence pacifique. L’ONU, l’OTAN et la Communauté économique européenne, viennent d’être créées. Les troubles annonciateurs de la future décolonisation ne sont pas encore perçus en Belgique. Le premier spoutnik est en orbite, les innovations technologiques surgissent les unes après les autres. Au cœur des Trente Glorieuses, la population entre dans la société de consommation et espère être à l’aube d’une période de paix, de prospérité et de progrès. Ce contexte incite les pays participants à rivaliser d’ingéniosité dans la conception de leurs pavillons et dans les nouveautés présentées.

L’exposition est baignée d’une atmosphère d’émerveillement et d’euphorie.

L’Exposition

Initialement prévue pour l’année 1955 et reportée en raison de la guerre de Corée et des tensions internationales, l’Exposition est inaugurée, à l’issue de trois ans de travaux, par le roi Baudouin le  et se déroule jusqu’au 19 octobre de la même année.

Au site du Heysel, dont le palais des expositions a déjà accueilli l’Exposition universelle de Bruxelles de 1935, sont joints le parc de Laeken, le bois d’Ossegem et le château du Belvédère et son parc, l’ensemble représentant une surface de 200 hectares. Le déplacement des visiteurs y est assuré par un téléphérique et un réseau de trains.

Parmi les 43 pays participants, les pavillons les plus importants et les plus fréquentés sont ceux de l’Union soviétique et des États-Unis. Le premier fait la part belle au premier satellite artificiel Spoutnik lancé le 4 octobre 1957, et célébré par des maquettes et des quantités d’insignes décoratifs, qui ne s’appellent pas encore des pin’s. Le second présente un film à 360° (procédé à 9 écrans présenté comme circorama, par analogie avec le mot cinérama désignant alors un procédé à trois écrans), nommé America the Beautiful, plus tard présenté par les parcs Disney. Le Pavillon Américain a également servi de salle de concert pour l’Orchestre symphonique de la septième armée dirigé par Edward Lee Alley,.

Dans la section du Congo belge, se trouvait une reconstitution de village congolais, voulant représenter l’artisanat traditionnel. Les figurants, congolais, ont fini par quitter le village à cause de l’attitude des visiteurs, dont certains leur jettent des bananes, et à la polémique que ce zoo humain suscite.

Date historiqueVan op

Nederlandse vertaling

U hebt gevraagd om deze site in het Nederlands te bezoeken. Voor nu wordt alleen de interface vertaald, maar nog niet alle inhoud.

Als je me wilt helpen met vertalingen, is je bijdrage welkom. Het enige dat u hoeft te doen, is u op de site registreren en mij een bericht sturen waarin u wordt gevraagd om u toe te voegen aan de groep vertalers, zodat u de gewenste pagina's kunt vertalen. Een link onderaan elke vertaalde pagina geeft aan dat u de vertaler bent en heeft een link naar uw profiel.

Bij voorbaat dank.

Document heeft de 03/01/2018 gemaakt, de laatste keer de 08/02/2024 gewijzigd
Bron van het afgedrukte document:https://www.gaudry.be/nl/lieu/be/be-bru/6184.html

De infobrol is een persoonlijke site waarvan de inhoud uitsluitend mijn verantwoordelijkheid is. De tekst is beschikbaar onder CreativeCommons-licentie (BY-NC-SA). Meer info op de gebruiksvoorwaarden en de auteur.