Verberie

Localisation

Carte du monde

Verberie : descriptif

Informations de Wikipedia (v2.1 – 19/07/2025 02:27:14)
Verberie

Verberie est une commune située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

Localisation et communes limitrophes

La commune est située dans le département de l'Oise, près de la rive gauche de la rivière Oise et sur l'embouchure de l'Automne, entre Senlis et Compiègne, sur l'itinéraire de la LGV Nord et non loin de celui de l'autoroute A1.

Verberie est une petite ville résidentielle et industrielle à caractère rural.

La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 57 km. Le chef-lieu de l'arrondissement de Senlis est éloigné de 16 km, et le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne de 13 km. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 38 km au sud.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, dans la zone d'emploi de Compiègne et est la ville centre de son unité urbaine et de son bassin de vie.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Rivecourt, Lacroix-Saint-Ouen, Longueil-Sainte-Marie, Raray, Rhuis, Saintines, Saint-Sauveur, Saint-Vaast-de-Longmont et Villeneuve-sur-Verberie.

Communes limitrophes de Verberie
Rivecourt
Longueil-Sainte-Marie
Saint-Sauveur
Rhuis Verberie[5] Saintines
Villeneuve-sur-Verberie Raray Saint-Vaast-de-Longmont

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 15,05 km2 ; son altitude varie de 30 à 125 mètres.

Avec un territoire communal de forme très irrégulière, Verberie compte huit communes limitrophes, dont deux de l'autre côté de l'Oise : Rivecourt et Longueil-Sainte-Marie. En plus, au hameau de la Borde (commune de Raray), où quatre communes se rapprochent, Verberie rencontre Néry en un point. Les deux communes ne se côtoient toutefois pas. Le milieu de l'Oise marque la limite nord de la commune sur environ 6,4 km. Au niveau du bourg, le territoire se rétrécit à 750 m environ. À l'ouest, de part et d'autre de la ligne à grande vitesse, il remonte sur la plateau du Valois, dominé par de vastes surfaces agricoles. S'y trouve le point culminant de la commune, à 125 m au-dessus du niveau de la mer, au nord de la Borde. Le versant nord du plateau présente un relief accidenté et est couvert de bois ; il est incisé par d'étroits vallons appelés des cavées. L'une de ces cavées, le fond de Noël-Saint-Martin, est en partie située sur Verberie. À l'est du bourg, l'on se situe sur la commune de Saint-Vaast-de-Longmont dont la paroisse a été détachée de celle de Verberie. Le secteur au nord du bourg représente plus de la moitié du territoire communal et contraste fortement avec le secteur occidental déjà décrit : il est constitué d'une partie de la plaine alluviale de l'Oise et de l'Automne, et est couvert de sablières, de prairies et de bois. Ici ce sont les limites de la forêt de Compiègne qui délimitent le territoire de Verberie, au nord-est. Aucune parcelle de cette forêt domaniale n'est située sur Verberie. Le territoire communal arrive près du hameau de la Mabonnerie de Saint-Sauveur. Le petit château qui lui a donné son nom est situé sur la commune de Verberie.

L'ensemble de la ville, à l'exception des dernières maisons sur la RD 932a en direction de Senlis, est construite sur des alluvions modernes. De même, l'ensemble du sous-sol de la plaine alluviale de l'Oise et de l'Automne qui occupe le secteur nord du territoire communal est constitué d'alluvions. Elles sont modernes, sauf à l'extrémité nord du territoire, où les alluvions modernes ne sont présentes que sur une bande de terrain de 500 m de large. Cette dernière rétrécit successivement puis disparaît presque entièrement peu avant le pont de Lacroix-Saint-Ouen, où elle s'élargit de nouveau. Ce sont des alluvions anciennes qui constituent la plaine jusqu'au-delà de la lisière de la forêt de Compiègne. Elles font même une longue incursion dans la forêt sur la commune de Lacroix-Saint-Ouen, au sud du village. Sinon, la forêt de Compiègne à proximité de Verberie, ainsi que la partie inférieure du versant nord du plateau du Valois, repose sur une strate datant de l'Yprésien inférieur, c'est-à-dire du Sparnacien. Pour la partie basse du coteau, il s'agit d'argile plastique ainsi que de lignites. En remontant le coteau, y succède l'Yprésien supérieur (c'est-à-dire le Cuisien) avec des sables de Cuise et de l'argile de Laon, puis le Lutétien indifférencié. Le plateau est généralement couvert de limon des plateaux ou de lœss selon les endroits. Cependant, le Lutétien fait des incursions sur le plateau dans le prolongement des cavées et accidents du terrain. C'est par exemple le cas au-delà de la limite sud du territoire communal.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie.

Elle est drainée par l'Oise, l'Automne, le ru du Goderu, la dérivation de Verberie, l'Automne, le cours d'eau 01 de la Verberie et le Fond de Noel.

L'Oise prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude, dans l'ancienne commune de Forges et se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite et en aval du centre de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines. D'une longueur 341 kilomètres, elle est presque entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres.

L'Automne, d'une longueur de 34 km, prend sa source dans la commune de Villers-Cotterêts et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Longueil-Sainte-Marie, après avoir traversé 19 communes. Les caractéristiques hydrologiques de l'Automne sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saintines. Le débit moyen mensuel est de 1,99 m3/s. Le débit moyen journalier maximum est de 7,07 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 7,86 m3/s, atteint le .

Sept plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la sablière 1 de la Plaine d'Herneuse (8,2 ha), la sablière 2 de la Plaine d'Herneuse (8,9 ha), la sablière 3 de la Plaine d'Herneuse (7,2 ha), la sablière 4 de la Plaine d'Herneuse (5,5 ha), la sablière de la Corroie (8,5 ha), la sablière de la Remise d'Herneuse (6,9 ha) et la sablière des Gats (35,5 ha).

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 287 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Automne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat d'aménagement et de gestion des eaux du Bassin Automne (S.A.G.E.B.A).

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C).

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 714 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 14 km à vol d'oiseau, est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « I », mais aucune balise <references group="I"/> correspondante n'a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n'a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Carte », mais aucune balise <references group="Carte"/> correspondante n'a été trouvée

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes :

  • [in villa] Verimbrea [super Issara fluvio] en 741 (FG (3e continuateur)
  • vermeria [in palatio nostro] vers 746 (CSD (ch. de Pépin le Bref)
  • [capitula data apud] Vermeriam [palatium regium] en 752 (capit. de Pépin le Bref)
  • [de operibus palatii ad] Vermerias en 808 (capitulaire de Charlemagne)
  • Werimbria en 830 (HF)
  • [apud] Vermeriam [palatium] en 853 (PRS)
  • [in eodem palatio] Vermeria en 853 (charte de Charles le Chauve)
  • [actum] Vermerie [palatie regis] en 856 (CNC (charte de Charles le Chauve)
  • [actum] Vermerigia [palato nostro] en 863 (dipl. de Charles le Chauve)
  • in Vermeria en 877 (CSC)
  • [actum] Vermeria [palatio] en 890 (dipl. d'Eudes)
  • [actum apud] Vermeria [palacium] en 900 (Charles le Simple)
  • Vermerium palatium au IXe siècle (capitulaire de Charles le Chauve)
  • [apud] Vermeriam [palatum] en 903 (ch. de Charles le Simple)
  • [prope pontem] Vermeriae [contra palatium situm] en 918 (CSC (dipl. de Charles le Simple)
  • Verberiacum [palatium] en 967 (AN (dipl. de Lothaire)
  • Wrembia au Xe siècle (M)
  • [villa publica] Vurembria au Xe siècle (M)
  • Verimbria au Xe siècle (vie de Louis Ier le Débonnaire)
  • [actum] Vermeriae [palatio] en 1021 (EN (dipl. du roi Robert II le Pieux)
  • [in villa] Vermeria super fluvium Iseram en 1025-8 (chronique, Adhémar de Chabannes)
  • [proedium nostrum regali nostrae sedi] Vermeriae contiguum en 1029 (CSC (ch. du roi Robert II le Pieux)
  • [prope pontem] Vermerie en 1177 (CSC)
  • Verberia en 1183 (CSC)
  • Verberie en 1192 (CSC)
  • [in villa publica] Werinbria au XIIe siècle (HF)
  • Vermerigia en 1200
  • Verbrie en 1239 (CA)
  • Vernbria en 1250 (ES)
  • Verbria en 1250 (ES)
  • Verberiacum vers 1260
  • [in magna decima de] Verberie en 1260 (CSC)
  • Vermbria vers 1270 (ES)
  • apud Verberias en 1271
  • [Hugo de] Verbria en 1271 (CMC)
  • [une vile qui a non] Vermerie [qui siet sur la riviere d'Isare], XIIIe siècle (HF (chroniques de St Denis)
  • [de] Verberia [suessionensis diocesis] vers 1309 (HF)
  • Verbery en 1570 (T)
  • Verberye en Valois au XVIe siècle
  • [le bourq de] Verberie en 1650 (CVS)
  • Verberie en Valois au XVIIe siècle
  • Verberie-sur-Oise au XIXe siècle

« Comme la plupart des noms dont l'étymologie est douteuse celui de Verberie est celtique. Les doctes ne sont d'accord que sur ce point car ceux qui le nomment Wurembria le font venir de ver en eau salée et bry fontaine assurant que les Celtes appelaient ce lieu le bourg aux eaux salées tandis que les autres qui le distinguent sous le nom de Verbria et Vembria prétendent qu'il se compose de ver « grand, long » et bria tout ce que vous voudrez tantôt une montagne tantôt un lieu situé sur un fleuve ceux ci sont les plus accommodants aussi leur version paraît elle l'avoir emporté puisque les titres du treizième siècle l'appellent longus mons in valle longus mons in colle d'où l'on a fait le nom de Longmont que porte le village de Saint Vaast ».

Histoire

Préhistoire et Protohistoire

Le Buisson Campin, occupations du Magdalénien

Bernard Lambot, de la Société d'archéologie champenoise, découvre deux locus du site magdalénien du Buisson Campin. C'est le premier site magdalénien trouvé en place dans l'Oise. Roger Agache découvre aussi un grand bâtiment protohistorique lors d'une prospection aérienne. Les fouilles commencent en 1976, avec une équipe composée essentiellement de bénévoles et Françoise Audouze comme co-responsable. À partir de 1982, la proportion d'étudiants, y compris d'étudiants étrangers, augmente dans l'équipe de fouille : le Buisson Campin devient une étape dans la formation de futurs archéologues. Mado Caron est la seule bénévole restant fidèle au poste, jusqu'à la dernière campagne de fouilles en 2002. James J. Enloe, qui vient de terminer sa thèse sur le partage du gibier à Pincevent, commence l'étude de la faune du Buisson Campin en 1987. En 1988 la fouille change de statut : de fouille de sauvetage (sur la base des destructions causées par les labours) elle devient une fouille programmée triennale en 1988. James Enloe est nommé co-directeur de la fouille en 1991, et de 1991 à 2001 le site devient une école de fouilles de l'université de l'Iowa.

En 1979 un squelette d'enfant est découvert entre les locus 190 et 201. Daté tout d'abord du Chalcolithique à environ 3 000-2 500 ans (Audouze 1986), une datation ultérieure lui donne un âge attribuable au Mésolithique moyen.

Une partie du site de la Verberie est inscrite comme monument historique par arrêté du 3 octobre 1995.

La Croix des Champs, occupations du Mésolithique et du Chalcolithique

À la fin des années 1990, une campagne de sondages préalable à l'aménagement des abords du stade municipal (7 000 m2) a mis au jour des vestiges archéologiques attribuables à différentes périodes : Mésolithique, Chalcolithique et Protohistoire. Il n'y a ni de structure ni de concentration de mobilier.

Les Gâts et la plaine d'Herneuse, occupations de l'âge du bronze et du gallo-romain moderne

Probablement depuis la fin du Bronze ancien (pour un silo) et de façon sure au Bronze final IIIb et au Hallstatt moyen, les structures se concentrent dans des zones basses du lieu-dit les Gâts, près d'anciens chenaux. Les fosses sont associées à des édifices juchés sur trois ou quatre poteaux et qui n'ont pas pu être datés. Le silo qui est peut-être daté de la fin du Bronze ancien a fourni un vase auquel était accolé (fortuitement?[pas clair]) un os frontal humain de jeune adulte. Ce sont les premières occupations repérées dans ce secteur.

Au Hallstatt final et à La Tène ancienne, on retrouve des fosses, des silos et quelques constructions aux "Gâts", toujours dans des zones basses près d'anciens chenaux ; mais sur "la Plaine d'Herneuse" les vestiges d'occupation se trouvent sur les versants ou les sommets des buttes. Ce dernier lieu a aussi fourni la principale occupation sur ce site, datant de la transition entre La Tène moyenne et La Tène finale et montrant deux états distincts d'un même établissement.

Moyen-Âge

Verberie fut une résidence campagnarde des rois francs et de Charlemagne. Charlemagne s'y fait construire un vaste palais allant de la chapelle Saint-Pierre jusqu'au château d'Aramont sur une longueur de 420 mètres. Cette construction est flanquée de tours rondes en pierre de taille ; les murs sont ornés de bas-reliefs et les frontons surmontés de statues colossales. Les portes sont d'airain, les mosaïques de marbre, les meubles incrustés d'or. Les jardins très vastes forment terrasse. Le parc s'étend jusqu'à la forêt coupée de canaux et parsemée d'étangs.

La ville primitive est comparable à nos moyennes villes de province actuelles. Au VIe siècle, Verberie forme une grande agglomération. Au cours des siècles, Verberie a vu défiler bien des rois : Pépin le Bref, Louis le Débonnaire (830), le roi Eudes (890), plus tard Charles VII…

Charles Martel, après sa victoire de Poitiers contre les Sarrasins, vient se reposer à Verberie (739). C'est là qu'il contracte la maladie dont il meurt deux ans plus tard. Il y reçoit, du pape Grégoire III, les chaînes de saint Pierre et les clefs de son sépulcre.

La ville est le siège de plusieurs conciles en 752 (ou 753), 756, 853 et 869.

En 856, la fille de Charles le Chauve, Judith, y épouse Æthelwulf, le roi du Wessex.

Saccagée par les vikings, Verberie est restaurée en 885 puis pillée à plusieurs reprises au cours du Xe siècle.

Brûlée par les Anglais en 1359, la ville est reconstruite par Charles V. Au XVIe siècle elle est réduite à l'état de simple bourg : les guerres l'ont ruinée. Il reste quelques maisons des XVIe et XVIIe siècles. En 1530, la cité est encore fortifiée. Les murailles sont percées de cinq portes encore présentes au début du XIXe siècle.

Charles VII fait démolir en 1431 les murs fortement endommagés de la ville ; ces derniers sont rétablis par François Ier et restaurés sous la Fronde.

Constance d'Arles, reine de France par son mariage avec Robert II, donne à l'abbaye de Compiègne un très important domaine à Verberie pour le repos de son fils Hugues, inhumé dans l'église de l'abbaye Saint-Corneille.

Temps modernes

Révolution française et Empire

La famine à Verberie est la cause du ralliement à la Révolution française. La ville accueille cette révolution avec joie. En , le lieutenant-colonel Claude Antoine Capon de Château-Thierry crée le camp militaire de Verberie afin de préparer et d'entraîner les bataillons de volontaires nationaux. Le , elle plante l'arbre de la liberté et le 30 prairial () de l'an II, elle célèbre avec enthousiasme la fête de l'Être suprême.

Époque contemporaine


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n'a été trouvée

Héraldique

Blason
D'azur à la tour donjonnée d'argent, maçonnée et ajourée de sable,
accompagnée de cinq fleurs de lys d'or ordonnées 2, 2 et 1
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Ces informations proviennent du site Wikipedia (v2.1 – 19/07/2025 02:27:14). Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Verberie dans la littérature

Découvrez les informations sur Verberie dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

3788 autres localités pour la Hauts-de-France — région

Vous pouvez consulter la liste des 3788 autres localités pour la Hauts-de-France — région sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-hdf/villes.html.

Version en cache

19/07/2025 02:27:17 Cette version de la page est en cache (à la date du 19/07/2025 02:27:17) afin d'accélérer le traitement. Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la version plus récente de la page.

Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 02/06/2025
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-hdf/36732.html

L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.