Hazebrouck

Localisation

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Hazebrouck : descriptif

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Hazebrouck

Hazebrouck est une commune française dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. La ville, située en Flandre française, ainsi que ses alentours ont appartenu au Comté de Flandre, au royaume de France, aux Pays-Bas espagnols et aux Pays-Bas méridionaux. Avec ses 21 785 habitants en 2022, Hazebrouck est une ville relativement importante (la 3e de l'arrondissement de Dunkerque et la 16e du département du Nord).

Géographie

Localisation

Hazebrouck est située en Flandre française, dans le Houtland (litt. le pays du bois), à 35 km de Dunkerque et de Lille, 50 km d'Arras, 54 km de Calais et à proximité de la frontière belge (située à 15 km environ).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Vieux-Berquin, Wallon-Cappel, Borre, Caëstre, Hondeghem et Morbecque.

Communes limitrophes d'Hazebrouck
Hondeghem Hondeghem Caëstre
Wallon-Cappel Hazebrouck Borre
Morbecque Morbecque Vieux-Berquin

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal d'Hazebrouck, divers bras de la Bourre, la Foene Becque, la Papote Becque Nord, la Becque de la bréarde, la dole Becque, la Noord Becque, le ruisseau de Morbecque, l'Hondsteen Becque et un autre petit cours d'eau.

La Bourre, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune de Lynde et se jette dans le canal d'Hazebrouck en limite de Morbecqueet de Vieux-Berquin, après avoir traversé huit communes.

Le canal d'Hazebrouck, d'une longueur de 15 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys à Merville, après avoir traversé quatre communes.

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Sween Pleck (0,4 ha).

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL).

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 736 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 10 km à vol d'oiseau, est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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Toponymie

  • Etymologie : Du néerlandais haas/hase « lièvre » + broek « marais ».
  • Anciens noms : Hasebroch (1000), Hasbruc (1122), Hasbruich, Asebroc (XIIe siècle), Hasabroc (1187), Hasabroec (1202).

La ville est désignée Hazebroek en néerlandais, c'est-à-dire littéralement marais de/aux lièvres.

On parle parfois d'hazebroucker quelqu'un, en référence au juge Étienne Ceccaldi, que le garde des Sceaux Jean Lecanuet voulut muter à Hazebrouck en 1976 à titre de sanction, pour avoir refusé de modifier un rapport sur les ententes pétrolières conclues entre les grandes compagnies au détriment des petits producteurs.

Histoire

Hazebrouck était un village du comté de Flandre. Comme de nombreuses villes de Flandre, Hazebrouck dut tout au long de l'Ancien Régime subir les outrages des guerres entre les Pays-Bas bourguignons puis espagnols et la France, et au XXe siècle des deux guerres mondiales.

Moyen Âge

Il est coutume de relater que des moines, à l'aube de l'ère chrétienne, sous le règne de Dagobert Ier, défrichèrent les environs et asséchèrent une forêt marécageuse. L'élevage et la culture purent ainsi se développer. C'est à cette époque que saint Éloi serait venu évangéliser la contrée.

La Flandre des comtes 862-1384

Entre 862 et 1384, le titre de comte de Flandre se transmet par neuf familles, de Beaudouin Bras de fer (862-879) à Louis de Male (1346-1384).

En 1122, le comte de Flandre, Charles le Bon attribue le statut et donc le nom de "Ville" à Hasbruc.

On trouve une première mention écrite d'Hasbroec en 1141 par l'archevêque de Reims, Samson de Mauvoisin qui confirme au chapitre de Cassel, la possession de terres, sises à Hasbroec. En néerlandais haas (haze en flamand occidental) signifie « lièvre », et broek « marais ».

C'était à cette époque un grand village vivant de chasse et de pêche qui dépendait de la châtellenie de Cassel et qui fut brûlé par Philippe de Valois en 1347. À cette époque les guildes, corporations d'artisans : boulangers, brasseurs, cordonniers, tisserands, drapiers… vont faire connaître la prospérité à la ville.

Les Gantois saccagèrent la ville en 1436.

La Flandre dans les Pays-Bas bourguignons (1384-1555)

Les Français de Charles VIII brûlèrent la ville le ().

En 1512 est construite la flèche de l'église Saint-Éloi (Turris Splendida) par Loocke Sanderus.

Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Cassel.

Temps modernes

La Flandre dans les Pays-Bas espagnols (1555-1678)

En 1565-1566, le canal d'Hazebrouck est creusé et le port d'Hazebrouck est implanté. À la même époque, la ville possède une grande place non pavée, au centre de laquelle existait une fosse entourée d'une haie. Les habitations en torchis et aux toits de paille ne possèdent qu'un rez-de-chaussée.

En 1582, la ville est détruite. Le premier hôtel de la ville d'Hazebrouck est construit en 1589. De 1602 à 1635, le Westhoek vit en paix.

En 1610, les Augustins ouvrent un collège dans les bâtiments de l'ancien couvent. Le couvent des Augustins est bâti en 1616. Cependant, la ville connaît de graves épidémies comme la peste en 1637, 1638 et 1646.

La Flandre française depuis 1678

La bourgade compte 3 725 habitants en 1701, peu après son annexion au royaume de France sous Louis XIV par le traité de Nimègue en 1678. Ce traité entérine notamment les conséquences de la bataille de la Peene livrée un an plus tôt à Noordpeene.

Joseph Louis Étienne Cordier (1775-1849), ingénieur en chef des ponts et chaussées (et Membre de la légion d'honneur) écrit en 1820 à propos de l'arrondissement d'Hazebrouck qu'il a durant un certain temps constitué une exception juridique et fiscale étonnante : « Sous Louis XIV, les habitans contribuèrent à détruire une armée ennemie engagée dans ce pays coupé de haies, et reçurent pour récompense l'exemption des impôts indirects. Depuis 1790, ils ont perdu cette franchise ».
Selon ce même auteur, « d'après un système de défense qui semble aussi contraire aux lois qu'aux idées militaires, généralement adoptées, on s'oppose (dans l'arrondissement) à l'ouverture des canaux et des routes. En vain les conseils du département et de l'arrondissement, et les Préfets, ont demandé l'exécution des travaux indispensables que les habitans offrent de payer. Les ouvrages sont ajournés, et ces malheureux cultivateurs restent comme séparés de la France par la difficulté des communications ». Depuis 1790, les habitants de cet arrondissement « n'ont point obtenu le droit d'ouvrir des chemins, même de village à village » précise Cordier.

  • Le , le magistrat d'Hazebrouck interdit les toitures en paille ou chaume pour éviter les incendies.
  • Le , le Comte de Flêtre, grand bailli de Cassel renouvelle la loi (6 échevins) d'Hazebrouck.
  • Le , pour fêter la fin de la peste, La tour Saint-Éloi s'embrase sous les feux de Joie.
  • 1756 Relevé de la carte de Cassini demandée par Louis XV.

Révolution française et Empire

  • Le , l'Assemblée Nationale décide que Hazebrouck sera le siège du tribunal de district.
  • Le , la société populaire organise un banquet en l'honneur de Primat, évêque constitutionnel qui rend visite à Hazebrouck.
  • 1793 : bataille de Hondschoote.
  • Le , le conseil général de la ville oblige les habitants à porter la cocarde tricolore. La même année, trois arbres sont plantés sur la place : un chêne, un peuplier et un pommier.
  • 1794 : décapitation à Paris de Verwisch, curé constitutionnel (ayant prêté le serment de fidélité à la constitution civile du clergé) d'Hazebrouck. De même que quelques autres prêtres (Vandenheede curé de Rexpoëde, Jacquez curé de Merville), il avait fait partie des révolutionnaires les plus extrémistes, au point qu'un révolutionnaire laïque comme Florent-Guiot, représentant de la Convention dans le département du Nord, les soupçonnait de vouloir en réalité un soulèvement de la population contre la Révolution.
  • Le , le citoyen Rackelboom, laboureur à Morbecque achète aux enchères, l'église des Augustins pour 82 000 livres.
  •  : L'ancien hôtel de ville est en flammes. Le greffier, M. Theeten parvint à s'enfuir par une fenêtre. Monsieur Drapier, architecte présente le devis de reconstruction de l'hôtel de ville pour 128 997 francs, le . La construction commence le . Les archives de la ville ont été détruites lors de cet incendie.
  • En 1802, Hazebrouck est une place fortifiée.
  • En 1803, dans la continuité de l'époque antérieure à la Révolution, se tient dans la ville une grande foire annuelle pour toutes marchandises avec foire à bestiaux le 1er jour; cette année là, elle a eu lieu du 1er au 9 fructidor (fin août). Ont également lieu des foires de seconde classe pour marchandises et bestiaux, les 17 (6 juin) et 28 prairial (17 juin) et un franc marché (marché où les ventes sont dispensées de taxes) aux bestiaux en brumaire (novembre), pluviôse (février), ventôse (mars), germinal (avril) et thermidor (juillet). S'ajoutent à cela, des marchés décadaires (la décade est une période de dix jours dans le calendrier républicain) pour grains, petits animaux, légumes.
  • À cette époque, pour les transports par route, on trouve à Hazebrouck des cabriolets de louage. De plus, un chariot part pour Bailleul, Armentières et Lille le mardi. Par voie d'eau, des barques relient la ville à Estaires et à Merville, et une barque s'en va vers Aire-sur-la-Lys et Saint-Omer tous les mardis.
  • Le , quelque 3 000 conscrits rassemblés à Hazebrouck se révoltent contre l'Empire de Napoléon Ier.
  • Le , Hazebrouck est envahie par les Cosaques du Baron de Geismar. Cette occupation durera 4 ans.

Époque contemporaine

  • 1838 : Un fronton et une horloge sont ajoutés à l'hôtel de ville.
  • 1848 : C'est le chemin de fer avec la ligne Lille - Dunkerque qui donna une certaine impulsion aux industries locales de tissage et de filature dès . Le , après de longues concertations, le ministre des travaux publics fixa l'emplacement de la gare d'Hazebrouck mais ce ne fut qu'en 1861 que l'on vit la création de la gare définitive, lors de la mise en service de la ligne Calais-Hazebrouck. C'est d'ailleurs à la gare que le , les Hazebrouckois tentèrent d'apercevoir l'impératrice d'Autriche Sissi en route pour Londres. L'apparition du chemin de fer fit progresser la place du français dans la vie de tous les jours. En effet, le flamand occidental était la langue utilisée dans les familles hazebrouckoises jusqu'au début du XXe siècle. À la fin du XIXe siècle, plus de la moitié des enfants des familles hazebrouckoises ne parlaient que le dialecte local du néerlandais. Aujourd'hui, la totalité ne parle que le français.
  • Le , les citoyens Velge et Hanicot célèbrent la révolution en arborant sur la tour de l'église Saint-Éloi le drapeau tricolore.
  • 1849 : Le baron de La Grange est élu à Hazebrouck.
  • Le , les religieuses de la congrégation des « Filles de la charité » prennent en charge les soins des vieillards de l'hospice.
  • Le , la foudre tombe sur le clocher de l'église Saint-Éloi. L'architecte Vandelbuicke préconise sa destruction, bien qu'en 1868, la commission historique du département du Nord ait donné un avis favorable au classement du clocher « parmi les monuments historiques » pour son « importance et le style de sa flèche », son « aspect pittoresque et monumental ».
  • Au début du XXe siècle, la ville comptait quatre tissages qui employaient plus de 1 000 personnes et le canal d'Hazebrouck poursuivait son activité mais de 1903 à 1909, l'apparition de métiers à tisser automatiques entraina des grèves et l'intervention de l'armée afin de rétablir l'ordre.
  • 1882 : Ouverture des halles, le .
  • 1894 : Construction du palais de justice.
  • À partir de 1906, jusqu'à 1928 pour les voyageurs et 1944 ou 1962 pour tout type de trafic, une ligne de chemin de fer d'intérêt local relie Hazebrouck à Merville via La Motte-au-Bois, avec des arrêts dans des hameaux dépendant des villages traversés, comme Préavin, Caudescure.
  • Le , le chanoine Lamant, vicaire général procède à la bénédiction de l'église du Sacré-Cœur et de l'école Saint-Jules.
Première Guerre mondiale

La ville servait essentiellement de base arrière pour les soldats anglais et australiens. Elle fut durement bombardée par les Allemands vers la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917 et 1918. Une grande partie de la ville fut détruite.

  • Le , l'abbé Lemire, maire d'Hazebrouck est nommé chevalier de la légion d'honneur.
  • En 1928 est créée l'association des amis de Tisje Tasje. Les géants en osier : « Roland d'Hazebrouck » le croisé, « Tisje Tasje » le colporteur, et sa famille : « Toria » sa femme, « Babe Tisje » et « Zoon Tisje » fille et fils de Tisje Tasje, apparaissent successivement.

Pendant la Première Guerre mondiale, un camp de travailleurs chinois venus travailler en France est installé à Hazebrouck.

En 1931, un tramway relie Hazebrouck à Merville.

Seconde Guerre mondiale

Durant toute la Seconde Guerre mondiale, mais plus particulièrement après le , l'aviation britannique et américaine détruisit une partie de la ville car les pilotes visaient la gare et son nœud ferroviaire mais manquaient souvent leur cible.

En , des observateurs britanniques cachés dans la tour Saint-Éloi attirèrent le feu d'une batterie allemande située à Morbecque. Le clocher est sérieusement touché et la flèche s'effondra lors d'une tempête en décembre de la même année.

Le mercredi , les troupes allemandes abattent des occupants de la maison de la famille Verlyck. Ce massacre fait 5 victimes dans cette seule famille. Émile Verlyck était âgé de 46 ans, quatre de ses fils sont également assassinés : Émile (20 ans), Robert (19 ans), Paul (18 ans) et Maurice (16 ans). Deux jeunes de 16 ans se trouvent dans la maison des Verlyck au moment où surgissent les soldats allemands : Alfred Bourez et François Annieré. Ils sont eux aussi froidement abattus. Toute la population hazebrouckoise est bouleversée par ce carnage. Le conseil municipal décidera de changer le nom de la rue des Tilleuls pour lui donner le nom de rue Verlyck, y installant une stèle en souvenir du drame.

Le , Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction, rend visite à Monsieur Plateel, maire, pour lui présenter le plan de reconstruction de la ville.

Fin du XXFin du XXe siècle

De 1971 à 1983, sous une municipalité socialiste (PS), Hazebrouck se dote d'un ensemble d'équipements publics: bibliothèque municipale, centre socio-éducatif (centre André-Malraux) ; projet « Hazebrouck Ville Ouverte » ; développement de logements sociaux et sensibilisation au patrimoine et à la qualité du cadre de vie en Flandre intérieure. Dès 1970, l'association « Menschen Lyk Wyder » sera au cœur de la réflexion sur la qualité de vie à Hazebrouck et en Flandre intérieure. Elle préfigurera la démarche du pays du « cœur de Flandres » du début des années 2000. Hazebrouck passe à cette époque la barre des 20 000 habitants.

En 1980, sous l'impulsion de Georges Degroote, l'association APREC se forme en vue de reconstruire la flèche de Saint-Éloi. Les travaux entrepris en 1993 se termineront en 1995.

Héraldique

Blason
D'argent au lion de sable, lampassé de gueules, tenant de ses pattes de devant un écusson d'or chargé d'un lièvre courant en bande au naturel.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Hazebrouck dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 02/06/2025
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