Caroline Fourest


Prénom : Caroline
Nom : Fourest
Date de naissance : 19-09-1975
Lieu de naissance : Aix-en-Provence, France

Informations de Wikipedia
Caroline Fourest

Caroline Fourest, née le 19 septembre 1975 à Aix-en-Provence, est une journaliste, essayiste, polémiste et réalisatrice française. Figure médiatique depuis les années 2000, « polémiste redoutable et controversée », elle milite pour le féminisme, les droits des homosexuels et la laïcité et contre les intégrismes religieux catholiques, juifs et musulmans, l'antisémitisme et les extrémismes politiques. Elle est éditorialiste à Marianne, rédactrice en chef de la revue ProChoix et directrice de la rédaction du magazine Franc-Tireur

En 2018, après vingt-et-un documentaires, elle réalise son premier film de fiction, Sœurs d'armes.

Biographie

Enfance, adolescence

Caroline Fourest est née Caroline Guillemot, d'un père négociant en vin et d'une mère antiquaire — dont elle a pris le nom de famille. Elle a grandi, selon Jean Birnbaum, dans « la bonne bourgeoisie provinciale ».

Études

Après avoir étudié à Aix-en-Provence dans un collège privé catholique, Caroline Fourest s'installe à Paris avec sa mère à l'âge de 14 ans après le divorce de ses parents. Elle découvre durant l'adolescence son homosexualité, ainsi qu'une conscience politique qui la sensibilise à « tout ce qui est minoritaire ».

Diplômée en histoire et en sociologie de l'EHESS, elle est également titulaire d'un DESS de communication politique et sociale, obtenu à la Sorbonne. Elle y a étudié la communication de crise (réactions aux boycotts et aux rumeurs), à laquelle elle a consacré un livre, Face au boycott.

Journalisme et engagement

Années 1991-2000

Caroline Fourest débute dans le journalisme en 1994 par un stage à France 3. De 1995 à 1997, elle est journaliste au magazine Transfac, trimestriel distribué gratuitement aux étudiants, pour lequel travaille également Fiammetta Venner. Renvoyées car considérées comme trop militantes souhaitée], les deux femmes se spécialisent sur « l’extrême droite catholique ». Caroline Fourest devient pigiste dans ce domaine à L'Événement du jeudi, puis au magazine à destination de la communauté gay Têtu et au magazine catholique de gauche Golias de 1996 à 2000.

En 1997, elle fonde la revue ProChoix avec Fiammetta Venner et Moruni Turlot. Éditée par l'association du même nom, cette revue s'est donné pour objet de « défendre les libertés individuelles contre toute idéologie dogmatique, liberticide, essentialiste, raciste ou intégriste. » Ses thèmes de prédilection sont la protection de la laïcité, les droits des femmes et des homosexuels. Le nom ProChoix vient de l'anglais prochoice utilisé par les mouvements en faveur du droit à l'interruption volontaire de grossesse. La revue ne se limite cependant pas à la question de l'avortement.

En 1998, elle coécrit, avec Fiammetta Venner, Le Guide des sponsors du FN. Utilisant de nombreuses sources écrites (publications proches du Front national, documents officiels), le livre dresse la liste de nombreuses entreprises ayant financé ce parti. Il remet également en cause certaines enquêtes précédentes, par exemple concernant le boulanger Lionel Poilâne.

En 1999, elle publie, à nouveau avec Fiammetta Venner, Les Anti-PACS ou la dernière croisade homophobe, une enquête sur les mouvements anti-PaCS, leurs liens avec la droite catholique radicale, et Christine Boutin. En annexe, l'association ProChoix rend publique la liste des maires ayant signé la pétition contre le PaCS. Il s'avère que plus de 15 000 maires de France l'ont signée (soit 41 %), mais qu'elle n'a jamais été publiée. Cette pétition a directement conduit à ce que les PaCS ne soient pas signés en mairie (au même titre que le sont les mariages et les déclarations de concubinage).

Elle préside le Centre gay et lesbien de Paris de mai 1999 à mars 2000 pendant le débat sur le PaCS.

En 2000, elle publie un livre aux éditions Golias, Foi contre choix : la droite religieuse et le mouvement pro-life, qui étudie la montée en puissance et l'inspiration « pro-vie » ou anti-avortement d'organisations chrétiennes et de leurs alliés du Parti républicain, actifs dans l'entourage de George W. Bush.

Années 2001-2010

En 2003, elle coécrit Tirs croisés avec Fiammetta Venner sur la « laïcité à l’épreuve des intégrismes juif, chrétien et musulman ». Le livre ne porte pas sur la religion en tant que telle mais plutôt sur l'« intégrisme », que les auteurs définissent en introduction comme « l'emprise autoritaire, nécessairement politique, qu'exercent certains groupes sur la vie en société au nom de la religion ». Le livre conclut que si l'intégrisme musulman est bien le plus virulent des trois intégrismes, « ce surcroît de nocivité n'a rien à voir avec la religion mais avec l'instrumentalisation de la religion ». En l'occurrence, selon les auteurs, le phénomène serait dû au fait qu'un nombre élevé de pays à majorité musulmane ne sont pas réellement sécularisés.

Caroline Fourest en 2011 à l'université de la Terre.

Elle dénonce régulièrement l'extrême droite et l'intégrisme chrétien, qui comptent parmi ses principaux objets d'étude,. Dans les années 2000, elle oriente également ses travaux sur l'intégrisme musulman : dans ce cadre, elle publie les livres Tirs croisés, la laïcité à l’épreuve des intégrismes juif, chrétien et musulman (2003), Frère Tariq (2004) et La Tentation obscurantiste (2005). Dans ce dernier ouvrage, elle accuse une partie de la gauche de s'être rapprochée de la mouvance islamiste. Elle considère à ce titre qu'« il existe aujourd'hui, à gauche, de nouveaux « compagnons de route » pour trouver séduisante la dictature de la charia comme jadis la dictature du prolétariat ».

Dans Frère Tariq, Caroline Fourest se livre à une analyse des écrits et des propos de Tariq Ramadan, et conclut que ce dernier tient un « double discours », relativement libéral lorsqu'il s'exprime dans les médias et fondamentaliste et réactionnaire quand il s'exprime devant ses partisans musulmans. Tariq Ramadan affirme qu'elle multiplie les approximations, les erreurs historiques et les mensonges, tandis que d'autres vantent sa rigueur, lui attribuant d'avoir été la première à analyser toutes ses déclarations. L'ouvrage est salué par Bernard-Henri Lévy. Catherine Coroller de Libération est moins laudative, comparant l'essai aux « charges qui, par leur violence et leur parti pris, affaiblissent le propos de leurs auteurs ». En 2008, Frère Tariq est édité aux États-Unis par la maison d'édition de David Horowitz, « Encounter Books », sous le titre Brother Tariq. The doublespeak of Tariq Ramadan. En Angleterre le livre est édité par « Social Affairs Unit ».

En 2005, elle obtient avec Fiammetta Venner le prix national de la laïcité, remis par le Comité Laïcité République, une association présidée par l'ancien Grand-Maître du Grand Orient de France Patrick Kessel, les récompensant « pour leurs actions contre tous les fondamentalismes religieux et leurs avatars liberticides, ainsi que pour leur engagement face à l’extrême-droite ».

La Tentation obscurantiste obtient le prix du livre politique 2006 de l'Assemblée nationale au premier tour de scrutin, par 80 % des membres du jury composé de journalistes. Le livre pose cette question : « la complaisance voire la fascination pour l'islamisme — une idéologie réactionnaire, intégriste et totalitaire — a-t-elle sa place à gauche ? » Les deux précédents livres de Caroline Fourest, Tirs croisés (coécrit avec Fiammetta Venner) et Frère Tariq étaient finalistes les années précédentes.

La même année, au moment de l'affaire sur les caricatures de Mahomet au Danemark, elle écrit dans Charlie Hebdo un texte pour contextualiser celles-ci, et pour répondre encore aux diverses réactions violentes qu'elles suscitent, elle rédige le Mehdi Mozaffari, intellectuel iranien exilé au Danemark, un manifeste intitulé « Ensemble contre le nouveau totalitarisme », qui est repris dans une pétition « Contre un nouvel obscurantisme » soutenue par douze intellectuels (depuis, menacés de mort) rejoints par bien d'autres, et repris dans de nombreux pays européens, également au Canada, en Colombie et en Iran,,.

Elle continue par ailleurs à étudier l'intégrisme chrétien, notamment dans ses articles de Charlie Hebdo.

Caroline Fourest, le 16 septembre 2008 à Paris.

En 2007, Caroline Fourest publie un livre intitulé Le Choc des préjugés, dans lequel elle dénonce « l'impasse des postures sécuritaires et victimaires ». La même année, elle prend position contre la Loi du 20 novembre 2007 relative à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile et l'amendement Mariani sur l’immigration autorisant le recours aux tests d'ADN et aux statistiques ethniques,.

En septembre 2009, Caroline Fourest et Fiammetta Venner quittent la rédaction de Charlie Hebdo dans le contexte de l'affaire Siné ; « l'audace se cherche ailleurs », expliquent-elles alors.

Elle est chroniqueuse dans l'édition du samedi du journal Le Monde de 2007 à et repérée par Ali Baddou, qui apprécie « sa voix dissonante et rafraîchissante » pour les radios France Culture dans une matinale, et France Inter. Elle anime ensuite, en 2012, 2013 et 2014, la chronique de France Inter Ils changent le monde. Elle participe également, en tant que chroniqueuse, à l'émission de télévision Semaine critique ! (France 2) de septembre 2010 à juin 2011.

Caroline Fourest cosigne avec Antoine Sfeir plusieurs textes dénonçant le « péril islamiste » et elle accuse Reporters sans frontières de soutenir des journalistes tunisiens « de tendance islamiste », « au nom d’une liberté de la presse qui ne devrait connaître aucune frontière, pas même celle de l’incitation à la haine ».

Depuis 2011

En janvier 2012, Caroline Fourest prend position contre la circulaire Guéant menaçant d'expulsion les étudiants étrangers, et elle parraine un de ces étudiants.

Elle participe à la création en mars 2012 du Collectif Roosevelt avec l'aide de Stéphane Hessel, Edgar Morin et de nombreux intellectuels et personnalités publiques de la société civile et politique. Ce collectif présente quinze propositions pour éviter un effondrement économique, élaborer une nouvelle société et lutter contre le chômage endémique et créer une Europe démocratique.

Fin 2012, elle prépare pour France 2 un documentaire sur les militantes féministes ukrainiennes Femen. Filmant le 18 novembre une action militante non autorisée contre une manifestation autorisée de l'Institut Civitas opposée au projet de légalisation du mariage et de l'adoption pour des couples de même sexe, elle est prise à partie et insultée par des participants au défilé, est « tabassée et rouée de coups », ce que confirment les vidéos tournées lors de cette manifestation, recevant également des injures sexistes et homophobes,. À la suite de la plainte qu'elle dépose, cinq individus (dont un colonel de l'Armée, un membre du service d’ordre de Civitas et d'autres militants d’extrême droite,) sont placés en garde à vue et poursuivis pour « violences volontaires en réunion »,. Au procès, seul l'un d'entre eux reconnaît avoir frappé Caroline Fourest, et dit le regretter ; les prévenus seront condamnés à la prison avec sursis et des amendes. L'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne (AGRIF), proche de l’extrême droite, porte en retour plainte contre Caroline Fourest pour « complicité de violences aggravées » et contre les Femen.[Passage à actualiser]

En 2013, elle reçoit le soutien d'un grand nombre d'associations ou de loges, sans y appartenir, pour son combat pour la laïcité ou pour les multiples agressions dont elle est victime en raison de ses prises de position, dont les Association Awsa France, Association CAEDEL-Mouvement Europe et Laïcité, Club République Sociale, Conseil national des associations familiales laïques (CNAFL), Association EGALE-Egalité-Laïcité-Europe, Association Laïcité-Liberté, Comité Laïcité République, Association des Libres Penseurs de France (ADLPF), Grande Loge mixte de France (GLMF), Grande Loge mixte universelle (GLMU), Grand Orient de France (GOF), Association Le Chevalier de la Barre, Cercle Jean Moulin, Association Libres MarianneS, Ligue du droit international des femmes () (LDIF), Observatoire International de la Laïcité, Observatoire Laïcité Provence (OLPA), Regards de Femmes ou Union des Familles Laïques,,.

Depuis fin 2016, Caroline Fourest écrit une chronique intitulée « Sans détour » dans l'hebdomadaire Marianne. En Janvier 2022, elle cesse sa collaboration avec Marianne.

Elle participe ponctuellement en tant qu'invitée à l'émission quotidienne C dans l'air sur la chaine publique France 5.

En 2018, elle réalise le long-métrage Sœurs d'armes, son premier film de fiction, sur la lutte des combattantes kurdes durant la guerre civile syrienne. Le magazine Les Inrockuptibles rapproche ce sujet de celui des Femmes du soleil d'Eva Husson, sorti la même année. Le film reçoit globalement une critique plutôt négative,, il est notamment décrit comme un film de propagande. C'est un échec commercial malgré les consignes de Cyril Hanouna à ses chroniqueurs d'en faire l'éloge sur demande de Vincent Bolloré, qui est à la fois actionnaire de la chaîne C8 et l'un des plus gros financeurs du film de Caroline Fourest.

Depuis avril 2022, elle est directrice de la rédaction de l'hebdomadaire Franc-Tireur.

Vie privée

Elle est la compagne de Fiammetta Venner, avec qui elle a écrit de nombreux textes.

  1. Femmes de lettres en Provence.
  2. a b et c Jean Birnbaum, «  », sur Le Monde, .
  3. Biographie de Caroline Fourest, ProChoix, .
  4. .
  5. Stop la rumeur.
  6. « Maires anti- PaCS sur le Net - L'association Prochoix révèle la liste des pétitionnaires de 1998 », Philippe Rioux, La Dépêche du Midi, .
  7. Fourest et Venner 2003.
  8. Fourest et Venner 2003, p. 13-14.
  9. Fourest et Venner 2003, p. 514.
  10. Fourest et Venner 2003, p. 404.
  11. Babara Loyer et Delphine Papin, « Entretien avec Caroline Fourest : Le féminisme laïque contre les intégrismes », Hérodote, lire en ligne, consulté le ).
  12. a et b Caroline Fourest et Fiammetta Venner «Le couple est la clé qui permet de relativiser toutes les tornades», Libération, .
  13. La gauche fait-elle le lit de l'islamisme?, L'Express, .
  14. Tribune du Point du .
  15. Ramadan le conquérant, Libération, .
  16. Présentation de l'ouvrage aux États-Unis :  », sur encounterbooks.com.
  17. Présentation de l'ouvrage en Angleterre :  », sur socialaffairsunit.org.
  18. Patrick Kessel.
  19. Prix du livre politique de l'Assemblée nationale..
  20. Jacqueline Remy, «  », sur LExpress.fr, (consulté le ).
  21. Pierre Cassen, Caroline Fourest et Corinne Lepage, «  », sur Libération.fr, (consulté le ).
  22. «  », sur latinreporters.com (consulté le ).
  23. présentation sur France Culture.
  24. « Les statistiques ethniques auraient fait reculer la lutte antiraciste (Caroline Fourest) », ProChoix, .
  25. « Pétition contre les statistiques ethniques (SOS racisme) », ProChoix, .
  26. Charlie enchaîné, «  », sur charlieenchaine.free.fr, (consulté le ).
  27.  », Charlie enchaîné, .
  28. «  », sur nouvelobs.com (consulté le ).
  29. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Rasplus
  30. Durant l'année 2010-2011, France Culture La chronique de Caroline Fourest, cf. Le site de l'émission.
  31. De février 2011 à juin 2012, France Inter La chronique de Caroline Fourest cf. Le site de l'émission.
  32. «  », sur franceinter.fr (consulté le ).
  33. Fourest et Venner 2003, p. 213.
  34. Caroline Fourest, « Étudiants étrangers : Claude Guéant doit s'excuser », Le Monde, .
  35. « Contre la circulaire Guéant, Caroline Fourest parraine un étudiant étranger », Libération, .
  36. Collectif Roosevelt, site officiel..
  37. « Mariage gay : entre 70 000 et 200 000 opposants ont défilé à Paris », Le Parisien, , lire en ligne.
  38. «  », sur Arrêt sur images.
  39. a et b «  », sur Le Point, (consulté le ).
  40. «  », sur leparisien.fr (consulté le ).
  41. «  », sur elle.fr.
  42. Alexandra Parachini, «  », sur lequotidien.lu, (consulté le ).
  43. Frédéric Haziza, Vol au-dessus d'un nid de fachos: Dieudonné, Soral, Ayoub et les autres, Fayard, (ISBN , lire en ligne).
  44. Ide Parenty, «  », sur terrafemina.com, (consulté le ).
  45. « Au procès des violences contre les Femen, jusqu'à un an avec sursis requis », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  46. «  », sur Le Figaro, (consulté le ).
  47. « L'AGRIF poursuit les Femen pour violences anti-chrétiennes », Chrétienté-info du .
  48. «  », sur awsa.fr (consulté le )
  49. «  », sur Comité Laïcité République (consulté le ).
  50. «  », sur Egale (consulté le ).
  51. «  », sur Comité Laïcité République (consulté le ).
  52. «  », sur libre-penseur-adlpf.com (consulté le )
  53. a et b A.S., «  », sur gadlu.info, (consulté le ).
  54. «  », sur laicite1905.com (consulté le ).
  55. a et b Cercle Jean Moulin, «  », sur Cercle Jean Moulin ®, (consulté le )
  56. «  », sur net1901.org (consulté le ).
  57. «  », sur ldif.asso.fr (consulté le ).
  58. «  », sur Comité Laïcité République (consulté le ).
  59. «  », sur laicite13aix.marsnet.org (consulté le )
  60. «  », sur godf.org, (consulté le ).
  61. Page d'auteur de Caroline Fourest sur le site de Marianne.
  62. Sandrine Cassini, «  », sur lemonde.fr,
  63. « “Sœurs d'armes” : premier aperçu du film de Caroline Fourest sur la lutte des combattantes kurdes », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne).
  64. Sandra Onana, «  », sur Libération (consulté le )
  65. Equipe B.Corson, «  », sur politis.fr, (consulté le )
  66. Frédéric Martel, «  », sur France Culture, (consulté le )
  67. E. Duj, «  », sur La Voix du Nord, (consulté le )
  68. Christine Monfort, «  », sur influencia.net, .
  69. Claude Askolovitch, « Caroline Fourest, Fiammetta Venner. Les hussardes », Le Nouvel Observateur, no 2064, 27 mai 2004.

Distinctions

Décorations

  • Chevalier de l'ordre national du Mérite le 3 juillet 2021.
  • Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres le 17 janvier 2013
  • Chevalière de la Légion d'honneur (2024)*

Récompenses

  • Festival Cineffable 2004 : Prix du scénario pour le court métrage Safia et Sarah
  • Prix national de la laïcité 2005 pour Tirs croisés
  • Prix du livre politique 2006 de l'Assemblée nationale pour La Tentation obscurantiste
  • Prix Jean-Zay - Laïcité et République 2006 pour La Tentation obscurantiste
  • Prix Condorcet-Aron pour la Démocratie 2008 (Bruxelles)
  • Prix Adrien-Duvand 2010 de l'Académie des sciences morales et politiques du « meilleur ouvrage sur l'éducation civique et morale dans une démocratie » pour La Dernière Utopie. Menaces sur l’universalisme
  • Prix Fetkann 2010
  • Prix François-Mauriac 2020 pour Génération offensée
  1. Décret du 21 mai 2021 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite.
  2. Michel Lhomme, «  », sur metamag.fr, .
  3. «  », sur Journal officiel de la République française,
  4. , un court-métrage écrit et réalisé par Caroline Fourest ».
  5. «  », sur site.prix-fetkann.fr (consulté le )
  6. Hocine Bouhadjera, «  », sur ActuaLitté.com, (consulté le ).

Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Tous les rôles de Caroline Fourest actuellement dans le mediabrol

  • Acteurs

    Version en cache

    14/07/2025 20:52:45 Cette version de la page est en cache (à la date du 14/07/2025 20:52:45) afin d'accélérer le traitement. Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la version plus récente de la page.

    Document créé le 01/05/2020, dernière modification le 14/04/2025
    Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/personne/fourest-caroline.html

    L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.