Brigitte Bardot

Photo de Bardot, Brigitte
Prénom : Brigitte
Nom : Bardot
Date de naissance : 28-09-1934
Lieu de naissance : Paris, France

Informations de Wikipedia (v2.1 – 30/07/2025 21:50:45)
Brigitte Bardot

Brigitte Bardot, également désignée par les initiales « B.B

» ou « BB », est une actrice, mannequin, danseuse, chanteuse, militante des droits des animaux et écrivaine française, née le 28 septembre 1934 à Paris. Figure féminine des années 1950-1970, elle est une star mondiale, l'égérie et la muse de grands artistes de l'époque

Emblème de l'émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, elle incarne des rôles de femme libérée, anticonformiste et parfois fatale. Elle tourne avec plusieurs grands cinéastes, interprétant des personnages à l'élégante légèreté et à la sensualité photogénique

Elle devient rapidement un sex-symbol et acquiert une renommée internationale

Avec à son actif 45 films et plus de 70 chansons en près de vingt et un ans de carrière, Brigitte Bardot est l’une des artistes françaises les plus célèbres au monde. En 1973, elle met un terme à sa carrière d'actrice pour se consacrer à la défense des droits des animaux et crée la Fondation Brigitte-Bardot

Par son engagement, elle obtient notamment la généralisation du pistolet d'abattage dans les abattoirs (évitant aux animaux une douloureuse et lente agonie) et l'interdiction par le président français Valéry Giscard d'Estaing de l'importation de peaux de phoques en France ; mesure qui, par son action, est généralisée quelques années plus tard à l'ensemble des pays membres de la Communauté européenne. À partir des années 1990, elle suscite le débat en raison de prises de position hostiles à l'islam en France et aux égorgements rituels d'animaux sans étourdissement préalable

Entre 1997 et 2021, elle est condamnée à six reprises par la justice pour des propos à caractère raciste.

Biographie

Origines

Brigitte Bardot naît le au domicile de ses parents, 5, place Violet, dans le 15e arrondissement de Paris. Elle est baptisée Brigitte, Anne-Marie le 12 octobre et grandit dans une famille bourgeoise catholique parisienne.

Son père, Louis Bardot (1896-1975), est le fils de Charles Bardot (1860-1941), un ingénieur des Arts et Manufactures originaire de Ligny-en-Barrois, en Lorraine. La famille, de la haute bourgeoisie catholique, en cousinage éloigné avec Nicolas-Charles Oudinot (1767-1847), maréchal d'Empire et duc de Reggio, est solidement implantée aux commandes de la Troisième République. Jeanne Hyacinthe Marie Claveau (1864-1950), la grand-mère paternelle de Brigitte, est née à Louveciennes. Elle est l'héritière de la propriété où Brigitte et sa famille passeront de nombreuses vacances dans le « chalet norvégien », un pavillon de l'Exposition universelle remonté sur place.

Louis Bardot est ingénieur et exerce comme industriel, propriétaire des usines Bardot (appartenant aujourd'hui à Air liquide), dont le siège se trouve rue Vineuse, à Paris. Il écrit à ses heures perdues de la poésie qu'il publie sous le nom de Pilou-Bardot. Un de ses recueils, Vers en vrac, sera récompensé par l'Académie française du prix Paul-Labbé-Vauquelin en 1961.

Sa mère, Anne-Marie Mucel (1912-1978), est la fille d'Isidore Léon Mucel (1881-1958), originaire de Valence (Drôme) et directeur d'une compagnie d'assurances, et de Jeanne Louise Grandval (1887-1970), originaire de Paris. La mère et les deux grands-parents maternels de Brigitte Bardot seront enterrés à Saint-Tropez.

Anne-Marie Mucel passe une partie de sa jeunesse à Milan. Ses parents ont une loge à la La Scala. Elle souhaite devenir danseuse et actrice.

Elle rencontre Louis Bardot en 1933 et l'épouse la même année. Ils ont 16 ans d'écart d'âge et se vouvoient. À leur domicile, l'intendance est assurée par du personnel de service logé sous les combles et Anne-Marie ne fait jamais la cuisine. À partir de 1942, à respectivement 30 et 46 ans, ils font chambre à part. À cette époque, Anne-Marie crée un atelier de chapeaux dans une pièce de son appartement. Elle présente et vend ses pièces à des amies. Après la guerre et jusqu'aux années 1950, elle exerce son activité de modiste, à laquelle elle ajoute alors la couture, et se spécialise dans la robe de débutante.

Enfance

Les parents de Brigitte sont passionnés de cinéma et adorent filmer leur famille avec une caméra amateur, une pratique encore rare à cette époque. Il existe ainsi de nombreux films de Brigitte enfant, de ses 2 jours jusqu'à l'âge de 16 ans. Une séquence, tournée en 1939 par sa mère Anne-Marie à Hendaye, montre Brigitte à l'âge de 5 ans dans un scénario d'une histoire d'amour champêtre avec un petit garçon, incluant plusieurs scènes de baisers. Cette séquence est diffusée au cours de la première émission de Cinq colonnes à la Une, le 9 janvier 1959. France Roche, qui interviewe Brigitte Bardot, fait ensuite venir sur le plateau Michel Igon, son partenaire de l'époque dans cette séquence. Il évoque les nombreux tournages du père de Brigitte Bardot, qui dirigeait sévèrement les enfants en leur administrant parfois des gifles.

Enfant, Brigitte Bardot se trouve laide, et se sent mal-aimée. Elle porte un appareil dentaire, des lunettes et présente un léger strabisme. À la suite d'une maladie dans l'enfance, elle est atteinte d'un strabisme paralytique, une amblyopie à l'œil gauche. Ce regard la handicape, elle ne se trouve pas belle, mais lui confère une manière particulière d'appréhender le monde extérieur et de déambuler, participant à sa grâce.

Sa jeunesse est marquée par une éducation très rigoureuse. Lors d'un entretien accordé à Jean Cau, elle attribue son esprit rebelle à l'éducation qu'elle a reçue : « J'ai été élevée par des parents de droite, d'une bourgeoisie austère, qui m'ont donné une éducation assez stricte. J'ai connu la cravache… J'allais dans une école catholique, j'étais surveillée avec une gouvernante. Je ne sortais jamais dans la rue toute seule. J'ai été très tenue jusqu'à l'âge de 15 ans ». Sa mère n'hésite pas à la gifler « si son corps s'affaisse », afin que sa disciple y gagne ce « port de tête altier », qui caractérise l'actrice et qui est perçu par certains comme de l'arrogance. Dissipée, elle souffre de la préférence de ses parents pour sa sœur cadette, Marie-Jeanne (dite « Mijanou », née le ).

Scolarité, formation

À l'automne 1940, en pleine guerre, elle commence sa scolarité au cours Boutet de Monvel. Elle est inscrite à l'école de danse Rico à raison d'un jour par semaine. Lors du déménagement de ses parents en 1942 au No 1, rue de la pompe, dans le 16e arrondissement, elle est scolarisée à temps partiel au cours Hattemer Prignet, rue de la Faisanderie, et entre à l'école de danse de Marcelle Bourgat, salle Pleyel dans le 8e arrondissement, partageant sa semaine entre trois jours d'école et trois jours de danse. À 7 ans, elle remporte le 1er prix de danse de sa classe. Elle se passionne pour la danse classique.

En 1943, ses résultats scolaires étant catastrophiques, ses parents l'inscrivent à l'Institut de la Tour, un établissement catholique du (16e arrondissement de Paris). Elle ne peut plus exercer la danse, tombe malade au cours de l'année scolaire, et réintègre l'année suivante le cours Hattemer où elle doit redoubler.

Elle reprend la danse et en 1947, elle est reçue au Conservatoire de Paris dans la classe de Jeanne Schwarz (en) et reçoit dès la première année un premier accessit en 1948. En 1949, les archives du Conservatoire mentionnent en dessous de son nom « A concouru. » et en septembre 1950 : « Rayée. ».

Elle quitte le Conservatoire pour le cours de Boris Kniaseff, ancien danseur et chorégraphe du Théâtre des Champs-Élysées et des Ballets russes où elle retrouve Leslie Caron qui fréquentait avec elle le cours Bourgat. Kniaseff mène son cours un bâton à la main et frappe ses élèves quand il n'est pas satisfait d'un mouvement. Brigitte, surnommée « Bichette », est gracieuse, elle a les membres déliés mais elle est peu musclée, lente, et un peu faible sur les pointes et doit échapper aux coups. Sa rencontre avec Vadim l'éloignera ensuite des cours et elle arrêtera la danse classique.

Premières expériences professionnelles

En 1948, Anne-Marie Bardot convainc le modiste et photographe Jean Barthet de faire participer Brigitte à un défilé de présentation de ses chapeaux. Mais Brigitte est timide, gauche et n'ose pas regarder le modiste en face. Sa mère propose alors une forme de défilé nouvelle, loin de la marche sur la plateforme : elle pourra danser et les chapeaux porteront les noms des pas de ballet. Barthet accepte cette originalité et lui fait présenter ses chapeaux sur la musique du Lac des cygnes. Après le défilé Barthet, elle devient mannequin junior pour la maison de couture Virginie Jeune Fille qui propose des tenues style « college » et sport. Grâce à Pierre-André Tarbès, elle devient l'égérie du parfum jeune Ma Griffe de Carven.

À l'âge de 13 ans, elle remplace au pied levé une jeune fille pour une photo dans Jardin des modes, un hasard qui lance sa carrière de modèle pour les magazines. Début 1949, Marie-France de La Villehuchet, une amie de sa mère et rédactrice de Jardin des modes junior, lui fait faire une série de photos et une couverture. Sa famille craint qu'elle devienne cover-girl et fréquente un mauvais milieu. L'autorisation pour faire ces photos lui est donnée lors d'un conseil de famille qui l'autorise à poser à condition de ne pas être payée et que son nom n’apparaisse pas. De là proviennent les initiales B.B.; Sa mère l'accompagne aux séances photos.

Hélène Lazareff, amie de sa mère et directrice de Elle, la remarque et la choisit pour faire la couverture du numéro spécial du 2 mai 1949 dédié aux jeunes filles et leur mère et intitulé "Vos parents et vous, vos enfants et vous". On la voit de profil, brune aux cheveux courts, dans une séance de retouche de sa robe. Le , elle refait la couverture du numéro spécial Elle qui porte la légende Les jeunes filles sont-elles détestables ? Les jeunes mères sont-elles irréprochables ?. Elle pose avec un chemisier rayé à haut col claudine blanc et cravate bleue, une tasse de thé à la main, debout derrière sa mère. Elle devient la mascotte du magazine Elle.

En 1951, Christian Foye, un ancien danseur étoile du ballet des Champs-Élysées, demande l'autorisation à ses parents de l'emmener en tournée à Fougères et à Rennes pendant un mois pour un spectacle de ballet. Elle danse avec Sylvia Bordonne. Sa mère l'accompagne pendant une semaine.

Rencontre avec Roger Vadim

Le réalisateur Marc Allégret, voyant une de ses première photos dans Elle demande à la rencontrer. Ses parents s'opposent à ce qu'elle devienne actrice, mais son grand-père maternel, Léon Mucel dit « le Boum », la soutient dans son projet : « Si cette petite doit un jour être une putain, elle le sera avec ou sans le cinéma. Si elle ne doit jamais être une putain, ce n’est pas le cinéma qui pourra la changer ! Laissons-lui sa chance, nous n’avons pas le droit de disposer de son avenir. ».

En 1949, à l'audition, elle fait la connaissance de l'assistant d'Allégret, Roger Vadim, scénariste d'un film en préparation Les Lauriers sont coupés. L'admiration est réciproque pour leur côté à la fois altier et décontracté, mais ce n'est pas le coup de foudre. À propos de cette première rencontre, Brigitte Bardot s'exprime plus tard en ces termes : « Je n'avais pas l'habitude de rencontrer des hommes aussi beaux, aussi relax, aussi décontractés. Vadim, Je l'ai trouvé sublime de beauté, mais bien sûr jamais je n'aurais pensé que je me marierai un jour avec lui. J'allais avoir quinze ans, mais j'avais encore quatorze ans. Ça n'a pas été le coup de foudre, mais ça a été pour moi quelque chose de très très important. Jamais je n'aurais pu penser qu'il tomberait amoureux de moi ».

Vadim de son côté déclare : « J'ai vu entrer quelqu'un qui n'avait pas encore quinze ans. Son anniversaire devait être quelques jours plus tard , le 28 septembre je crois. Superbe, très décontractée. Très à son aise, comme si toute sa vie elle avait été voir des metteurs en scène et de jeunes scénaristes de génie ». À la question de savoir s'il avait éprouvé un coup de foudre, il répond : « J'ai eu le coup d'admiration. Et c'est tout. Je pensais que c'était une personnalité qui était royale, à sa façon de se tenir, de rire, d'être à son aise, [...] très directe, pleine d'humour et amusée à l'idée d'une nouvelle expérience, mais pas du tout convaincue que de faire du cinéma était une chose marrante ». J'ai pensé plus tard, pour décrire ce moment, à une phrase de Balzac qui dit : « L'élégance, c'est de paraître ce que l'on est. ».

Vadim lui donne la réplique dans des essais pour Les Lauriers sont coupés, dont l'Ina conserve les archives, et dont des extraits figurent dans la série documentaire d'Allain Bougrain-Dubourg sur Brigitte Bardot Telle Quelle, diffusée en 1982 et 1983 sur Antenne 2.

D'autres sources situent la rencontre de Brigitte Bardot et Vadim en 1950, après la parution de sa seconde couverture de Elle en mai 1950 : « La rencontre entre Bardot et Vadim est un roman usé. Le cinéaste Marc Allégret tombe sur la couverture du magazine Elle du 8 mai 1950, troublé par le visage d’une jeune fille de 16 ans, brune, coiffée en chignon, portant un chemisier et tenant une tasse de thé. Troublé surtout par le mystérieux sourire de la jeune fille. Allégret assigne alors à son assistant, Roger Vadim, la mission de la retrouver pour une audition ». L'actrice elle-même, dans son autobiographie de 1996, légende ainsi la photo de cette couverture de Elle du 8 mai 1950 en ces termes : « Le destin se mit en marche contre ma volonté car le réalisateur Marc Allégret vit cette deuxième couverture Elle et demanda à me rencontrer ».

Pour Les Lauriers sont coupés, Marc Allégret recherchait deux jeunes filles. Il repère lui-même Françoise Arnoul devant le Théâtre de l’Empire. Les biographies de cette dernière mentionnent qu'« Allégret lui explique son envie de l’associer à une autre jeune fille de son âge, Brigitte Bardot » et que lorsqu'elle est reçue par l'assistant d'Allégret, Roger Vadim lui annonce que « sa partenaire, Brigitte Bardot, est déjà engagée ». L'année exacte des rencontres respectives de Brigitte Bardot et de Françoise Arnoul avec Vadim reste à déterminer.

Le film ne se fait pas, mais Brigitte Bardot se lie d'amitié avec Vadim. À l'insu de ses parents, elle entame aussi de sa propre initiative une liaison intime avec lui et sèche les cours pour le rencontrer chez lui, dans la chambre de bonne qu'il loue dans l'île Saint-Louis. Vadim vient dans la famille Bardot, mais ses parents s'opposent à cette fréquentation et veulent envoyer Brigitte en pension en Angleterre pour 5 ans. Désespérée, la jeune fille fait une tentative de suicide. Son père renonce à l'envoyer à l'étranger et consent à ce qu'elle continue à voir Vadim, mais ne l'épouser que lorsqu'elle aurait 18 ans.

Il trouve un emploi comme journaliste à Paris Match et se marient le , près de trois mois après son dix-huitième anniversaire.


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Distinctions

Comparée aux autres artistes de son époque et au nombre de films qu'elle a tournés, Brigitte Bardot n'a pas reçu un nombre très important de récompenses cinématographiques :

  • 1957 : victoire du cinéma français pour le film Et Dieu… créa la femme.
  • 1958-1959-1960-1961 : 1er prix de popularité Ciné-Revue.
  • 1959 : victoire du cinéma français pour le film En cas de malheur.
  • 1960 : prix Europe bruxellois de la meilleure actrice pour le film La Vérité.
  • 1961 : prix international Ciné-Revue de la meilleure actrice pour le film La Vérité.
  • 1961 : prix David di Donatello (meilleure actrice étrangère) pour le film La Vérité.
  • 1966 : prix Étoile de Cristal (meilleure actrice) par l'Académie du cinéma français pour le film Viva Maria !
  • 1967 : prix Bambi de la Popularité en Allemagne.
  • 1967-1969 : prix Triomphe de la Popularité du Cinéma français.

Elle est 66e au classement des « 100 plus grands Français de tous les temps », établi en mars 2005 pour France 2.

Elle est 35e au classement du « top 50 des Français qui comptent » établi en décembre 2017 par Le Parisien/Aujourd'hui en France.

Pour son combat contre les mauvais traitements envers les animaux, elle a reçu différents prix et honneurs :

  • 1980 : étoile de la paix (grade de chevalier).
  • 1980 : médaille de la ville de Trieste (Italie).
  • 1985 : médaille de la ville de Lille.
  • 1989 : prix de la paix au mérite humanitaire.
  • 1992 : Global 500 (prix du programme des Nations unies pour l'environnement).
  • 1994 : grande médaille de la ville de Paris.
  • 1994 : Love of animals award (Espagne).
  • 1995 : grande médaille de la ville de Saint-Tropez.
  • 1996 : médaille de la ville de La Baule.
  • 1996 : prix Paul Léautaud pour son livre Initiales B.B..
  • 1997 : prix Chianciano (Italie) pour son livre Initiales B.B..
  • 1997 : prix de l'écologie / Club Unesco du Dodécanèse (Grèce).
  • 1997 : médaille de la ville d'Athènes.
  • 2001 : Peta humanitarian Award (États-Unis).
  • 2002 : prix My Way (Autriche).
  • 2003 : prix des intellectuels indépendants pour son livre Un Cri dans le silence.
  • 2007 : Free Thinker (Ukraine). Prix spécial du jury de l'International Rights Film Festival pour sa contribution aux droits des animaux et la protection de la nature
  • 2008 : prix Fondation Altarriba (Espagne)

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    Document créé le 01/05/2020, dernière modification le 14/04/2025
    Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/personne/bardot-brigitte.html

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