Saint-Martin-Boulogne
Localisation

Saint-Martin-Boulogne : descriptif
- Saint-Martin-Boulogne
Saint-Martin-Boulogne, parfois appelée Saint-Martin-lès-Boulogne ou simplement Saint-Martin, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France
Ses habitants sont appelés les Saint-Martinois
Limitrophe de l'est de Boulogne-sur-Mer, il s'agit de la 3e commune par sa population de l'agglomération boulonnaise après Boulogne-sur-Mer et Outreau
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Boulonnais.
Géographie
Localisation
Localisée dans l'ouest du département du Pas-de-Calais, Saint-Martin-Boulogne est une commune du Boulonnais proche de la Manche (3 km) et limitrophe de la ville de Boulogne-sur-Mer (aire d'attraction et chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes. Les communes limitrophes sont Wimille, Baincthun, Boulogne-sur-Mer, Echinghen, Outreau, Pernes-lès-Boulogne, Saint-Léonard et La Capelle-lès-Boulogne.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 13,15 km2 ; son altitude varie de 3 à 188 m.
C'est la commune la plus haute de l'agglomération boulonnaise avec le mont Lambert (188 m d'altitude).
Hydrographie
La commune, située dans le bassin Artois-Picardie, est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par dix cours d'eau :
- le fleuve côtier la Liane, d'une longueur de 38,24 km, qui prend sa source dans la commune de Quesques et se jette dans la Manche au niveau de la commune de Boulogne-sur-Mer ;
- le ruisseau de la Corette, d'une longueur de 8,86 km, qui prend sa source dans la commune de La Capelle-lès-Boulogne et se jette dans le fleuve la Liane au niveau de la commune de Saint-Étienne-au-Mont ;
- le ruisseau du Denacre, d'une longueur de 5,55 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Wimereux au niveau de la commune de Wimille ;
- le ruisseau de pont pitendal, d'une longueur de 2,82 km qui prend sa source dans la commune de et se jette dans la Liane au niveau de la commune de Saint-Léonard ;
- le ruisseau des Prés Pourris, d'une longueur de 1,97 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau de la Corette au niveau de la commune de Baincthun ;
- le ruisseau du Blanc Pignon, d'une longueur de 1,47 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau du Denacre au niveau de la commune de Wimille ;
- la Waroquerie, d'une longueur de 1,45 km qui prend sa source dans la commune et y termine sa course ;
- les Baillons, d'une longueur de 1,25 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau de la Corette au niveau de la commune d'Echinghen
- le ruisseau de la Hayette, d'une longueur de 1,11 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau du Denacre au niveau de la commune de Wimille ;
- la Ferme du Moulin l'Abbé, d'une longueur de 0,92 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans la ruisseau des Prés Pourris au niveau de la commune.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 1 km à vol d'oiseau, est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
| Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Température minimale moyenne (°C) | 3,4 | 3,4 | 5 | 7 | 9,8 | 12,5 | 14,7 | 15,3 | 13,2 | 10,3 | 6,8 | 4,1 | 8,8 |
| Température moyenne (°C) | 5,3 | 5,4 | 7,4 | 9,8 | 12,7 | 15,3 | 17,4 | 18 | 15,8 | 12,6 | 8,8 | 6 | 11,2 |
| Température maximale moyenne (°C) | 7,1 | 7,3 | 9,7 | 12,7 | 15,6 | 18,1 | 20,1 | 20,7 | 18,5 | 14,9 | 10,8 | 7,9 | 13,6 |
| Record de froid (°C) date du record |
−13,4 12.01.1987 |
−13,6 01.02.1956 |
−7,8 07.03.1971 |
−2 14.04.1966 |
1,6 07.05.1997 |
4 02.06.1962 |
8 04.07.1965 |
9 31.08.1956 |
5,8 22.09.1979 |
−1 29.10.1947 |
−5,6 30.11.1978 |
−9,6 29.12.1996 |
−13,6 1956 |
| Record de chaleur (°C) date du record |
16,4 01.01.22 |
18,9 26.02.19 |
22,7 30.03.17 |
26 16.04.1949 |
31,2 27.05.05 |
33,3 29.06.19 |
39,6 19.07.22 |
34,8 11.08.03 |
32,6 10.09.23 |
27,2 01.10.1985 |
19,1 01.11.15 |
17,2 10.12.1978 |
39,6 2022 |
| Précipitations (mm) | 77 | 56 | 48 | 48,1 | 54,6 | 48 | 54,3 | 63,2 | 69,6 | 95,8 | 106,8 | 103,1 | 824,5 |
Paysages
La commune est située à la jonction de deux paysages tel qu'ils sont définis dans l'atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) :
- le « paysage boulonnais » qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l'Est, par le paysage du Haut pays d'Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
- Ce paysage, constitué d'une boutonnière bordée d'une cuesta définissant un pays d'enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l'est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d'Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
- La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d'Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d'escarpements calcaires.
- Dans ce paysage, on distingue trois entités : les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ; le bocage humide dans le Bas Boulonnais et la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé.
- les « paysages des falaises d'Opale », qui concernent 30 communes, s'étendent le long de la côte, d'Équihen-Plage à Sangatte, sur une bande d'environ 50 kilomètres de long et d'un maximum de 5 kilomètres de large, l'autoroute A 16 étant la frontière à l'est. Ils sont constitués, d'une part, par les falaises d'Opale où se trouve le grand site des Deux Caps qui, avec le cap Blanc-Nez, culmine à 150 mètres, ces falaises offrent un belvédère sur le pas de Calais avec la possibilité de voir les côtes d'Angleterre, et d'autre part, vers l'intérieur des terres, avec les paysages littoraux qui jouxtent ceux des coteaux calaisiens et du pays de Licques, d'un paysage alternant collines, vallons et bocages.
- Les crans constituent une des particularités de ces côtes à falaises. Les crans sont des vallées suspendues qui se sont retrouvées le « nez en l'air », soit du fait de l'affaissement du pas de Calais, soit par la baisse du niveau de la mer comme le cran d'Escalles, le cran Mademoiselle, le cran Poulet, le cran Barbier, le cran des Sillers, le cran de Quette et le cran aux Œufs, situés, eux, sur la commune d'Audinghen.
- Ces paysages sont traversés par trois fleuves côtiers, la Liane (Boulogne-sur-Mer), le Wimereux (Wimereux) et la Slack (Ambleteuse), et par le sentier de grande randonnée GR 120 ou GR littoral, appelé aussi sentier des douaniers, qui chemine le long de ces paysages et offre un magnifique panorama.
Milieux naturels et biodiversité
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1 : la vallée de Saint-Martin-Boulogne. Cette ZNIEFF, d'une superficie de 1 698 hectares et d'une altitude variant de 15 à 188 mètres, présente un paysage bocager typique du Boulonnais.
Et une ZNIEFF de type 2 : le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s'étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l'ouest et Quesques et Lottinghen à l'est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais.
Espèces faunistiques et floristiques
L'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d'autres menacées et quasi-menacées.
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint Martin de Bouloigne en 1203 ; Ecclesia sancti Martini en 1208 ; Sanctus Martinus en 1209 ; Le moustier Saint Martin en 1285 ; Sanctus Martinus Boloniensis supra mare en 1293 ; Saint-Martin en Boulogne en 1323 ; Sanctus Martinus juxta Boloniam en 1675 ; Saint Martin les Boulogne au XVIIIe siècle ; Montagne-lez-Boulogne et La Montagne en 1793 ; Saint Martin en 1793 ; Martin-lès-Boulogne puis Saint-Martin-Boulogne depuis 1801.
Durant la Révolution, la commune porte les noms de La Montagne, Montagne-lès-Boulogne et Section de-la-Montagne.
Saint-Martin est un hagiotoponyme de Martin de Tours et Boulogne fait référence à la commune voisine de Boulogne-sur-Mer.
Le nom Bédouâtre, que l'on trouve dans la ferme de Bedouâtre, monument historique, est attesté sous les formes Briedewater en 1286, Bedeware en 1393, Bedouuatre en 1480, et provient de l'adjectif germanique breit « large » + water « eau, cours d'eau ».
Histoire
Antiquité
La voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan passait par la montagne d'Ostrohove, quartier de la commune.
Moyen Âge
L'histoire de la commune de Saint-Martin-Boulogne est étroitement liée à celle de Boulogne-sur-Mer. Elle doit son nom à la paroisse et à l'église qui la desservait, dédiée à saint Martin, qui semble avoir connu une dévotion particulière dans le milieu des marins-pêcheurs. Cette première église était située extra-muros, par rapport à la ville fortifiée de Boulogne, au pied des remparts, approximativement là où l'on a construit le fer à cheval du château. Elle semble avoir été détruite lors de la prise de Boulogne par les Anglais en 1544. Elle fut réédifiée dans le hameau de Dringhen vers 1550.
À l'époque médiévale et moderne, Saint-Martin-Boulogne voit la construction de grandes fermes fortifiées et autres manoirs, possessions des grands seigneurs et de l'abbaye Notre-Dame. Le manoir de Moulin l'Abbé, le plus ancien de tous ceux du Boulonnais, date du XIVe siècle. Il présente des détails de sculpture dignes d'intérêt. Le moulin à vent, tout proche date lui du XVe siècle, il fut longtemps le mieux conservé du Boulonnais. Des possessions seigneuriales du Bédouâtre mentionnées très tôt, il ne reste que peu de choses.
Temps modernes
Le petit château du début du XVIIe siècle a été démoli en 1902. Il ne demeure que la ferme, qui formait une première enceinte. Au milieu du corps de logis s'élève une tour rectangulaire en grès, datant de 1656. Au XVIIe siècle, Abot de Bazinghen doit agrandir sa propriété de la Caucherie. De nouvelles dépendances sont construites et un jardin au dessin à la Le Nôtre est installé, faisant du château de la Caucherie une des demeures les plus remarquables.
Révolution française et Empire
D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Saint-Martin-Boulogne faisait partie de la sénéchaussée de Boulogne en 1789, ancien ressort judiciaire du bailliage de même nom, et suivait la coutume de Boulonnais. Son église paroissiale, d'abord diocèse de Thérouanne, puis de Boulogne, doyenné de Boulogne, était consacrée à saint Martin ; l'évêque de Boulogne conférait la cure. »
Au moment de la Révolution française, Saint-Martin qui dépendait jusqu'alors entièrement du bailliage de Boulogne, ne compte guère plus de 170 feux. Lorsque est organisé le District de Boulogne, Saint-Martin devient chef-lieu de canton, comprenant les communes de Baincthun et Questinghen, Beuvrequen, Conteville, Echinghen, Maninghen, Offrethun, Pernes, Pittefaux, Wacquinghen et Wimille, avec une population estimée en 1800 de 4 521 habitants et 1 193 pour le chef-lieu.
Sous la Terreur, Saint-Martin prit le nom de Montagne-lès-Boulogne, La Montagne et Section de-la-Montagne.
Époque contemporaine
Avec le développement extraordinaire de Boulogne au cours du XIXe siècle, les communes environnantes connaissent une forte poussée démographique. La construction d'une nouvelle église permettant de recevoir tous les fidèles devient nécessaire. Une souscription est lancée avec le concours de De Bazinghen, Édouard Latteux, De Préville et Barbaux. La commune et la fabrique donnent leurs subventions et le monastère de la Visitation donne le terrain. La première pierre est posée le et l'édifice est solennellement béni par M. Parisis le .
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, Saint-Martin devient un vaste espace de loisirs pour la bourgeoisie boulonnaise : champs de course de l'Inquétrie, course automobile (circuit de Boulogne), de vastes résidences secondaires sont édifiées.
La Première Guerre mondiale vient profondément marquer la commune : Saint-Martin voit s'implanter les camps des troupes canadiennes, anglaises et indiennes. L'emplacement de l'hôpital militaire provisoire, où sont incinérés et enterrés les 339 soldats hindous et égyptiens nécessite la création du cimetière militaire de Meerut, inauguré le par le roi George V et sir Douglas Haig. De plus, Saint-Martin subit les bombardements aériens allemands. Le hameau d'Ostrohove est particulièrement touché puisque l'explosion d'un obus y fait cinq victimes, rappelées par une plaque commémorative. Au total, plus de 200 enfants de Saint-Martin-Boulogne meurent sur les fronts de la Grande Guerre. Grâce à une souscription, le monument aux morts est édifié, puis inauguré le , par le maire Léon Théry, le sous-préfet Laban, MM. Farjon, Abrami et Canu.
L'entre-deux-guerres est à nouveau une période propice pour la commune. De nombreuses artères voient le jour. Pour répondre aux besoins d'une population toujours croissante, la construction d'un nouvel hôtel de ville est décidée. La villa Duhotoy est rachetée et après modifications, elle est inaugurée en mairie en 1932.
La Seconde Guerre mondiale vient à nouveau frapper durement la commune, plus de 400 bombardements, plus de 80 % des habitations sont touchées. 38 militaires et 80 civils auront donné leur vie. Encore une fois, Saint-Martin s'est révélée être un lieu stratégique. De terribles combats s'y déroulent, car la commune est un passage obligé pour la prise par les Allemands, en 1944, de la citadelle de Boulogne-sur-Mer. De plus, l'état-major allemand ayant installé une redoutable Division contre avion, sur le site du Mont Lambert, l'enjeu de Saint-Martin est important.
La commune est décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à 28 autres communes du Pas-de-Calais.
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Culture
La commune est également dotée d'un espace culturel, le centre Georges-Brassens (salle de spectacle de 350 places), et d'une bibliothèque, créée en 1987.
Héraldique
| Blason | De sinople au chevron d'argent accompagné de trois rustres de même.
|
|
|---|---|---|
| Détails | Armes de la famille du Wicquet, originaire du Hainaut, était seigneur du lieu. Adopté le . |
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Saint-Martin-Boulogne dans la littérature
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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/11/2025 c20251118-072933
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