Linselles

Localisation

Carte du monde

Linselles : descriptif

Informations de Wikipedia (v2.1 – 19/07/2025 01:41:48)
Linselles

Linselles est une commune française du département du Nord et de la région Hauts-de-France

Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille

Ses habitants sont appelés les Linsellois(ses).

Géographie

Au nord de Lille (12 km) et à l'ouest de Tourcoing (6 km), elle se trouve dans le canton, Tourcoing-Nord et est membre de Lille métropole communauté urbaine.

La Chatellenie de Lille, citée en 1039, était divisée en 6 quartiers et Linselles se situait en celui du Ferrain.

Linselles, avec un peu plus de 8 000 habitants, appartient à un bassin de population de près de 90 000 habitants du versant nord de la métropole lilloise. Elle voisine la Belgique.

Linselles s'est formée sur une pointe de terre « Le Caillou » et est arrosée par la Deûle et la Lys. On distingue deux parties : * la partie centrale en étoile ; * la partie près de la Place, avec ses maisons datant du XVIIIe siècle.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Linselles
Comines Wervicq-Sud
Bousbecque
Linselles Roncq
Quesnoy-sur-Deûle Wambrechies
Bondues

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le ruisseau Riez, la Becque, la Becque de prés bévin, le Fort Debout et divers autres petits cours d'eau.

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang Pattyn (0,2 ha).

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille.

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C).

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 680 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 16 km à vol d'oiseau, est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Carte », mais aucune balise <references group="Carte"/> correspondante n'a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n'a été trouvée

Toponymie

Leinseele en flamand.

Lentsales (890), Lincelis (1156).

Histoire

Avant la Révolution française

Lentsales pourrait être le premier nom de la ville cité en 867 dans un diplôme du Roi de France Charles II le Chauve, petit-fils de Charlemagne. La forme latine « Lencelam » apparaît en 1114. Le comte de Flandre Baudouin VII confirme la perception de la dîme sur des terres à Linselles au profit de l'abbaye de Zonnebeke en Belgique.

Josse d'Halluin, époux de Jeanne de Wazier, fille du premier seigneur connu, accorde en 1363 aux gens de Linselles, le droit de fabriquer des draps de laine et d'y apposer leur sceau. Ce privilège drapier prouve l'existence d'une fabrication textile prospère. Les draps de Linselles et de la vallée de Lys étaient exportés en Allemagne du Nord dans les villes de la Hanse.

Au XVIe siècle, la réforme protestante étant combattue par les Espagnols, l'église est saccagée par les gueux et ses archives perdues. Philippe de Mérode, gouverneur de Tournai, obtient du Roi d'Espagne, en 1622, le droit de faire figurer ses armes sur le sceau de Linselles où elles resteront jusqu'en 1791.

Louis XIV chasse les Espagnols de Lille. Après avoir été flamande, bourguignonne, espagnole, Linselles rejoint, en 1668, le royaume de France mais conserve ses privilèges de Terre Franche. La seigneurie est transmise à la famille le Vilain de Gand.

Seigneurie des Wattines

À côté de la seigneurie de Linselles, existait sur la paroisse avant la Révolution française, la seigneurie des Wattines. Au XVIIe siècle, elle est détenue par la famille Ingiliard.

Édouard Ier Ingiliard (1620-après 1703), seigneur des Wattines, des Pretz, est le fils de Julien Ingiliard, marchand et bourgeois de Lille et de Françoise Mans ou Maus. Baptisé à Lille le , il est également seigneur du Plouy. Bourgeois de Lille le , il devient échevin de Lille de 1672 à 1692, est créé trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille en janvier 1693 et le reste jusqu'en 1703. Anobli par lettres données à Versailles en juillet 1697 en même temps que cinq cents personnes et contre financement, il reçoit confirmation de sa noblesse le , moyennant le versement de 3000 livres. Il meurt après 1703. Il épouse à Lille La Madeleine le Marie-Catherine (ou Christine) Fruict (1642-1714), fille de Romain et de Catherine Potteau. Elle est baptisée à Lille le et meurt le .

Édouard II Ingiliard, fils d'Édouard Ier, est écuyer, seigneur des Wattines, de la Mairie, du Plouich à Pérenchies, de Fromelles, de Maisnil. Il devient bourgeois de Lille le . Il est créé chevalier le . Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille après contrat le Marie-Catherine-Thérèse de Fourmestraux (1680-1723), fille de Paul, écuyer, seigneur de Canteleu, et de Jeanne-Claire de Blondel. Elle est baptisée à Lille le et y meurt le .

Eugène-Marie Ingiliard (1701-1778), fils d'Édouard II Ingiliard, est baptisé à Lille le ). Il est chevalier, seigneur des Wattines, capitaine au régiment de Bretagne, puis lieutenant-colonel du régiment de Bourgogne cavalerie, chevalier de Saint-Louis, grand bailli et député ordinaire des États de Flandre wallonne, bourgeois de Lille le . Il meurt à Lille le . Eugène-Marie épouse à Lille le Marie-Anne Desbuissons (1696-1758), dame de Canteleu, fille d'Eugène-Marie, écuyer, seigneur de la Bretagne, bourgeois de Lille, échevin, rewart (responsable de la police), mayeur de Lille et de Marie-Anne de Fourmestraux (Marie-Anne est la sœur de l'épouse d'Édouard II; Eugène-Marie épouse sa cousine). Leur fils Eugène-Marie-Édouard, seigneur de la Bretagne, grand bailli des États de Lille épouse en 1761 Catherine-Albertine-Joseph Ingiliard, sa cousine, fille d'Édouard-Paul Ingiliard, seigneur de Fromelles. Leur fille Marie-Anne-Françoise Ingiliard épouse de Jean-Baptiste-François-Nicolas Deforest, seigneur de Quartdeville est la mère d' Eugène-Alexandre-Nicolas Deforest de Quartdeville.

Seigneurie des Escalus

La seigneurie des Escalus est une autre seigneurie située sur Linselles.

Jean-Baptiste Aronio (1651-1723), fils de Jean-Augustin Aronio, natif de Gênes, bourgeois de Lille, et de Marie-Madeleine Tesson est seigneur des Escalus à Linselles. Il est baptisé à Lille le et y meurt le , à 72 ans. Il est bourgeois de Lille le , devient trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille le , ce qui lui donne à titre personnel (non héréditaire, non transmissible) le titre de chevalier. Il garde cette fonction jusqu'au et obtient la noblesse à titre héréditaire, du fait de l'exercice de sa charge pendant plus de vingt ans. Il épouse le Élisabeth-Balduine de Surmont, fille de Philippe et de Marie-Balduine Vanalkemade. Son épouse meurt le .

Wallerand-Augustin Aronio (1685-1754), fils de Jean-Baptiste, est seigneur des Escalus après son père. Il est baptisé à Lille le et meurt célibataire à Lille le , à 68 ans.

Seigneurie du Cappe

Charles Muyssart (1625-1686) est seigneur du Pret et du Cappe sur Linselles. Fils de Maximilien, seigneur d'Esteveles, de Try, licencié es lois, bourgeois de Lille, conseiller assesseur en la Gouvernance de Lille, et de Anne Miroul, il nait en 1625. Il devient bourgeois de Lille le , conseiller pensionnaire des États de la Flandre wallonne, nommé le conseiller au Conseil souverain de Flandre, mort doyen des conseillers le à Tournai, est enterré dans l' Église Saint-Brice de Tournai. Il épouse à Lille le Marie-Agnès le Fort (1630-1701), fille d'Antoine et de Marguerite du Bois. Baptisée à Lille le , elle meurt le , est inhumée dans la chapelle du nom de Jésus dans l'église Saint-Étienne de Lille.

François Muyssart Ier (1662-1737), fils de Charles est seigneur de Cappe après son père. Baptisé à Lille le , il devient cornette au régiment de Lumbres cavalerie, puis capitaine de dragons au service de la république de Venise, bourgeois de Lille le , mayeur et rewart (régent chargé de la police) de Lille. Il meurt à Lille le . Il prend pour femme à Lille le Barbe-Constance Verdière (1657-1710), fille de Charles et d'Anne Parent. Baptisée à Lille le , l'épouse meurt à Lille le .

Marie-Agnès-Joseph Muyssart (1693-1766), fille de François Ier, est dame (les hommes sont seigneur de, les femmes sont dame de) du Cappe. Baptisée à Lille le , elle meurt le , est inhumée dans la collégiale Saint-Pierre de Lille. Elle épouse dans cette église le , Louis-Joseph Cardon de Garsignies (1680-1760), fils de Jean-Baptiste, seigneur du Fermont et de Marie-Brigitte Scherer. Son père s'oppose au mariage. Marie-Agnès persiste, passe de couvent en couvent jusqu'à ce que le magistrat de Lille autorise l'union. Baptisé à Lille le , l'époux devient bourgeois de Lille le , receveur des Vieillettes (hôpital Sainte-Catherine de Sienne) de 1714 à 1740, conseiller secrétaire du roi, gouverneur de La Gorgue. Il meurt le , à 80 ans, est inhumé dans la collégiale Saint-Pierre de Lille.

Henri-Charles-François Muyssart (1694-1777), écuyer, seigneur des Obeaux, du Chevresis (La Ferté-Chevresis), du Cappe, est fils de François Ier, et frère de Marie-Agnès-Joseph. Baptisé à Lille le , il devient officier aux mousquetaires du roi, bourgeois de Lille le , grand baillii des États de Lille, Douai, Orchies (Flandre Wallonne) le . Il meurt à Lille le à 82 ans. Il prend pour femme à Lille le Marie-Élisabeth Boutillier (1688-1757), fille de Marc-Antoine, écuyer, seigneur de Ghelles, marchand, bourgeois de Lille, nommé contrôleur ordinaire des guerres le , anobli par l'achat d'une charge de conseiller secrétaire du roi, et de Marie-Thérèse Libert. Baptisée à Lille le , l'épouse meurt le . Les deux époux sont enterrés dans le chœur de l'église Saint-Vincent de Marcq-en-Barœul

Seigneurie de la Marlière

Adrien de Waignon, écuyer, fils de Philippe, homme d'armes de la compagnie d'ordonnance de Floris d'Egmont, est seigneur de la Marlière sur Linselles. Il est capitaine au service de Charles Quint. Il meurt en 1561. Il prend pour femme Catherine de Villers, morte après lui.

Antoine de Waignon, écuyer, fils d'Adrien, est seigneur de la Marlière. Capitaine au service d'Espagne, il obtient le des lettres des archiducs Albert et Isabelle confirmant sa noblesse. Ces lettres rappellent ses états de service en tant que capitaine. Il meurt après 1626. Il épouse Antoinette de la Chapelle, fille de Guillaume, seigneur d'Estampuis, et de Péronne l'Hermite.

Guillaume Ier de Waignon (1594-avant 1643), écuyer, fils d'Antoine, est seigneur de Burge, la Marlière. Baptisé à Linselles le , il devient bourgeois de Lille le et meurt avant 1643. Il épouse Catherine le Prevost de Basserode, morte à Lille le , fille de Sébastien, écuyer, et de Catherine de la Grange.

François de Waignon, écuyer, fils de Guillaume Ier, est seigneur de la Marlière. Il meurt célibataire à Lille le , est enterré à Linselles.

François-Guillaume de Waignon (1677-1760), neveu de François, fils de Guillaume II, seigneur d'Holleville, la Barbanderie, et de Marie-Jeanne de Hennin, écuyer, devient seigneur de la Marlière. Baptisé à Lille le , il achète la bourgeoisie de Lille le . Il accède à la fonction d'échevin de Lille, puis de mayeur, administrateur de la Noble-Famille (maison d'éducation de jeunes filles nobles de parents déchus), il meurt à Linselles le , à 72 ans, est enterré dans l'église Saint-André de Lille. Il épouse à Lille le Marie-Thérèse Hespel (1676-1715) (famille d'Hespel), fille d'Anselme, écuyer, seigneur de Flencques (sur Houplines) et de Marie verdière. La mariée, baptisée à Lille le , meurt à Lille le , à l'âge de 39 ans.

Autres fiefs

D'autres fiefs situés sur Linselles étaient des seigneuries. Ainsi la seigneurie d'Hautevalle, (sur Lincelles, une ferme classée monument historique et une route rappellent son existaence), détenue vers la moitié du XVIIIe siècle par Pierre-Martin Desbuissons, écuyer, qui a épousé Marguerite-Hyacinte Poulle.

Est encore retrouvé le fief d'Hurtembus, parfois associé à celui de Le Becque. Au début du XVIIIe siècle, Pierre-Antoine Wacrenier est seigneur d'Hurtembus et d'Escornette. Il a pour épouse Marie-Madeleine Fruict.

Marc-Antoine Boutillier (1735-1828), écuyer , est seigneur d'Hurtembus dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Fils de François Boutillier, écuyer, seigneur de Ghelles, capitaine au régiment de La Fère infanterie, bourgeois de Lille, et de Marie-Jeanne-Françoise Wacrenier (fille de Pierre-Antoine ci-dessus), il est baptisé à Lille le , convoqué aux assemblées de nobles par ordonnance du , receveur des enfants à la charge de la ville (sans doute de la ville de Lille), il meurt célibataire à Mouvaux le , à l'âge de 93 ans.

Révolution française

Linselles donne à la Révolution française, un député, Pierre-François Lepoutre, fermier des Wattines.

Le , dans le cadre de la bataille d'Hondschoote, des combats opposèrent à Linselles les Français aux Alliés coalisés : attaque de la ville tenue par les Français par les Hollandais, reprise par les Français qui furent à leur tour assaillis et vaincus par les Anglais.

XIXe siècle

Après 25 ans de guerres civiles et militaires, Linselles est un bourg rural de 3 000 habitants. La culture du tabac, le commerce et l'artisanat textile assurent sa prospérité. Les cultivateurs et les marchands fortunés dirigent, font payer les routes et construisent écoles, hospice et orphelinat aidés par les riches propriétaires terriens.

Au milieu du XIXe siècle, la révolution industrielle transforme le bourg rural en petite ville du textile. Les industriels viennent de Lille, Roubaix, Tourcoing. La population atteint 4 800 habitants dont 20 % de Belges.

XXe siècle

Le XXe siècle est aussi agité que les précédents. La Troisième République se heurte aux royalistes et aux catholiques conservateurs. L'enseignement public est laïcisé. En 1907, la dernière diligence lilloise fait toujours le trajet Lille-Bondues-Linselles. Les querelles politiques s'estompent pendant la Première Guerre mondiale. La région est occupée, la population civile est séparée de ses soldats par la ligne de front proche et elle doit évacuer. La ville perd sa mairie et son église. Les pertes matérielles et humaines sont considérables et la reconstruction est à peine achevée quand survient la crise économique de 1929.

Le syndrome de la Première Guerre mondiale occupe encore les esprits : le , le maréchal Pétain préside à la préfecture du Nord une conférence sur la protection contre d'éventuelles attaques aériennes. Il vient à Linselles assister à des expériences de brouillard artificiel.

Linselles compte alors 5 000 habitants. Une usine disparaît et le chômage s'étend. Les esprits sont désemparés par la défaite de juin 1940, la guerre étant moins meurtrière et dévastatrice pour Linselles que les précédentes mais l'horreur des camps, les années de captivité ou d'occupation, la rende aussi détestable. La libération en 1944 a failli engendrer une guerre civile.

Les guerres ont marqué les esprits et vingt noms de rues l'attestent. En 1962, 58 % des actifs travaillaient dans le textile dont les trois quarts à Linselles. Puis ce tissu économique, existant depuis un siècle, a progressivement disparu (fermeture d'une deuxième filature et d'un tissage).

Linselles a refusé de considérer le déclin industriel comme une fatalité. La première usine Boutemy a été reconvertie en salle des fêtes et en centre sportif. La friche Masurel, en centre-ville, a été réhabilitée en logements. Linselles s'est donnée les moyens d'attirer des urbains, recherchant un cadre de vie agréable et des créateurs d'activités économiques. Sa situation géographique privilégiée, au plan européen (12 km de Lille et 6 de Tourcoing), a permis un important développement des zones d'activités industrielles du Blaton et de la Vignette.

La ville s'est agrandie, embellie et équipée : salles omnisport, plateau multisports, mini stade, salle polyvalente, maison de retraite, Maison Enfance Famille, écoles, collèges, centre jeunesse culture… De l'importante agriculture de l'Ancien Régime, il reste les moulins, la tour pigeonnier de Hautevalle et de belles portes de la rue des Chaudronniers. Sur la place, face à l'église, la municipalité a recréé la fontaine de 1840.

Héraldique

Les armes de Linselles se blasonnent ainsi : « D'argent à une face de sable. »

Ces informations proviennent du site Wikipedia (v2.1 – 19/07/2025 01:41:48). Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Linselles dans la littérature

Découvrez les informations sur Linselles dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

3788 autres localités pour la Hauts-de-France — région

Vous pouvez consulter la liste des 3788 autres localités pour la Hauts-de-France — région sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-hdf/villes.html.

Version en cache

Cette version de la page est en cache (à la date du 18/11/2025 20:29:12 - Mozilla/5.0 AppleWebKit/537.36 (KHTML, like Gecko; compatible; ClaudeBot/1.0; +claudebot@anthropic.com)) afin d'accélérer le traitement.
Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la version plus récente de la page.

Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/11/2025 c20251118-202912
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-hdf/36424.html

L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.