Bain-de-Bretagne

Localisation

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Bain-de-Bretagne : descriptif

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Bain-de-Bretagne

Bain-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Géographie

Communes limitrophes de Bain-de-Bretagne
Pléchâtel Pancé La Bosse-de-Bretagne
Messac Bain-de-Bretagne Ercé-en-Lamée
La Noë-Blanche La Dominelais Saint-Sulpice-des-Landes


Description

Cadre géologique

La région de Bain-de-Bretagne est localisée dans le domaine centre armoricain, dans la partie médiane du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum 400 m), caractérisé par des surfaces d'aplanissement et qui résulte d'une histoire complexe composée de trois orogenèses : icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma) et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma). La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage de ces deux derniers orogènes.

Bain-de-Bretagne est située dans un vaste bassin sédimentaire constitué de sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion de la chaîne cadomienne et accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur, socle sur lequel repose en discordance des formations paléozoïques sédimentaires. Le territoire est au centre d'une grande unité sédimentaire qui a été déformée par des plissements au Paléozoïque, le synclinorium de Martigné-Ferchaud (« synclinaux du sud de Rennes »). Dans cette unité synclinoriale du sud rennais proprement dite, à structure appalachienne (des buttes parallèles d'orientation ouest - nord-ouest/est - sud-est, correspondant aux alternances de schiste et de grès, traversées perpendiculairement par le réseau hydrographique, les cluses de la Vilaine), la sédimentation paléozoïque débute par la mise en place de matériel détritique de couleur rouge, la formation ordovicienne de Pont-Réan, caractérisée notamment par le faciès de type Pomméniac (à 5 km au sud de Bain-de-Bretagne). Il s'agit d'un terme rythmique de passage progressif au Grès armoricain présent partout où ce grès ne repose pas directement sur le Briovérien. Sur le tracé de la RN 137, « au niveau de Pomméniac choisie comme localité-type, il affleure à faible pendage Sud, sur près de 250 mètres, les niveaux inférieurs disparaissant sous les colluvions. Ce sont des alternances centimétriques à métriques, versicolores, à dominante gréso-quartzique, admettant de nombreux interlits décimétriques à métriques de siltites plus ou moins argileuses ou séricitoschisteuses, et quelques niveaux grossiers parfois même microconglomératiques ».

Géomorphologie : une ville associée à un étang

Certaines formations paléozoïques sont marquées par le contrecoup de la tectonique alpine, d'où la présence de petits fossés d'effondrement miocène et pliocène. C'est une telle structure qui est à l'origine du lac de Bain-de-Bretagne.

Géographie humaine : un pivot de l'axe de circulation entre Rennes et Nantes

Bain-de-Bretagne est située sur la route entre Rennes et Nantes. Aujourd'hui, c'est une route à 4 voies (voie express), mais dans le passé, c'était un chemin marqué par des foires nombreuses, dont Bain était l'une d'entre elles. Au XVIIIe siècle, il y en avait près de 80 entre Rennes et Nantes (correspondant à des haltes possibles). Avec la création de modes de transport de plus en plus rapides, ces foires sont devenues de moins en moins nombreuses jusqu'à disparaître.

Voies de communication et transports

La ligne 5 du réseau Breizh Go permet de joindre la ville à Rennes.

Il y a deux aires de covoiturages dont l'une à côté de Gamm Vert.

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Loire-Bretagne. Elle est drainée par le Semnon, le Pont aux Roux, la Lande de Bagaron, la Planche Cleuze, le ruisseau du Gué du Dane, l'Étang, la Huais et le ruisseau des Grandes Landes.

Le Semnon, d'une longueur de 73 km, prend sa source dans la commune de Saint-Erblon et se jette dans la Vilaine à Saint-Senoux, après avoir traversé 20 communes. Les caractéristiques hydrologiques du Semnon sont données par la station hydrologique située dans la commune. Le débit moyen mensuel est de 2,84 m3/s. Le débit moyen journalier maximum est de 94 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 119 m3/s, atteint le .

Le Pont aux Roux, d'une longueur de 21 km, prend sa source dans la commune et se jette dans les Riais à Guipry-Messac, après avoir traversé trois communes.

Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : l'étang de Bain (34,52 ha), l'étang de la Huais, d'une superficie totale de 0,6 ha (0,31 ha sur la commune) et l'étang de la Robinais, d'une superficie totale de 2,5 ha (1,76 ha sur la commune).

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Noë-Blanche à 6 km à vol d'oiseau, est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la fore Bain villula en 850, Baiocum en 1040, Baionum en 1050, Baym en 1231, Beign au XIVe siècle, ecclesia de Baino en 1516.

Bain a pour origine le nom d'un Romain (Baenus ou Balnus), propriétaire d'une villa, qui habitait au bord de l'étang avec ses paysans vers l'actuel « abri des pêcheurs », là où les Romains construisirent la digue.[réf. nécessaire]

En gallo, la commune se nomme Bouin prononcé [bwɛ̃ː].

Histoire

Moyen Âge

Le prieuré Notre-Dame-de-Bain

Le prieuré Notre-Dame-de-Bain est cité pour la première fois en 1152 ; il dépendait de l'Abbaye Saint-Melaine de Rennes et est cité à plusieurs reprises dans le cartulaire de cette abbaye. En 1287 les moines abandonnèrent à Geoffroy de Châteaubriant, dans le cadre d'un échange, tous leurs droits sur les habitants de Bain et de Messac et les terres qu'ils possédaient, se réservant toutefois les dîmes et les droits spirituels du prieuré ; cet accord fut approuvé par Guillaume de La Roche-Tanguy, alors évêque de Rennes, qui vint en personne à Bain en cette occasion. En 1726 la chapelle du prieuré, menaçant ruine, fut interdite de fréquentation et vendue un peu plus tard, de même qu'une grange qui servait à la perception des dîmes.

Les premiers seigneurs de Bain

Une motte féodale, située au Coudray, de 25 m de diamètre, haute de 7 m, avec à proximité une petite basse-cour demi-circulaire de 30 m de diamètre contenant des bâtiments en pierres en partie fouillés par P. Aumasson ; cette fouille a permis d'exhumer des poteries dont les plus anciennes remontent au XIIe siècle ; cette motte, à laquelle est associée un parcellaire de 370 m sur 230 m de diamètre, est le site du premier château de Bain : les premiers seigneurs connus sont Sénébrun de Bain au début du XIIe siècle, cité dans le cartulaire de Redon en 1127, puis (tous de la famille de Bain) Auffoy, Guillaume (qualifié de dominus de Bain), Mathieu, Jean moine (à la fin du XIIe siècle).

En 1200, la seigneurie de Bain appartenait à Pierre (qualifié de miles), auquel succède Bernard (Bernard de Bain combattit à Bouvines en 1214), lui aussi miles en 1230, et un autre Pierre de Bain en 1243 ; en 1315, elle était aux mains de Gérard Machecoul. La seigneurie de Bain est possédée par Jean Le Maignan, seigneur de Lecorce, seigneurie située dans la paroisse de Vieillevigne, en 1420.

La famille de La Marzelière

Le château de la Marzelière fut construit en 1340 par Guillaume de Marzelière. Son fils Jean de la Marzelière fonda en 1381 une chapellenie qui devait voir célébrer trois messes par semaine, dont deux devaient être célébrées au château de la Marzelière, la troisième au château du Fretay en Pancé. Pierre de la Marzelière obtient le du duc Jean V le droit de faire élever une justice patibulaire à trois poteaux et le du duc François Ier, dont il est le chambellan, le droit de fortifier son château du Fretay, et d'y faire monter la garde par ses vassaux. Il obtient du roi Charles VII le une gratification de 100 marcs de rente. En 1524 Renaud de la Marzelière est capitaine de l'arrière-ban de la noblesse de Bretagne. En 1556 le roi Henri II accorde à Pierre de Marzelière le privilège d'établir deux foires par an, l'une à la chapelle Saint-Lien (située près du château de la Marzelière) le mardi de la Pentecôte, l'autre près du château du Fretay en Pancé le 25 novembre (jour de la Sainte-Catherine) ; il lui confère la même année l'Ordre de chevalerie, distiction purement honorifique. En 1586 Renaud de la Marzelière est élu pour présider l'assemblée des États de Bretagne à Rennes. En 1618 François de la Marzelière achète au duc de Retz la châtellenie de Bain, à laquelle il fait annexer la vicomté du Fretay et obtient son érection en marquisat. Faute d'héritier mâle, la marquise Louise de Coëtquen hérita de la Marzelière, et son époux, Emmanuel-Félicité de Durfort, duc de Duras, en devint le seigneur. En 1778 la terre est propriété de Charles-Louis de Montluc, mais le château de la Marzelière, abandonné, est totalement ruiné.

Temps modernes

Des habitants de Bain se convertirent au protestantisme à la fin du XVIe siècle, la paroisse se situant à proximité de « l'arc huguenot » des confins nord de l'évêché de Nantes.

En 1668, outre La Marzelière, les autres maisons nobles de Bain sont la Robinais (alors propriété de Pierre Croc, chevalier et conseiller au Parlement de Bretagne ; après 1688 de M. de Coniac, ancien sénéchal de Rennes) et la Rouardais. D'autres maisons nobles étaient Poméniac et La Haye.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Bain en 1778 :

« Bain : gros bourg, sur une hauteur, avec châtellenie ; sur la route de Rennes à Nantes ; à 6 lieues trois-quarts de Rennes, son évêché et son ressort ; à 4 lieues un huitième de Derval, sa subdélégation. Cette paroisse est un doyenné qui se donne à l'alternative : on y compte 3 000 communiants.Ce territoire, dont les terres sont bonnes, produit du froment, du seigle, du bled noir et beaucoup de fruits dont on fait du cidre. On y voit plusieurs petits bois de peu détendue, une quantité prodigieuse de landes au Sud-Est et à l'Ouest du bourg, et plusieurs grands vallons, dans l'un desquels se trouve un étang considérable. »

Une chapelle Saint-Nicolas existait en haut du Champ de Foire, mais elle était déjà en ruine en 1780.

Révolution française

La Révolution française fait de la ville le chef-lieu du district de Bain de 1790 à 1795.

Bain fut attaqué en 1792 par des royalistes. Des habitants de Janzé, commandés par leur curé constitutionnel, vinrent les repousser. La région étant en majorité royaliste, un détachement républicain fut cantonné dans la ville et le calme revint ; mais en 1800 les royalistes reprirent par surprise un temps la ville.

L'organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l'accueil favorable de la population de Bain aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :

  • ainsi la fête du 26 messidor, qui commémore la prise de la Bastille à partir de 1794 ;
  • l'anniversaire de l'exécution de Louis XVI, accompagné d'un serment de haine à la royauté et à l'anarchie, est fêté (à partir de 1795).

La fin des mesures extrêmes de la Terreur est marquée à Bain par la réouverture au culte de l'église paroissiale, le 29 floréal an III (1796).

Le XIXLe XIXe siècle

Le Samedi saint « à Bain [de-Bretagne] on observait cette curieuse coutume : le sacristain plaçait au milieu de l'église un grand bassin de cuivre et le remplissait d'une eau destinée pendant toute l'année aux bénitiers.. Mais dès que le prêtre, après la messe, l'avait bénie, les paysannes se précipitant, se bousculaient, se battaient même parfois, pour arriver à remplir les premières les petites bouteilles qu'elles avaient apportées, avec l'eau de surface qui avait reçu les gouttes bénites. Elles étaient persuadées qu'elles seraient ainsi plus favorisées que les autres, et surtout que le lait de leurs vaches serait plus abondant ».

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Bain en 1843 :

« Bain (ecclesia de Baino) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui cure de 2ème classe ; bureau de poste, chef-lieu de perception (...), brigade de gendarmerie à pied. (...) Principaux villages : la Boulais, la Rivière, la Messandais, la Marrelière, la Landriais, la Jeusselinais, la Logeardais, la Prais, la Rigaudais, le Pin, la Cochardais, les Riais, le Bouffay, la Martinais, les Haut et Bas-Séverac, Villechien, Le Coudraie. Superficie totale : 5 744 hectares, dont (...) terres labourables 2 207 ha, prés et pâturages 653 ha, bois 307 ha, vergers et jardins 77 ha, landes et incultes 2 220 ha, étangs 38 ha (...). Moulins : 12 (moulins à eau de la Masserie, du Pont-Aug Roux, du Pont-Castel, de Poméniac ; à vent de la Robinais, de la Marzelière, de Poméniac, de Pont-au-Roux, de la Bodais, de Bertaud). (...) Bain compte 12 tanneries et mégisseries de quelque importance. On exporte une assez grande quantité de cuirs, et aussi quelques avoines, pour les ports de Redon et de Nantes. L'étang de Bain, qui a plus de 30 hectares de superficie, alimente un ruisseau auquel il a donné son nom, et sur lequel se trouvent plusieurs moulins à tan et à tripoli. La route royale n°137, dite de Bordeaux à Saint-Malo, traverse la commune du sud au nord, et, dans la ville de Bain elle-même, passe sous la halle. (...) Il y a foire à Bain le mardi après Pâques , le lendemain de la Pentecôte et le lundi après la Saint-Martin. Marchés tous les lundis. (...) Géologie : terrain de transition : quartzite ; schiste dans le nord ; à droite du grand chemin menant vers Rennes (...) [on trouve des] trilobites. (...) On parle le français [en fait le gallo]. »

Cinq soldats originaires de Bain sont morts pour la France pendant la Guerre de Crimée et un en 1859 pendant la Campagne d'Italie ; huit soldats sont morts lors de la Guerre de 1870. Un autre est décédé en Algérie en 1871 dans des circonstances non précisées.

En 1895, le nom de la commune de Bain a été modifié en Bain-de-Bretagne.

Le XXLe XXe siècle

La Belle Époque

Par décret du , les biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Bain-de-Bretagne, qui étaient placés sous séquestre, sont attribués à la commune.

Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909 ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Bain-de-Bretagne porte les noms de 209 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 9 sont morts sur le front belge dont 4 dès le  ; un (Henri Chopin) est mort en Turquie lors de la bataille de Sedd-Ul-Bahr ; un (Aristide Chevalier) dans l'actuelle Macédoine du Nord alors qu'il faisait partie de l'Armée française d'Orient ; un (Fançois Dudouet) à Salonique (Grèce) dans le cadre de l'expédition de Salonique ; Victor Jumel est mort en captivité en Allemagne ; Pierre Amossé est mort en combat aérien en Mer du Nord ; Pierre Aubrée au Maroc en 1915 (mort de maladie) ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français.

L'Entre-deux-guerres

Le collège privé Saint-Joseph disposait d'un internat.

Bain-de-Bretagne dans les premières décennies du XXe siècle
La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Bain-de-Bretagne porte les noms de 30 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles André Dubois est mort aux Pays-Bas le et Raymond Belmont est mort le dans le Pas-de-Calais, Pierre Guibert le et Prosper Rouaud le lendemain, tous deux dans la Somme ; Lucien Lenormand le dans la Marne, Olivier Pirois le dans l'Aisne, tous les cinq en pleine Débâcle ; Joseph Belmont, quartier-maître fourier, est mort à Diego-Suarez (Madagascar) en 1942 ; Jean Mancel et Joseph Bosse sont morts en captivité en Allemagne, tous les deux en 1942 ; Joseph Planchais, résistant FFI, a été tué à l'ennemi le lors des combats du maquis de Saint-Marcel et Jean Rialland , autre résistant, le à Bain-de-Bretagne ; Guy Yot, lui aussi résistant, déporté en Allemagne, est mort au camp de concentration de Neuengamme le .

Des combats se déroulèrent pour la libération de la ville dans la semaine du 31 juillet au  : en représailles à la suite de mort d'u soldat allemand tué d'une balle dans la tête, l'armée allemande décide de prendre 50 otages (dont le maire Jules Join), menaçant de les fusiller et de brûler les maisons de la ville. Des soldats américains de la 4e division blindée, venant de Messac libèrent la ville le .


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Héraldique

Blasonnement :
Losangé d'argent et de gueules.

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